30 juin 2010

{Test#181} Le mur végétal


Ce cadeau remonte à quelques années. Pour mon anniversaire, mes amis m'avaient acheté entre autres merveilles un truc tout nouveau à l'époque (pour dire, ils s'étaient même démerdés pour me trouver un truc pas encore sur le marché) qui allait devenir très tendance : le mur végétal.


Depuis ces quelques années, les murs floraux se sont multiplié, il en existe de différentes sortes, tailles, matériaux. Aujourd'hui, je vous présente le mien, le carré mur floral de chez Flowall.



En fait ce carré de plastique vert qui contient 16 petits pots n'est qu'un simple module. Je n'en ai pas d'autres, mais il est possible de les assembler entre eux pour faire un mur d'autant plus grand, carré, rectangulaire ou en pyramide, c'est à vous de voir.

Les petits pots se clipsent sur le tableau, ce qui permet de placer les plantes plus aisément. Sachez cependant que la contenance est vraiment très petite et qu'il ne faudra pas mettre de grosses plantes, ni des plantes fragiles. 

L'épaisseur du tableau est rempli d'une sorte de feutre. En haut à gauche du tableau on trouve une ouverture permettant de verser de l'eau, et en bas à gauche un trou pour évacuer le trop-plein. L'eau reste ainsi gorgée sur le feutre et irrigue les plantes en diffusant au long des jours. 

Malgré cela, il faut savoir que les plantes qui se trouvent en haut seront moins bien irriguées que celles du bas. Privilégiez donc les plantes qui ont le moins besoin d'eau (cactus ou plantes très grasses) en haut et les autres vers le bas. 

Après l'avoir rempli un certain nombre de fois à cause d'une mortalité importante, j'ai pu observer que les plantes qui ont besoin de moins d'attention sont celles qui résisteront le mieux dans ce mur. En effet elles sont soumises à des conditions difficiles : peu de terre, qui sèche vite et peu d'espace pour se développer. Il faut donc leur apporter de l'engrais régulièrement. 

Mais malgré tout, ce cadre que j'ai déménagé de l'intérieur (il est hermétique, mais surtout, faites gaffe au trou du trop-plein, j'ai fait l'erreur), à l'extérieur est assez sympa, car avec un peu d'entretien, cela fait un tableau de verdure, original et franchement mignon.

Depuis, ils ont décliné le tableau en noir, terracota, vert tilleul et blanc, il existe même un pot qui prend la place de 4 petits, pour varier les plaisirs. L'objet reste tout de même pas super donné, chaque kit quelle que soit sa couleur, étant à 49 €.

En vente sur le site Flowall.

29 juin 2010

{Test#180} In Tenebris de Maxime Chattam

Depuis quelques semaines, je lis en pointillé un livre pourtant très bien, comparé au dernier. Il s'agit de In Tenebris de Maxime Chattam. Je ne connaissais pas du tout cet auteur, et lorsque amenant quelques affaires chez moi, mon mec a installé ses gros bouquins à côté des miens, je n'ai pu m'empêcher de jeter un oeil sur les tranches colorées et de m'interroger sur ce Maxime Chattam qui revenait fréquemment. Presque un peu jaloux, le Fabisounours.

Et puis j'ai commencé ce bouquin, et j'ai compris le béguin de mon mec pour ce sacré Maxime. En voilà un qui sait y faire avec sa plume. Le style est très simple et clair, on ne se perd pas dans les descriptions, pas une fois je me suis dis en terminant un long paragraphe que je n'avais rien compris de ce que je venais de lire, devant du coup tout me retaper. Et maintenant, la 4ème de couverture :


Chaque année, des dizaines de personnes disparaissent à New York dans des circonstances étranges. La plupart d'entre elles ne sont jamais retrouvées. Julia, elle, est découverte vivante, scalpée, entre autres sévices, et prétend s'être enfuie de l'Enfer. On pourrait croire à un acte isolé s'il n'y avait pas ces photos, toutes ces photos...
Jeune détective à Brooklyn, Annabel O'Donnel prend l'enquête en main, aidée par Joshua Brolin, spécialiste des tueurs en série. Quel monstre se cache dans les rues enneigées de la ville ? Et si Julia avait raison ? Et si c'était le diable lui-même ? Ce mystère, ce rituel... Dans une atmosphère apocalyptique, Joshua et Annabel vont bientôt découvrir une porte, un passage... dans les ténèbres. 

Tout le livre est construit comme un film. Le rythme, les images, même le début du film, qui est en fait la description pure et simple d'un travelling, tout concoure à nous donner une impression quasiment cinématographique de cette histoire.

C'est peut-être tout bête, mais la façon qu'a l'auteur de décrire comment Annabel se tourne en faisant passer ses tresses d'une épaule sur l'autre, ou le bruit que peut faire un coup de feu sur une tôle, tous ces détails qui semblent si peu importants font de ce récit une histoire dans laquelle notre imaginaire entre à fond, sans pour autant nous assourdir.

Quant à l'histoire, c'est un thriller. Un bon récit policier, avec un méchant tueur en série complètement taré dans sa tête, et un profiler séduisant et doué, une policière triste et blessée, loin d'être bête. Ce livre c'est donc le bon moyen, au lieu de regarder un épisode des experts de se faire un  film policier sans la télé, et en plus haletant, parce que c'est vous qui donnez le rythme, si vous voyez ce que je veux dire.

On le trouve ici, ou encore .

28 juin 2010

{Test#179} Planète sushis

Après un week-end de gaypride, tout le monde est un peu flagada. Et surtout avec cette chaleur, hier était un dimanche à ne pas bouger l'orteil. C'est donc avec quelques amis survivants de la veille que nous avons glandé et flâné, taillant les fleurs, jouant à Super Mario Galaxy 2, ou préparant des Smoothies (vous verrez ça très bientôt).

Mais quand vint l'heure de manger, je crois bien que personne n'avait très envie de se mettre aux fournaux. Et c'est donc avec un grand enthousiasme que ma proposition de commander des sushis fut accueillie. Nous avons donc testé Planète Sushi.


Comme il y a quelques temps j'avais déjà testé sur ce blog Sushishop, la comparaison fut évidemment facile, et la critique d'autant plus dure. Embarquant dans l'histoire les voisins et les amis, j'ai recueilli les avis de 6 personnes. D'où les nombreuses boîtes que vous pouvez voir ci-dessus, je n'ai pas mangé tout ça !

Commençons par l'évidence : la livraison. Nous avons commandé vers 21h30, heure annoncée par le site Planète Sushis comme d'affluence, et le standardiste m'annonce une livraison prévue dans une heure. Soit. Malheureusement, ce n'est qu'une heure et demie après que le livreur a débarqué dans ma cour, nous trouvant tous affamés et impatient. Mauvais point.

Pour ce qui est du packaging, il n'y a pas photo, Sushishop l'emporte haut la main, avec un packaging classe et écolo (en carton), tandis que Planète sushi arbore des couleurs pas top et tout en plastique, pas du tout biodégradable.

La carte en revanche regorge de choix. Outre les makis ou sushis, brochettes et californiens habituels, on trouve des green roll, au coriandre et à l'aneth, des egg makis entourés d'une fine tranche d'omelette, on ne sait plus ou donner de la tête. Pour un de mes amis, Antoine, c'est d'ailleurs presque un défaut qu'il y ait tant de choix.


Pour ne pas faciliter la tâche de Planète Sushis, nous avons fait une grosse commande, facilitant par la même les erreurs. Et ça n'a pas loupé. Trois demi-douzaines de sushis en trop, mais dans l'histoire certains que nous avions commandés ne sont jamais parvenus jusqu'à nous. Encore un mauvais point

Pour ce qui est du goût finalement, critère certainement le plus important, c'est un bilan plutôt positif. Les légumes sont frais et croquants, la salade de chou par exemple, n'est pas une arnaque, et on en a pour notre argent. De manière générale on ne reste pas sur sa faim, sans pour autant se sentir lourd. Un petit bonus pour les Makinutella (des makis de riz-genre-au-lait-mais-pas-tout-à-fait, avec du Nutella au centre) originaux et pas mauvais du tout, avec une préférence pour ceux aux fruits

Le poisson est bon et frais, l'ensemble est de qualité, mais sans être exceptionnel. Alors que la marque se vend comme les "artisans maîtres-sushis", on est plus près de la cantine à sushis. Peu de pertes au final, malgré tout, on peut donc dire que pour dépanner, ou combler une envie pressante (mais pas trop) de sushis, c'est pas mal, et un peu moins cher que Sushishop, si on est serré niveau budget. 

Exemple de menu type :
• 1 Salade de chou : 2,60 €
• 6 Makis au thon : 4,00 €
• 6 Green roll au saumon : 4,90 €
• 8 Makis Nutella Mangue : 5,20 €
Un total de 16,70 € pour bien manger.

Commande en ligne sur le site de planète sushi.

27 juin 2010

{Test#178} La pompe à pénis

S'il y a bien quelque chose qui m'a toujours fasciné durant mes séances de visionnage de porno, c'est les pompes à pénis. Ne me dites pas que vous ne savez pas de quoi je parle, je commence à vous connaître.


La pompe à pénis, c'est en fait tout bête, c'est un tube dans lequel on insère son engin, et une pompe à air, qui enlève du tube tout l'air, comme une cloche à vide, faisant ainsi prendre toute son ampleur à votre machin. Enfin ça, c'est la théorie.

Lorsque j'essaie pour la première fois la pompe à pénis Pipedream, toute basique qu'elle soit, je me retrouve confronté à la première difficulté, il faut être en érection pour y entrer. C'est un peu comme un dress code. Enfin c'est surtout que tout mou c'est assez difficile de passer le sas d'entrée, qui est en caoutchouc, et suffisamment serré pour que quelque soit la circonférence de votre engin, l'air ne passe pas dans la suite des événements.


Un trou dans le tube, sur lequel vous devez mettre un doigt, pour que l'air ne s'échappe pas, permet de faire une valve assez sommaire, afin que lorsque la pression devient désagréable, il suffise de retirer le doigt pour la relâcher. Mon pénis dans le tube, le doigt sur la valve, il faut maintenant créer de la pression.

Pour cela, c'est comme le médecin qui vous prend la tension, une poire sur laquelle on presse enlève l'air du tube. Et, toujours un peu comme quand le médecin prend votre tension, c'est pas agréable du tout du tout. Après quelques pressions de la poire, l'idée persistante que j'ai, est que si je continue, ça va forcément exploser. C'est assez flippant.


D'autant plus que si vous êtes normalement constitué, votre membre en érection fait dans les 37°C et que dans un tube, tout confiné, ben ça va rapidement faire de la buée, donc le résultat est pas très visible. Je relâche la pression, de peur de ne pas retrouver l'entièreté de ma virilité et commence à sortir ce qu'il en reste, chose moins évidente plus votre engin a gonflé, je vous le rappelle.

Et le résultat est à peu près le même que celui obtenu avec un simple cockring. N'imaginez pas gagner des centimètres avec une pompe, mais tout au plus avoir l'air d'un taureau en rut, veines saillantes et corps caverneux gonflés à bloc. Disons que c'est le moyen le plus rapide d'obtenir votre meilleure érection.


Reste quand même qu'à utiliser fréquemment j'aurais peur que des vaisseaux sanguins explosent, avec toute cette pression. En revanche, si vous voulez avoir l'air d'un Hercule, face à votre nouveau plan cul, histoire de faire bonne impression, ça peut être un moyen efficace.

Classix Poxer pump, environ 10 €, ici ou

26 juin 2010

{Test#177} Stop à la gueule de bois* ! Alka Seltzer

Après la méthode quelque peu barbare de la semaine dernière, retour cette semaine à une expérience plus scientifique. Toujours en chasse de la méchante gueule de bois du lendemain de fête, j'ai testé cette semaine un remède qui n'est pas tout jeune, le cachet Alka Seltzer**.


Composé de bicarbonate et de carbonate de sodium, d'acide citrique et d'aspirine, il est à la base recommandé pour les états fébriles et fait partie de la famille des antalgiques, tout comme le bon vieux Doliprane.

L'Alka Seltzer a en fait un double effet : l'acide citrique et le bicarbone de sodium aident à la digestion et facilitent le transit, favorisant ainsi l'élimination de l'alcool dans votre organisme, tandis que l'aspirine va agir sur votre sang en le fluidifiant, permettant d'éviter les maux de tête, par exemple.


Pour tout vous dire, étant un inconditionnel fêtard, avant cette série de tests, je ne jurais que par le Doliprane le lendemain de grosses soirées, qui réduisait tous les inconvénients de la gueule de bois, mal de tête et nausées, et en faisant ces articles, j'ai découvert ce médicament, en libre service dans toutes les pharmacies, et je le trouve vraiment très efficace.

Autant les derniers tests n'ont pas été vraiment concluants, que ce soit Schoum, ou l'oeuf gobé avant d'ingurgiter quelque dose d'alcool, autant ce comprimé fait effet assez rapidement.


Donc messieurs, que vous soyez habitué des lendemains difficiles ou que vous envisagiez juste que ça vous arrive un jour, franchement n'hésitez pas, il faut avoir un tube de ces comprimés dans votre pharmacie. Vous me remercierez un jour, c'est certain. D'autant plus que ça ne coûte pas grand chose, environ 6 € les 30 comprimés, dans toutes les pharmacies.

La semaine prochaine, on repart sur un traitement un peu barbare, boire une bière après une cuite. Je suis sûr que ça va pas être glamour, mais je me sens avec cette série de tests un peu l'âme d'un grand reporter et d'agir pour l'utilité de la e toute entière, alors c'est parti !


Sources : Doctissimo, Newpharma

*Je vous le rappelle, l'abus d'alcool est dangereux pour la santé
** Ce médicament contient de l'aspirine.

25 juin 2010

{Test#176} Le kit Lady Garden

Encore un objet aussi indispensable que gadget, aujourd'hui c'est le kit Lady garden que je vous présente. Et qui sait, il vous servira peut-être demain, pour la gay Pride de Paris.


Ce qui frappe à première vue, c'est la couleur. Si vous n'aimez pas le rose, passez votre chemin. Car si c'est pas féminin, c'est super queer, tout est rose fluo dans ces accessoires prévus pour le jardin. So gay parisien ! Ou plutôt comment avoir l'air cruche au jardin ?



Le kit comprend : une petite pelle, un sécateur, une mini fourche, des gants à pois blancs magnifiques, un plantoir, une bobine de fil, des petites étiquettes pour plantations et un panier pour ranger tout ça.


Mis à art la couleur, qui ne fait franchement pas paysan, les outils sont de bonne facture, et ils sont donc autant utiles qu'agréables. La pelle et la mini fourche ne me servent qu'assez occasionnellement (quoiqu'ils peuvent être utiles pour aérer la terre des pots de fleurs), mais par exemple, le sécateur possède une très bonne lame, et que ce soit pour mes rosiers ou mon olivier, c'est parfait.

Une petite interrogation, tout de même sur le plantoir, en photo ci dessous, qui ressemble sincèrement à s'y méprendre à un plug, certainement le fruit de la reproduction d'un stimulateur prostatique et d'une queue de chien plug...


Les gants ne sont pas nécessaires à chaque opération de jardinage, surtout à Paris, mon entretien relevant plus de l'arrosage et de la coupe sommaire, mais si besoin, c'est assez pratique d'en avoir, mais qui a dit qu'on ne pouvait pas être mode et jardin à la fois?

Je ne sais pas, messieurs, si ce kit ravira vos âmes queer autant que moi, mais à toutes les filles qui me lisent, je suis sûr que vous trouverez ces instruments de jardinages aussi choupi qu'utiles à la fois, et que vous trouverez un moyen de persuader votre homme de vous l'offrir à une quelconque occasion. I'm a Barbie girl ?

 

Kit d'accessoires de jardin Lady Garden, chez La Chaise Longue, 34,90 €

24 juin 2010

{Test#175} Les misérables, au théâtre du Châtelet

Merveilleux cadeau que m'a fait Pierre, que de m'offrir des places pour aller voir Les Misérables, le musical, au théâtre du Châtelet. Alors même que cette comédie musicale n'a plus à faire ses preuves, tournant dans le monde entier depuis 30 ans pour sa version originale, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Pour tout dire, je me demandais bien comment il était possible d'adapter en chantant le roman de Victor Hugo, un des plus populaires de notre culture, et en anglais, en plus*.


L'histoire de cette comédie musicale à succès remonte aux années 80, en France, où après un double album est créée la comédie musicale, en français, sous la direction de Robert Hossein. Le succès est au rendez-vous, et une adaptation en anglais suit bientôt, jouée depuis 1985 à Londres, détenant du coup le record mondial de durée d'exploitation continue.

Traversant l'Atlantique en 1987, elle revient en France en 1991 dans sa version retravaillée au théâtre Mogador, traduite de nouveau dans l'autre sens. Cette année, pour ses 25 ans, la comédie musicale revient de nouveau en France, puis dans une tournée mondiale, avec une nouvelle version "dépoussiérée" par son producteur anglais, Cameron Mackintosh.


Ce qu'on peut dire c'est que la comédie musicale vous en met plein les yeux. Pas avare en effets, en lumière, en décors, les changements de scène se font dans une rapidité et une fluidité déconcertantes. Fumigènes, jeux de lumières, les moyens techniques sont utilisés à bon escient, et le mur vidéo est une vraie trouvaille :
 
Le fond de la scène est occupé par un écran vidéo sur lequel sont parfois projetées des scènes qui font évoluer la scène en direct. Par exemple, Jean Valjean qui marche sur place, le fond vidéo montrant un tunnel des égoûts qui lui, avance et d'un coup la magie opère, on a vraiment l'impression que le comédien évolue dans ce tunnel, donnant au théâtre une nouvelle profondeur.


Les comédiens, parlons en. Le casting est époustouflant, et chacun des solos chasse l'autre avec brio. Le trio de tête notamment, avec Jean Valjean (John Owens-Jones), Javert (Earl Carpenter), ou Fantine (Madalena Alberto) est bluffant.

Vous aurez compris que j'ai plutôt surkiffé ma soirée. Si je devais apporter un bémol, ce serait juste que cette comédie musicale veut que chaque personnage ait une "emprunte sonore", un peu comme dans Pierre et le Loup, et que chaque fois qu'il chante, c'est sur le même thème. Oui, pourquoi pas, mais ça devient presque énervant à la fin, d'entendre 3 thèmes en boucle.


Pour finir, je dirais que j'étais surpris de constater que je connaissais quasiment tous ces thèmes musicaux (que vous pouvez écouter ici). Entre I dreamed a dream récemment repris par la Susan Boyle, On my Own que l'on retrouve dans un épisode de Glee, ou encore Do you hear the people sing? que je connaissais, mais je ne sais pas trop d'où, je me suis surpris à chantonner tous les refrains.

Si j'ai un conseil à vous donner, c'est de courir voir cette comédie musicale, qui n'est au théâtre du Châtelet que jusqu'au 4 juillet 2010, puisqu'elle repart ensuite dans son théâtre londonien d'origine, le Barbican Theater. Encore que c'est peut-être encore mieux d'aller le voir là-bas.


Photos © Production Les Misérables
Tickets entre 10 et 100 €.
Sources : Wikipedia, site officiel
* Toute la comédie musicale est surtitrée en français.

23 juin 2010

{Test#174} Super Mario Galaxy 2

Je ne saurais vous dire depuis combien de temps j'attendais qu'il arrive, et c'est tout fébrile que j'ai ouvert il y a quelques jours la boîte de mon nouveau super jeu tip top méga groove de la mort, Super Mario Galaxy 2 pour Wii.


J'avais dévoré le premier opus du plombier à la moustache il y a un an, assis en tailleur en pyjama, comme un enfant le lendemain de Noël, assidu jusque la fin du jeu. Et c'est presque la lèvre frémissante que je m'étais rendu compte, face au générique de fin, que j'avais bel et bien terminé le jeu ! Imaginez donc à quel point je l'ai attendu, depuis que j'ai vu les premiers trailers il y a quelques mois.

Je lance le jeu, qui s'avère être construit sur le même fonctionnement que le premier. Mêmes musiques, même principe, mêmes ennemis, et mêmes manipulations des manettes, je ne suis pas perdu du tout. Ce doit être mon côté gay, mais Mario est à peu de choses près un des seuls jeux vidéo qui me rendent complètement geek. Certainement son côté bear. Le gros moustachu doit être un fantasme enfoui.


Pour de vrai, ce qui me plaît bien dans ce jeu, c'est le monde magique de Mario. L'herbe est verte et le ciel est bleu, il y a des cascades, des étoiles brillantes et des pièces d'or, on se transforme en abeille ou en arc en ciel, on gobe des champignons magiques, c'est super régressif, à chaque fois que je joue à Super Mario Galaxy j'ai l'impression d'avoir 5 ans.

Dans les nouveautés de ce nouvel épisode de Mario, Yoshi fait son apparition, offrant des possibilités de jeu plutôt sympatiques. Comme dans les autres Mario, il mange les méchants et rejette des diamants, saute d'un point à un autre en s'agrippant avec sa longue langue et vole même quelques instants, prolongeant les sauts.

Deux nouvelles transformations de Mario sont également à noter, Mario pierre, qui détruit tout sur son passage, et Mario nuage, qui est assez ridicule avec son chapeau en forme de nuage.

Si vous aimiez Mario quand vous étiez petit, si vous avez joué à Super Mario Galaxy, alors je vous conseille vraiment ce jeu, vous ne serez pas déçu. Et pour les autres, regardez :


Super Mario Galaxy 2, dans les magasins de jeu vidéo, 49 €. En ce moment à seulement 39 € sur le site de la fnac

Site officiel

22 juin 2010

{Test#173} Saisir sa chance en DVD

Cette semaine j'ai vu un film gay, sorti récemment en DVD, Saisir sa chance. Voici le synopsis :


Chance n'est pas un garçon comme les autres. Il est gay, extraverti, s'habille de façon décalée et sait se faire remarquer ! Fraîchement débarqué dans son nouveau lycée, il va être pris pour cible par les garçons de l'équipe de football. Mais l'un d'entre eux, le mystérieux et séduisant Levi va prendre sa défense et tenter de devenir son ami malgré la pression du reste de l'équipe. Chance n'aura alors qu'un but, saisir sa chance et conquérir le cœur du beau Levi...


Globalement ce film est sympa. La musique est pétillante, les acteurs mimis comme tout, et l'histoire  décalée comme il faut et pleine d'humour. Le mec extraverti qui se fait chambrer au lycée, on l'a tous rencontré. Et le truc bien dans ce film, c'est qu'il est vraiment rafraîchissant. C'est léger, et entraînant, j'ai particulièrement aimé la façon dont la fin est amenée.

Par contre le coup du garçon sensible amoureux du joueur de foot sexy qui est le seul à prendre sa défense et qui succombe à son charme, j'y crois pas des masses, mais on aimerait tellement y croire que ça prend quasiment une dimension de fantasme.


Parmi les acteurs, on notera la présence du beau Brett Chukerman, que j'avais déjà remarqué dans Eating out 2, et qui n'est jamais frileux, dévoilant dans chacun de ses films sa plastique franchement sympatique.

Ce n'est certainement pas le film du siècle selon moi, et je ne pense pas que je serais allé le voir au cinéma, mais pour une soirée DVD, c'est parfait, et c'est un bon moment garanti.


Saisir sa chance, en DVD, 19,99 € sur le site Outplay.

21 juin 2010

{Test#172} Le Fydelity Bag

Dans la collection d'objets délirants que mes amis m'ont acheté pour mon anniversaire, après le sirop pomme d'amour, ou les glaçons verre à shots, voici un accessoire aussi indispensable que loufoque : le Fydelity Bag.


Transformez votre vie en un clip ! Le sac, en plus d'avoir un design assez sympa, représente une Boombox, et les haut-parleurs sont des vrais... Il suffit juste de brancher à l'intérieur un Iphone, Ipod, ou n'importe quel mp3, d'ailleurs, et hop, votre sac devient une chaîne. Pour tout vous dire, je ne le quitte plus

Soyons francs, je ne mets pas en permanence la musique avec ce sac. Même si les fois où je l'ai fait c'était assez jouissif. Vous pouvez marcher en rythme, et ça donne vraiment l'impression que vous êtes dans un clip, la superstar de votre propre film. Mais le soucis, c'est que du coup tout le monde vous regarde. Eh ouais, c'est pas tout le monde qui a son sac qui fait de la musique, et heureusement, ce serait une sacré cacophonie

Ceci dit, le sac en lui même est sympa, comme je le disais. Son look rétro me plaît bien et du coup pas la peine de l'allumer en permanence pour avoir l'air branché. Le porter suffit. Et si par hasard là où vous vous trouvez il y a besoin de musique, vous pouvez vous la péter. 


Comme par exemple, dans un parc avec des amis, à un pique-nique, ou bien sur le scooter, ajoutant l'option autoradio à mon petit scoot pourri, et c'est plutôt classe. Les occasions d'en profiter ne sont pas si rares que ça. 

Pour ce qui est du fonctionnement, il y a à l'intérieur une petite boite bleue qu'il faut allumer, et un câble jack qu'il faut brancher à un lecteur mp3. La boîte est alimentée par 4 piles LR6, et pour l'instant je ne les ai pas changées, en l'utilisant modérément depuis bientôt un mois. La consommation ne semble donc pas excessive. Quant au son, c'est assez frappant, il est vraiment de très bonne qualité, et selon votre mp3, vous pouvez le pousser assez fort (c'est dire je l'entends sur le scooter, avec tout le bruit de la capitale)

Et si vous faites un tour sur le catalogue 2010 de la marque, vous verrez que la gamme est vaste, et qu'il y en a pour tous les goûts puisque l'idée est déclinée du sac de sport à la banane ou la pochette, du sac à dos au cabas, et même une glacière (ça c'est idéal pour les pique-nique, justement), et ce dans tout un tas de couleurs


Le sac Fydelity Bag, en vente sur shopscratchtracks, ou dans les magasins du style Citadium, environ 50 €

20 juin 2010

{Test#171} L'amour à distance

Cette semaine, alors que mon mec est loin de moi, parti dans sa famille, et moi au boulot... je voudrais vous parler de l'amour à distance. Je vous l'avoue bien volontiers, ce n'est pas la première fois que j'utilise une caméra, ou un appareil photo pour susciter le désir, et les notions d'exhibition, de frustration et d'interdit m'ont toujours fasciné.

Nous avons donc essayé de créer un désir chez l'autre de plusieurs manières : le sexting, discipline aujourd'hui la mode, que nous avions déjà pratiqué en diverses occasions, le plan cam, plus explicite, montrant l'un et l'autre en vidéo, et le fantasme.


Commençons par le fantasme. Se manquer l'un à l'autre c'est imaginer ce que l'on pourrait faire si on était ensemble. Et donc créer une frustration en imaginant tout un tas de situations perverses dans lesquelles on aurait pu se retrouver. Et, cher lecteur du dimanche, tu sais combien on peut être pervers...

C'est donc un premier pas assez facile à atteindre, par un texto reçu en plein milieu d'une réunion, qui annonce la couleur par une position, un lieu et une action concrète, ou par quelques mots salaces glissés subtilement à la fin d'une conversation téléphonique qui portait au départ sur une liste de course.


Le fantasme c'est bien, et l'imagination fait le gros du boulot, mais aujourd'hui, il faut faire avec les technologies de notre époque, et le sexting, c'est in. Qu'est ce que c'est que ça ? Tous nos téléphones sont aujourd'hui équipés d'appareil photos (ou alors vous parlez peut-être de votre fixe).

On se prend donc en photo dans une position très explicite et on envoie ça par MMS. C'est évocateur, la réponse se fait la plupart du temps peu attendre, et si votre interlocuteur est un homme, vous avez environ 98% de chance de réussite, parce que les mecs, c'est très visuel. Attention : pensez à mettre une bonne lumière (ma quéquette en ombre chinoise, c'est moins bien), et à bien cadrer (mais siiiii, tout en haut à gauche, c'est ma rondelle !).

Et pour aller plus loin, il y a le plan cam. Pour le célibataire gay, sachez-le il existe des tas de salons internet pour faire des plans cams. On arrive, on se met à poil, on se montre à qui veut bien en pratiquant un sévère onanisme et à la fin on est content.


Pour un couple c'est plus simple, un bête outil de communication instantanée suffit, Msn Messenger, ou bien Skype par exemple. Et là, on peut jouer sexy : effeuillage, paroles crues (si le micro marche bien entendu), musique suggestive et soupirs ravageurs, l'important c'est juste de faire entrer l'autre dans une ritournelle où l'envie devient plus pressante à chaque minute, jusqu'à oublier tout le reste.

C'est en général à ce moment là qu'il faut ne plus penser au voisin qui pourrait arriver par sa fenêtre, ou le chien qui veut vous embêter. Le monde se résume à deux petites fenêtres vidéos : la vôtre et surtout, la sienne.

Certains aimeront entendre l'autre dire tout un tas de choses, d'autres préféreront voir, et juste voir. Quelque chose qui peut être marrant, est que l'un des deux prenne les commande et ordonne à l'autre de faire tout un tas de choses, le commandant ainsi à distance.

Pour la première fois depuis un an et demi, je suis loin de mon homme depuis une semaine. Il rentre demain, et après tout ça, je peux vous dire que j'ai bien fait de prendre mon lundi !

19 juin 2010

{Test#170} Stop à la gueule de bois*! Gober un oeuf

Après avoir essayé un remède de grand-mère il y a deux semaines, voici cette semaine une mesure préventive qui relève presque de l'ordre du Vaudou, mais qui néanmoins semble connue de beaucoup, puisqu'elle m'a été conseillée par plusieurs personnes : éviter la gueule de bois en gobant un oeuf. C'est parti.


Comme je le disais, cette mesure ne va pas contrer les effets de la gueule de bois. C'est préventif, il faut donc se gober l'oeuf avant d'aller en soirée. Et franchement, c'est pas ragoûtant. Certain disent qu'il ne faut surtout pas mélanger en omelette, d'autres que ça n'a pas d'importance.

Le principe en fait est assez simple : l'idée est de gober l'oeuf qui va faire un espèce de bouchon dans l'estomac qui est sensé retenir l'alcool pour éviter qu'il ne se diffuse trop dans l'organisme.


J'embarque mon mec dans l'expérience, et je vois bien que chacun devant notre verre rempli d'un oeuf, il est content de me connaître. Nous gobons nos oeufs, devant quelques amis qui font une tête qui exprime clairement le dégoût qu'ils ont rien qu'en s'imaginant devoir faire la même chose.

Mon mec trouve ça affreux et mettra quelques minutes à s'en remettre. Quant à moi, je ne trouve pas ça si terrible, ça me rappelle quand, plus jeune avant d'aller à la salle de sport je gobais un oeuf. C'est bien loin tout ça.

Nous buvons, festoyons, et profitons à fond de la soirée, découvrant par la même une super boîte de province. Mais avant d'arriver jusque là, un des deux oeufs se vit éjecté du ventre de mon mec ne le supportant certainement plus. Je serais donc le seul à pouvoir témoigner, si jamais mon oeuf à moi reste là où il est.


A l'aube, après un énième remix de Mylène Farmer et la découverte de l'année, une certaine Lady Gaga, nous rentrons et nous endormons d'un sommeil réparateur (sous entendu, nous nous traînons jusqu'au lit et ronflons comme des porcs d'un cuvage bien mérité).

Et le lendemain, la gueule de bois est là et bien là, dont je ne sortirais au plein milieu de la journée qu'avec un bon vieux Doliprane, du repos et beaucoup d'eau. J'imagine vos mines déconfites, déçus de savoir qu'une telle entreprise aura été vaine, mais voyez le bon côté des choses : dans ma quête de l'arme anti gueule de bois, je peux vous affirmer que ce n'est pas la peine de vous infliger le gobage d'oeuf cru, ça ne sert à rien. On dit merci qui?

* Je vous le rappelle, l'abus d'alcool est dangereux pour la santé. 

18 juin 2010

{Test#169} Le sirop pomme d'amour

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Tambour Major, mais comme je ne peux pas boire tout le temps de l'alcool, d'autant que je suis au travail, je trinque aujourd'hui à sa santé avec un truc étonnant : un sirop à la pomme d'amour.


Encore un des cadeaux que l'on m'a fait pour mon anniversaire, ce sirop Pouss est très marrant. Autant dans sa forme que par son goût. Par sa forme, car en fait c'est un distributeur de sirop, comme ceux pour le savon, ou le gel lubrifiant, par exemple. Du coup c'est facile à doser, il suffit de mettre le verre en dessous et d'appuyer. Une dose, deux doses, trois doses, n'en mettez pas trop, c'est pas mal sucré.

Pratique aussi, le bouton poussoir se cale à gauche dans une position de sûreté, pour être sûr de ne pas appuyer dessus intempestivement si jamais vous le posez sur votre bureau par exemple. Parce que du sirop dans un clavier, c'est la cata, quand même.


Pour ce qui est du goût, comme je le disais, c'est pas mal sucré, donc ne pas en abuser, mais par contre ça a vraiment le goût de pomme d'amour. Du coup faut aimer la pomme d'amour, sinon c'est con. Mais si on aime ça, c'est plutôt sympa. Enfin une alternative à la bonbonne d'eau que je regarde chaque jour avec un air mauvais à mon travail.

A tester également, le sirop Pouss existe dans d'autres goûts rigolos : Banane, Barbe à papa, chewing gum, caramel, fraise ou Guimauve.


Sirops Pouss. 20 cL. 5,10 €. En vente chez Monoprix ou sur sma-dif

17 juin 2010

{Test#168} Splice, en avant première


Hier soir, un ami m'a fort gentiment proposé d'aller voir un film en avant-première. Sans trop me rencarder, j'accepte. C'est en général sympa d'aller voir les films un peu avant tout le monde. Et puis quelques heures avant d'aller au ciné, je file sur Allociné pour avoir l'air moins bête. Le film s'appelle Splice et la bande annonce est vraiment pas mal.

L'histoire, c'est un peu comme Alien, ou comme beaucoup de films de l'après-midi sur M6, rien de très original, mais ça peut tout de même être bien sympa :


Synopsis : Clive et Elsa sont des superstars de la science : ils ont réussi à combiner l’ADN de différentes espèces animales pour obtenir de fantastiques hybrides. Ils sont amoureux l’un de l’autre autant que de leur travail et veulent à présent passer à l’étape suivante : fusionner de l’ADN animal et de l’ADN humain. Lorsque le laboratoire pharmaceutique qui les finance refuse de les soutenir, Clive et Elsa décident de poursuivre leurs expériences en secret. Ils créent Dren, une créature étonnante dont la croissance rapide la fait devenir adulte en quelques mois. Alors qu’ils redoublent d’efforts pour préserver leur secret, leur intérêt scientifique pour Dren se mue peu à peu en attachement. Dren finira par dépasser les rêves les plus fous du couple… et leurs pires cauchemars.

C'est parti pour une séance... totalement décevante. Au grand désespoir de mon ami qui s'en veut presque de m'avoir amené ici, pas grand chose de très bon dans ce film. L'histoire avait l'air bateau, et en effet elle l'est. Peu d'effets de scénarios, pas de rebondissements, rien d'étonnant.

Quant aux personnages, la présence du fameux pianiste Adrien Brody aurait pu être gageure de bon film, mais sa prestation, ainsi que celle de Sarah Polley ne sont pas géniales, plates comme le film. Il faut dire que leurs personnages ne sont pas très évolués et que niveau psychologique ce n'est pas très poussé.


Les effets spéciaux pourtant, ne sont pas mauvais du tout. Les designers qui ont inventé les bestioles et notamment l'hybride Dren, ont certainement un grain, et le résultat est flippant. En revanche je pense que certains éléments du film sont totalement inutiles, d'autres trop peu inexploités.

Le quotidien du couple qui se cache avec Dren est assez longuement montré, et est somme toute assez peu intéressant, tandis qu'un des personnages principaux (dont je ne révèlerais pas le nom, sous peine de spoiler), meurt d'une rapidité fulgurante, sans aucun effet. Et hop, on passe à autre chose.

Finalement, ce qui est vraiment bien dans ce film, autant au niveau de l'image, que de l'ambiance stressante, c'est le générique. Si avec ça vous avez envie de le voir, il sera dans les salles le 30 juin.

16 juin 2010

{Test#167} Le magazine Vivre Paris

Encore une fois aujourd'hui, je ne vais pas donner dans l'article universel, loin de là, puisque je vais vous parler d'un magazine qui me plait beaucoup, et que j'ai découvert il y a quelques mois, il s'agit du trimestriel Vivre Paris.


Forcément, tous mes lecteurs qui ne sont pas à la capitale penseront certainement que ça ne leur est pas destiné, mais ce n'est pas tout à fait vrai. Depuis quelques semaines, la grande tendance des super bloggeurs est de faire un petit tour à Paris. A l'instar d'Ananas, de Kindgay, bientôt de Tambour, tout le monde vient faire son pélerinage. Et là, Vivre Paris devient super intéressant.

Pour les grands aventuriers et ceux qui résident déjà à Paris, voici donc en quoi consiste ce magazine. Ce troisième numéro du trimestriel en beau papier glacé comporte 162 pages plutôt bien remplies. Des interviews (de Brigitte Fontaine par exemple, parisienne bobo devant l'éternel), des dossiers (sur le 11ème arrondissement sous toutes ses coutures, les meilleurs Kebabs ou le Chateau de Versailles), et surtout des bons plans, des adresses, des restaurants, des bars ou des lieux insolites, les dates d'événements, ce magazine est une vraie bible !


Branchouille juste ce qu'il faut, on y fait la connaissance d'un DJ médecin, on apprend où acheter des super glaces cet été, et où boire un verre dans un bar les pieds dans le sable. Quand j'ai commencé à feuilleter ce numéro, j'ai pris un post-it pour noter une adresse, puis deux, et je vous assure qu'une fois fermé mon magazine, j'avais rempli mon post-it de plein de trucs à tester.

Et puis, un truc qui prouve que dans cette rédaction ils ont bon goût, c'est qu'ils parlent d'Olivier Giraud, de la Fishpédicure, ou des produits Lush.

Vivre Paris. Juin, Juillet, Août 2010. 5,95€
L'agenda de Vivre Paris. La page facebook.

15 juin 2010

{Test#166} Mega Jump pour Iphone

A peine le temps de cligner des yeux qu'une semaine complète s'est écoulée sans que je sois venu ici. Mais j'ai des excuses : je préparais assidûment l'anniversaire mémorable de mon amoureux qui vient juste de passer les trente ans. Vous comprendrez donc qu'un chiffre si important méritait des bacchanales dignes de lui, et rassurez-vous ce fut le cas. Trois jours non stop de fête, des dizaines de bouteilles vides, des cendriers pleins et des voisins assommés de musique, c'est encore plus fatigué que je reprends le boulot.


Et aujourd'hui, juste histoire d'énerver tout le monde, voici une application IPhone chronophage à mort, inutile à souhait, démentielle et provocant une dépendance farouche : il s'agit du jeu MegaJump . Comme ça ceux qui n'ont pas iPhone se diront : "Ah ben super il revient avec un article qui ne m'intéresse pas", et les autres se diront par la suite : "Ah ben super, grâce à Fabisounours, j'ai passé ma journée sur mon IPhone, j'ai plus de batterie".


Mega Jump c'est une application à 0,79 € de Getset games sur l'appstore, où le but et l'unique fonction est de monter le plus haut possible, en rebondissant de pièce en pièce. C'est tout. Des méchants, des enclumes ou des boulets vous ralentissent ou aimeraient bien vous faire tomber. Des chaussures ailées, des boules de feu, des ballons ou des parapluies au contraire vous font aller plus vite ou vous aident à ne pas tomber.

Ce qui est bien dans ce jeu somme toute sommaire, c'est le graphisme. Les personnages sont tous mignons et les bruitages sont marrants. Les décors sont assez bien faits, et varient suffisamment fluidement pour qu'on soit content d'aller assez haut et en découvrir de nouveaux.


La dernière mise à jour, de la semaine dernière apporte une amélioration assez sympathique : les pièces récoltées se transforment à la fin de partie en des Méga pièces (à raison d'une Méga pièce pour 10 pièces), qui permettent d'acheter des personnages supplémentaires (alors qu'ils étaient pour l'instant en vente, chaque personnage supplémentaire à 0,79 €). Ce qui permet de se fixer des objectifs, et de se donner bonne conscience sur ces heures de passées.

Mon record personnel du moment : 248 232 points. Qui peut faire mieux ?

8 juin 2010

{Test#165} J'ai testé IDNight


Ce week end, j'étais de mariage*, de l'autre côté de la France, dans la région niçoise. Après une navette, un avion, deux bus et trois trains, j'ai fais la fête et pas vraiment dormi pendant deux jours. Et pour rentrer, nous avions décidé de tester, avec mon homme les trains IDNight de IDTGV.

Le principe des trains IDTGV, c'est de ne pas bêtement faire son trajet assis sur son siège, mais d'apporter une valeur ajoutée à son voyage. La formule se décline sur 3 thèmes :

IDZAP : des Wagons où parler n'est pas interdit. Des jeux de société sont normalement en prêt, et l'ambiance est plutôt détendue.
IDZEN : là c'est l'inverse, calme absolu recommandé. De la tranquillité pour se reposer.
IDNIGHT : c'est celui que j'ai testé. Le trajet dure de 20h30 à 7h00 le lendemain matin. Et en plein milieu du train, le bar est transformé en boîte de nuit.

Alors le train boîte de nuit, j'ai trouvé ça un peu léger, parce que c'est tout bêtement le wagon restaurant dans lequel on a posé une platine de DJ devant lequel on a mis ledit DJ, et quelques affiches collées sur le bar pour faire un peu plus djeun's.


J'aurais aimé plus de jeux de lumières, un espace prévu pour le DJ en vrai (le pauvre est en plein milieu), ou des fumigènes, enfin quelque chose de plus pro, pas genre on a posé un truc là et ça fait l'affaire quoi. En revanche, même si le DJ n'était pas la révolution musicale de l'année, il a eu le bon sens de très bien s'adapter à son public.

Mais pourtant, la sauce a pris et, certainement parce que le Wagon a été vite rempli par un groupe de Toulonnais complètement déjantés et déguisés autant qu'alcoolisés, la fête a eu lieu, pour de vrai. J'étais un peu sceptique, mais c'était assez drôle finalement, de boire des bières (c'est le plus fort alcool que vous trouverez au bar) et de danser avec des inconnus en regardant le soleil se coucher.

Par contre, vers 2 heures, mes nuits blanches me rattrapant, je suis reparti à ma place me coucher, et là, tout le monde doit savoir de quoi je parle, dormir dans un train, c'est pas cool. Alors 5 heures d'affilées, c'est encore moins cool.

Pour résumer, IDNight, c'est un concept marrant que je vous conseille vivement, surtout si vous voyagez entre potes, ça peut vraiment être très sympa, et une bonne manière de commencer les vacances. En revanche, prévoyez de ne pas dormir du tout, ou bien embarquez des coussins gonflables et pyjamas.

* et d'ailleurs, j'en profite pour vous dire que je suis en train d'organiser l'anniversaire de mon chéri, un gros truc qui me prend pas mal de temps et que je suis pas très très assidu ces derniers jours et les jours prochains, ce sera pareil...

7 juin 2010

{Test#164} La cuisson vapeur

Il y a un moment, je vous avais parlé d'un restaurant pas très loin de mon boulot, où les spécialités sont des plats cuisinés à la vapeur. Mais la technologie et la kyrielle d'outils que les marchands de rêve nous proposent pour faire à manger nous permettent, à l'heure actuelle de faire nous même, comme des grands, de la cuisine vapeur. Et c'est pas compliqué.


Cela fait quelques mois déjà que j'ai acquis un cuit-vapeur. Et chaque fois que je l'utilise, je me dis que c'est quand même un procédé de cuisson génial, il fallait donc que je vous en parle.

Un cuit-vapeur, c'est tout simple. Ce sont juste des paniers, disposés les uns sur les autres, dans lesquels on met les ingrédients. La partie la plus basse possède un receveur d'eau, et la transforme en vapeur, qui monte d'un panier à l'autre à travers les grillages qui les séparent.


Le côté positif de la préparation de la cuisine vapeur, c'est qu'il suffit d'éplucher et de couper les légumes, et pour la volaille ou le poisson, rien à faire. On dispose juste les ingrédients dans les paniers, et c'est tout.

L'important est de disposer les paniers de manière à ce que les ingrédients qui cuisent le plus lentement soient le plus près du générateur de vapeur, c'est à dire en bas, et les ingrédients qui cuisent le plus vite, en haut. Par exemple, pour les légumes vapeur en photos, j'ai disposé les carottes en bas, puis les pommes de terre et enfin les courgettes, selon leur temps de cuisson respectifs.


Le côté négatif de la préparation de la cuisine vapeur, c'est que bien qu'il n'y ait pas grand chose à faire, la cuisson en elle-même prend pas mal de temps. Entre une demi-heure et une heure, selon qu'il y a beaucoup ou peu d'ingrédients, et leur nature.

Mais ce qui est sûr c'est que le résultat est vraiment chouette. Les légumes cuits à la vapeur, surtout, sont un délice. Ils ont tellement plus de goût qu'avec n'importe quel autre mode de cuisson ! Juste un peu de sel et de poivre et ils sont délicieux, gardent toute leur saveur d'origine.

Mais même si je n'utilise mon cuit-vapeur presque que pour les légumes, il est aussi très efficace pour le riz ou le poisson par exemple. Et c'est la cuisine la plus light. Pas un gramme de matière grasse à ajouter !


Pour ce qui est du modèle, je pense que celui que j'ai est assez basique, si vous en cherchez un et qu'il a toutes ces fonctions, c'est bien (c'est à dire marche et arrêt, et un minuteur). Pensez à prendre un cuit-vapeur dont les éléments passent au lave-vaisselle, si vous en avez un, parce que c'est vrai que tous ces paniers, ça en fait pas mal à laver !