27 févr. 2015

#545. Go Jockstrap #2 - Addicted

La semaine dernière je vous présentais la nouveauté tout en couleurs de Pump ! Cette semaine, voici un deuxième jockstrap de chez Addicted : l'Elastic Mesh Jockstrap. 


Chez la marque espagnole on est dans le sexy et on l'assume. Entre la collection coach sportif David Costa ou les mannequins souvent issus du porno gay, on sait où on est.


Le prix : 27 €
Composition : polyamide (80%), élastane (20%)
Le plus : Son trio de couleurs plutôt sexy et classe en même temps. Toujours le côté maille, plus discret sur une couleur foncée, et toujours agréable à porter. La bande élastique blanche sur les côtés du paquet bleu foncé est le petit plus que j'aime beaucoup car ça donne un côté sport très joli.
Le - : La coupe des élastiques, comme le Pump! ultra classique.

A retrouver sur escollectionstore.

>>> Et n'oubliez pas d'élire le meilleur Jockstrap de la série en votant ici ! <<<

25 févr. 2015

#544. Fizzup, le petit (mais costaud) concurrent français de Freeletics

J'ai testé il y a quelques semaines l'appli (et l'état d'esprit) de Freeletics. Toujours à la recherche de nouveauté en terme de coaching sportif, j'ai eu l'occasion de tester, cette fois en beta testeur l'appli Fizzup.


Derrière Fizzup, c'est le site Fysiki, de coaching sportif qui existe depuis un moment déjà.
Le programme de coaching, soutenu par le ministère de la recherche, a des points communs avec la méthode allemande, et des divergences assez flagrantes.

Parmi les points communs : il existe chez Fizzup un système de points et de niveaux, qui rendent l'entraînement ludique. Les deux premiers niveaux comportent 6 entraînements, les suivants 9 ou 12 et jusque 21 pour le 15ème, dernier niveau.


Chaque entraînement accompli permet d'obtenir des points. La régularité permet d'obtenir plus de points. Des quêtes permettent également d'avoir des bonus de points : s'entraîner depuis 3 jours donne par exemple droit à 10 points supplémentaires. Après 3 mois, c'est 50 points de bonus.

La progression, la motivation, le partage donnent également droit à des bonus. Et, à la différence de Freeletics, où les points et niveaux permettent de se comparer entre utilisateurs, ici les points peuvent se transformer en argent.

En effet, lorsqu'on atteint le quota de 1000 points, on peut les échanger contre 1 mois d'abonnement premium.


Je crois que la principale divergence réside dans ce fameux état d'esprit Freeletics. Très guerrier, très No Pain, no gain, proche de la discipline militaire sans laquelle rien n'est possible, les entraînements sont assez durs. Ici avec Fizzup, la progression est plus souple, et la motivation est récompensée, et encouragée.

En commençant un niveau, on effectue un test sur un circuit de mouvements. Le même test est proposé en fin de bloc, pour mesurer la progression sur ces mouvements.


Voilà comment est conçu l'entraînement Fizzup : Un échauffement, puis un bloc d'exercices, sans poids ni matos, permettant de l'effectuer à peu près partout et n'importe quand. Le tout dure moins de 20 minutes. On peut y ajouter des addons : Cardio, Abdos, et étirements.

Le cardio est un extra basé sur le HIIT (High Intensity Interval Training) qui travaille le cœur par des exercices de cardio courts et intenses et des temps de repos bien calculés. L'extra Abdos est un supplément ciblant les abdos (logique), par des mouvements classiques et du gainage. L'extra étirements ajoute 5 minutes à l'entraînement avec des étirements (encore logique).


La version gratuite ne comporte que le 1er niveau. Pour avoir les extras ou les autres niveaux, il faut débourser 19,99 € pour un mois, ou 9,99 € / mois en s'engageant un an. Beaucoup plus cher sans s'engager, et un peu moins cher en s'engageant que Freeletics, donc.

En tous cas profitez en, l'appli est nouvelle et du coup complètement ouverte au moins jusque fin mars, avec toutes les options premium offertes. L'occasion de tester l'appli et de vous faire une idée si ça vaut le coup.

Fizzup, sur Itunes ou Google Play


23 févr. 2015

#543. Mon coup de cœur série de l'année : Transparent

Mon gros coup de cœur série de ce début d'année, c'est Transparent. Une seule saison de 10 épisodes pour le moment pour cette série Amazon entamée en 2014 mais - et c'est la bonne nouvelle - reconduite pour une saison 2.


L'histoire tourne autour d'un père de famille divorcé, son ex femme et ses trois enfants adultes. A l'âge de la retraite, il décide d'annoncer à sa famille et au monde le secret qu'il garde depuis si longtemps : il est transsexuel.

Ok, ce qui m'a fait en tout premier lieu regarder cette série, c'est je l'avoue le côté transgenre. Je suis fasciné par ce mode de vie, et entrer dans les coulisses d'un homme qui se sent femme, j'avais envie de voir ça.


Mais au final j'ai été surpris parce que Transparent va beaucoup plus loin que le phénomène de genre. La série est intelligente (surtout pour une série US). Les trois enfants, Ali, Josh et Sarah, la mère, tous les personnages sont criant de vérité, très justes, avec leurs tares, leurs perversions, leurs déviances.

Entre Sarah qui se cherche, et se pose des questions en revoyant une ex petite amie de sa jeunesse (alors qu'elle aussi est mariée et a des enfants), Josh au gros complexe d'Œdipe, serial fucker qui ne cherche qu'à se poser mais fait toujours tout foirer, Ali au QI surdéveloppé mais à la limite de l'autisme et de l'asociale et à la vie sexuelle étrange...

Le rôle du père, Mort, qui au fur et à mesure de la saison s'affirme de plus en plus comme Maura, sa version féminine est vraiment excellemment joué par Jeffrey Tambor. Un personnage triste et fort. Même divorcé, il partage une belle complicité avec son ex-femme, Shelly, jouée par Judith Light (Madame est servie), qui le connaît mieux que personne.

Chaque personnage est triste, émouvant et drôle à la fois. Les scènes sont très vraies, et il se dégage de toute la série une certaine douceur et mélancolie à la fois. Le tout se situe dans une communauté juive de Los Angeles et les flashbacks aux années 80 sont nombreux, pour notre plus grand plaisir.


Gros plus pour le générique, que je trouve très, très chouette.

A voir absolument ! 

20 févr. 2015

#542. Go Jockstrap #1 - Pump !

Aujourd'hui je débute une série qui parlera peut-être plus à certains que la photographie. Pendant 6 semaines, je vais vous présenter les tendances jockstraps de la saison. Ce sous-vêtement masculin, piqué au vestiaire sportif est devenu un classique gay.


Alors qu'on ne le trouvait que sur des sites très spécifiques il y a encore quelques années, on le retrouve aujourd'hui presque partout. Vous allez le voir, cette année le mesh (la maille) est très à la mode, ainsi que les couleurs flashy et les bandes larges, qui donnent un côté très sportswear.

Rendez-vous donc sur le blog tous les vendredis pendant 6 semaines, et votez pour le meilleur jockstrap de l'année à la fin de la série.

Cette semaine Pump ! en version vert fluo et bleu pour le Shock Wave Jock


Le prix : 21,24 €
Composition : 64% Nylon, 19% Coton, 17% Spandex
Le plus : Son duo de couleurs très sympa et le côté maille, très agréable à porter. Le prix pas très élevé.
Le - : La coupe arrière des élastiques ultra classique.

A retrouver sur Pump!

>>> Et n'oubliez pas d'élire le meilleur Jockstrap de la série en votant ici ! <<<

18 févr. 2015

#541. Sphéro

L'autre jour en allant au ciné, nous sommes tombés avec mon mari sur deux ados qui jouaient avec un truc rigolo. Un genre de balle téléguidée et lumineuse. Nous sommes allés parler aux boutonneux, qui nous ont expliqué avec enthousiasme que c'était un Sphero.

"Ben ouais, quoi, un Sphero. "


Je me retourne vers mon mari. Je ne sais pas bien ce que c'est au juste, mais il m'en faut Ab-so-lu-ment un. Et me voici quelques jours après avec mon Sphero à moi, et 2.0, s'il vous plaît. Dans la boîte, la fameuse boule, un chargeur par contact, qui sert aussi de socle. Deux petits tremplins et un manuel.

Sphero fonctionne avec une appli, gratuite sur Androïd et Itunes. L'écran du téléphone se transforme alors en un joystick qui contrôle la boule. Couleur, vitesse, direction, tout se décide du bout du doigt. Et c'est très rigolo. Après un temps d'adaptation, parce que ce n'est pas si évident que ça à utiliser.

En gros c'est une version 2015 de la bonne vieille voiture télécommandée, sans la voiture, et en bluetooth. Mais là où c'est un peu plus sympa, c'est le côté interactif avec l'appli.

Car plus on joue, plus on a de points, et plus on débloque de trucs. En passant les niveaux, des bonus sont attribués, qui permettent à la balle de danser le flamenco, ou d'éternuer, de faire la grenouille ou encore de devenir Arc-en-ciel (so gay).


En plus de ça, il faut parfois trouver du "carburant", sorte de mini-jeu à la "T'es froid" ou "Tu chauffes", où la boule clignote de plus en plus vite quand elle se rapproche de son carburant fictif. Et des missions de vitesse ou de précision sont disponibles, pour gagner plus de points.

Et encore en plus en plus, Sphero a développé des tas d'applis secondaires, pour utiliser la boule comme une balle de golf, tuer des zombies en réalité augmentée (ça c'est génial !) ou encore comme joystick dans des parties de Nyan Cat (ça aussi, c'est très marrant). Cerise sur le gâteau, il est waterproof...


Au final, c'est un jeu absolument pas utile en soit. Le truc de geek qui est pourtant super marrant à utiliser. Et il suffit de le sortir dans une soirée ou de l'amener à un week-end avec des potes, et je vous assure que tout le monde vous le pique pour y jouer.

Inutile, donc absolument indispensable, on le trouve un peu partout, Fnac, Amazon, ou sur le site officiel, 129$ (env. 119€).

16 févr. 2015

#540. Le monde du Stenoflex (Série photos vintage #6) + CONCOURS (terminé)

Mon exploration de la photo vintage prend fin cette semaine. Du plus moderne au plus expérimental, j'aurais essayé le Polaroïd, l'appli Printic, La lomo avec le Fisheye Baby, un relooking du jetable Kodak, un appareil photo en carton. Cette semaine, je reviens à la base de la photo et l'essaie au Sténopé, avec la box Sténoflex. 



Samedi après-midi, 14h00, galerie Binôme, rue Charlemagne. 
Il fait super beau. Super froid, mais super beau. J'ai rendez-vous dans la galerie Binôme pour prendre un cours de Sténoflex. Une petite boîte noire, avec un tout petit trou et un papier photosensible, qui, je vais apprendre comment, deviendra une photo, développée par mes soins.

Le prof-artiste s'appelle Eric. Il est passionné. Dans son monde, la tête dans les nuages il connaît sur le bout des doigts l'histoire de la photo. Avec 1000 idées en même temps et des tas de projets en cours, le bonhomme est tellement amoureux de la photo qu'il vous embarque à fond dans son histoire.


Le cours dure 3 heures. Après une petite introduction, il nous explique le fonctionnement de sa boîte, le Sténoflex. Puis on part en ballade sur les quais, et nous prenons nos photos. Une par boîte, puis il faut changer le papier photo dans un "changing bag", à l'aveugle. Les temps de pose sont assez longs, 50 secondes ce jour là.


Les rayons de lumière, entrent dans le trou minuscule, se croisent et se reproduisent à l'envers sur le papier qui est photosensible. La photo à l'état brut, avant les objectifs, les appareils photos, les lentilles. L'ancêtre de la photo en somme.

Nous rentrons ensuite au labo, et sous la lumière rouge, nous développons nos photos dans les bacs de révélateur et de fixateur. Un moment magique, où on se demande bien ce qui va apparaître sur le papier. Une première pour moi que j'ai vraiment beaucoup aimé.


Un après midi plein de poésie, où on réapprend à prendre une photo. Ces photos là ont de la valeur, et avant de poser sa boîte pour la prendre on y réfléchit. Ce qui lui donne plus de sens. Je repars ravi, et en plus avec une boîte Sténoflex, qui me permettra de faire mes photos et les développer moi-même, chez moi.


Les cours sont environ toutes les deux semaines, au 19 rue Charlemagne et coûtent 95€ (avec la boîte à la fin du cours). Réservation au 01 42 74 27 25 ou sur le site Stenoflex.

CONCOURS (terminé) :
Pour gagner une boîte Sténoflex et faire vous même l'expérience (deux à gagner, d'une valeur de 39€ chacune), répondez par mail à la question suivante :

Que veut bien dire le mot Sténopé ? (la réponse se trouve sur le site internet).

Les deux plus rapides à répondre gagnent !

Retrouvez mes autres articles de la série Photos Vintage : 
### Le Polaroïd
### L'appli Printic
### Fisheye et Lomo

13 févr. 2015

#539. Elle et lui de Marc Levy


Elle et lui. De Marc Lévy. Ça rime.

J'ai fini le dernier bouquin du Monsieur best-seller français en deux jours à peine. Et encore, c'est parce que je ne lis que dans le métro.

D'aucuns diront que ce n'est pas de la littérature, que c'est trop facile. Et bien oui, ça se lit vite. Peut-être un peu trop en effet, compte tenu du prix. Franchement, 21€50 le livre, WTF comme disent les anglais.

Mais toujours est-il que c'est très sympa, comique parfois, et bien que plein d'images d'Épinal - comme le quiproquo au restau, ou la scène vue mille fois dans les films de l'amour impossible et de l'avion qu'on va rater à la dernière seconde - on est entraîné dans le récit.

C'est de la lecture divertissement. C'est d'ailleurs souvent ce que je recherche, personnellement dans la lecture d'un livre. Et c'est bien fait. Sans surprise.

Allez, avouez, vous n'avez encore rien trouvé pour la St-Valentin ? Et ben voilà !

4è de couv :
Un site de rencontres les a réunis.
Ils ne sont pas devenus amants, mais amis.
Et ils comptent bien en rester là...

Elle est actrice. Lui écrivain.
Elle s'appelle Mia. Lui Paul.
Elle est anglaise. Lui américain.
Elle se cache à Montmartre. Lui vit dans le Marais.
Elle a beaucoup de succès. Lui pas vraiment.
Elle est même une star. Mais lui ne le sait pas.
Elle se sent seule. Lui aussi.
Il la fait rire. Elle enchaîne les maladresses.
Elle ne doit pas tomber amoureuse. Lui non plus.

11 févr. 2015

#538 Keepcan, une nouvelle boisson énergisante


Il y a quelques jours, j'avais à assister à une présentation d'un big boss de mon taff. Juste après le déjeuner (et pour moi la piscine), dans une salle aux lumières tamisées... Un amphithéâtre aux fauteuils bien confortables... Pendant deux heures.

Toutes les conditions réunies pour piquer du nez vite fait. Je me suis donc muni avant d'y aller d'une boisson énergisante qui-va-bientôt-sortir qu'une collègue m'avait passé quelques heures avant : KeepCanLa bonne occaz.


Le truc nouveau de cette boisson énergisante, c'est qu'en fait c'est une canette refermable. Bonne idée. Mais pas révolutionnaire non plus. Sauf que j'aurais du regarder avant d'entrer en conférence comment ça marche. Parce que ça a l'air con, comme ça, mais c'est pas si évident.

Et hop le bon gros bruit de canette qui s'ouvre et les trois rangs devant moi qui se retournent.


Je finis par piger comment ouvrir et fermer. Très bien. KeepCan n'est pas mauvaise. Rien de nouveau toutefois, c'est exactement le goût bien caractéristique des RedBull et autres. Les similitudes ne s'arrêtent pas la. Autant de calories, autant de sucre (et pas mal tout de même, 11g/100ml soit grosso modo 10 morceaux de sucre dans la canette...)

Ce qui diférencie les deux produits ? Le prix. Bientôt disponible dans vos supermarchés et en ligne, la KeepCan sera proposée à un prix de vente conseillé de 1,70 € la canette de 487mL (3,49 € au litre) comparé à un Redbull à 5,17 € au litre, en gros. Plutôt économique, donc face au géant de la boisson d'énergie...


Et vous ne me posez pas la question ?
Non, je ne me suis pas endormi !

9 févr. 2015

#537. Un appareil photo en kit et en carton (Série photos vintage #5)

Pour cette cinquième et avant-dernière semaine de photos vintage, après le classic Polaroïd, le site Printic d'impressions photos, la lomographie avec le Fisheye baby 110, l'appareil photo jetable customisé, voici cette semaine encore plus bizarre : l'appareil photo en carton (oui, j'aime les trucs en carton).


Il s'agit du Ridley's Pinhole Camera, en kit, que l'on trouve un peu partout et notamment chez Asos pour 11,36€ (hors frais de port ou promo).

Comme pour le masque en carton, la première étape, c'est toujours de faire le montage... Deux heures seront nécessaires. Et le plus dur n'est pas de faire chaque petite pièce, mais bien de comprendre comment elles s'assemblent, le manuel n'était pas super précis. Voilà ce que ça donne :


Ensuite, une simple pellicule 35mm convient, comptez dans les 2€. Il suffit de l'insérer et si vous avez bien monté l'appareil, ça rentre ! Pour faire une photo on soulève un petit cache, qui dévoile un trou microscopique laissant la lumière imprégner la pellicule.

Les temps de pose sont beaucoup plus importants qu'avec un appareil classique.
Entre 5 et 10 secondes en plein soleil, 30 et 60 secondes pour une scène de nuit, 10 et 30 secondes pour une scène éclairée, en intérieur. Vaut mieux éviter de bouger.


Je commence mes essais, et au bout de la 3 ou 4ème photo, le drame : la bobine, qu'il convient de remonter de 3 tours après chaque photo, pour enrouler la pellicule, se rembobine toute seule d'un coup dans l'autre sens !

Evidemment, pas de compteur, pas de truc mécanique dedans, je tâtonne donc pour remonter à peu près là ou j'en étais, et je cale avec un petit bout de scotch. On verra bien ce que ça donne.


Pour développer, lorsqu'on ne peut plus remonter la pellicule, c'est dans un studio qu'il faut aller. Il faut leur donner l'appareil en entier, afin qu'ils rembobinent eux-même la pellicule.

Résultat : les photos ne sont pas bien nettes, je n'en ai que quelques unes de vraiment exploitables. C'est très aléatoire, et pas vraiment réussi. Ci dessous, la crème de la crème de ma pellicule.





C'est bien pour : offrir en cadeau à un ami qui aime la photo. Super original, c'est quand même assez marrant de faire des photos avec un petit truc en carton. C'est sympa également pour ceux qui aiment faire des expériences un peu originales. Pour le coup, on se demande vraiment bien ce qui va en sortir. Et parfois, c'est pas grand chose.
C'est bof pour : emmener partout. Dans un sac, sur la plage, à la montagne, c'est déconseillé. Une soirée entre amis ou un anniversaire et la catastrophe est vite arrivée.

Retrouvez mes autres articles de la série Photos Vintage : 
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6 févr. 2015

#536. Le Rainbow cake by Fabisounours


Pour un pot avec des collègues cette semaine, je me suis lancé dans une aventure... Le Rainbow Cake. Histoire d'amener de la magie et l'esprit licorne à mes chers collègues.

Si vous aussi vous voulez vous lancer dans l'aventure, assurez-vous d'avoir quelques heures devant vous (c'est pas compliqué, mais très long). Mais le résultat en vaut la chandelle.

La recette, en images.



Les Ingrédients : 
• 430 g de sucre
• 5 œufs
• 430 g de farine
• 1 sachet de levure chimique
• 220 g de beurre
• 350 mL de lait
• colorants*

Pour la ganache :
• 300 g de chocolat
• 500 g de Philadelphia

Pour la pâte à sucre :
• 1 blanc d'œuf
• 400 g de sucre glace

* Rappel : pour faire vos couleurs, 3 colorants sont nécessaires
• Violet = Rouge + bleu
• Bleu
• Vert = Bleu + jaune
• Jaune
• Orange = Jaune + rouge
• Rouge

Bonapp'

4 févr. 2015

#535. After de Anna Todd (où quand je suis re devenu une midinette)

Est-ce que vous avez entendu parler de ce phénomène ? Anna Todd et sa série After ?

La jeune fille, Texane de 25 ans, a écrit depuis son téléphone portable, sur l'interface en ligne Wattpad. Répondant à ses fans et tenant en compte leurs réactions pour continuer à écrire, sa série a été téléchargée plus d'un milliard de fois dans le monde, et est sortie il y a un mois en français.

Quand même !


A la base, il s'agissait d'une histoire d'amour entre une jeune fille bien comme il faut qui débarque à l'Université et un beau gosse dark et tatoué, inspiré d'Harry Styles, un des choupinous de One Direction. La référence sera supprimée au moment de la correction du roman pour publication.

L'histoire est tout à fait dans la mouvance des "Twilight", "Hunger games" ou "Divergeante", avec un petit côté "50 shades", parce que ça parle de cul. Et pas qu'un peu. Et bien que n'étant pas vraiment très intéressé par les amours entre une vierge un peu coincée et un punk mignon, et ben je vous avoue que je me suis laissé avoir.

Incapable de lâcher ma tablette dans le métro, j'étais parfois tellement dedans que je me suis trompé de station une fois, que je me suis pris un mur une autre fois, et que je me suis mis à rire tout seul plusieurs fois. Et je ne vous parle pas des moments où je rougissais.


Parce que tout hétéro que l'héroïne puisse être, garçon ou fille on s'identifie à la jeune Tessa, et franchement, j'aurais bien aimé aussi me le faire ce bel Hardin...

On est midinette, ou on ne l'est pas !

Et ça tombe bien, parce que - pas folle la guêpe - Anna Todd ne s'est pas arrêtée à un bouquin, il y en a déjà 3 ! Bon j'avoue quand même qu'à la fin, on en a marre de ses réactions débiles et que c'est un tout petit peu tout le temps la même chose.

Et le truc énervant, c'est de se dire que c'est chiant, mais d'être vraiment en manque la prochaine fois ou tu montes dans le métro, parce que quand même, tu veux savoir la suite. Quant à se taper les trois, je sais pas...

After, en vente sur Amazon, version papier ou numérique

Et vous ? Vous l'avez lu ? Vous vous êtes pris un mur ?

2 févr. 2015

#534. Pimp my jetable (Série photos vintage #4)


Quand on pense "photo vintage", moi tout de suite je pense au bon vieux jetable. Ce boîtier old school qu'on adorait dans les années 90 avec une molette pour remonter la pellicule et sur certains un flash. On le trouve dans les supermarchés pour une dizaine d'euros environ. Souvent des promos "pack de 2" sont disponibles. Sur l'appareil, un seul bouton pour la prise de vue, aucun effet possible.

Aucun ? 


Si l'on en croit les astuces de certains adeptes de la photos, comme ici par exemple, les expériences sont possibles, et nombreuses. On peut, par exemple mettre un papier de bonbon coloré devant l'objectif pour coloriser la photo, ou devant le flash pour provoquer un point de lumière colorée.

On peut aussi triturer cet objectif qui n'est que temporaire puisque jetable, en lui passant dessus du vernis pour le salir, en le rayant avec une clé... On peut encore faire des trous dans la chambre avec ce qui passe sous la main pour générer des tâches sur la pellicule (ce qui m'avait l'air un peu plus dangereux).


Je me suis lancé pour un filtre "bonbon rouge" sur le flash et un peu de vernis à ongles transparent que j'ai écaillé au doigt ensuite sur les pourtours de l'objectifs. Et j'ai laissé le fameux appareil sur la table lors d'une soirée "dansons comme des gogoles" chez moi. Autant vous dire qu'il n'y avait plus une seule photo à prendre le lendemain matin...

Un développement tout ce qu'il y a de plus classique plus tard, cette fois dans n'importe quel labo, pour une quinzaine d'euros - en acceptant le regard circonspect de l'opérateur qui se demande "ce que vous pouvez bien trouver à toutes ces photos bizarres ratées" - et vous voilà avec un tout bête jetable à la pointe de l'artistique bobo.


C'est bien pour : comme dans mon cas pour une soirée, ça ajoute un plus. Il ne faut pas avoir envie d'une photo posée, où vous serez au mieux, mais pour donner un petit côté trashy, c'est perfect. Soirée en boîte, anniversaire. Ça peut être un complément pour partir en voyage.
C'est bof pour : faire des photos toutes les deux secondes, ça finit par être un budget (ici 25 euros, jetable et développement en tout pour 27 prises dont 8 complètement ratées). Pas du tout bien pour les portraits de famille ou le pot de départ du boss.


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