31 mars 2011

{Test#419} Poudre coiffante Chaotique Fix de Schwarzkopf


Je flânais l'autre jour avec mon mari en quête d'un truc génial à tester, vous savez THE truc complètement nouveau, carrément barré et un peu génial qui ferait bien. Et au détour du rayon beauté de chez Monop', j'ai vu ça :

Dans le domaine de la coiffure pour hommes, il y en a des produits. Du gel effet brillant au pouvoir fixant niveau 10 sur 10, à l'argile effet mat, en passant par la cire effet décoiffé ou la gomme ultra coiffante, la coiffure n'est pas un domaine où l'homme est en reste, ce qui est rare en cosmétique.


Mais jamais je n'avais entendu parler de poudre coiffante. La suite vous la connaissez, la poudre fit partie de mon panier et finit dans ma salle de bains, attendant patiemment que je la teste. Et chose fut faite.

De packaging, Chaotique fix est plutôt sympa. Un tube jaune et noir, c'est accrocheur, une promesse pleine de mots juxtaposés sans prendre la peine de construire une phrase : "Structure et modèle, matifie instantanément, contrôle ultra".


Le beau Baptiste Giabiconi est placardé sur le carton d'emballage, nous faisant croire à monts et merveilles avec sa belle chevelure. Je retourne le paquet, mais pas de trace de Karl qui a laissé son petit protégé se débrouiller tout seul pour cette fois.

Lorsqu'on dévisse le bouchon, le tube ressemble à un paquet de sucre glace ou de talc, avec un opercule de plastique perforé, permettant un dosage de la poudre plus précis. L'odeur est très chimique et me fait penser à de la peinture, ou à un dissolvant. C'est pas rassurant.


L'application peut se faire de deux manières. La première est de mettre un peu de poudre dans le creux de la main, les frotter pour dissoudre la poudre et se passer les mains dans les cheveux pour les coiffer. La seconde est plus basique : se saupoudrer les cheveux comme des fraises, puis coiffer.

J'ai testé l'une et l'autre des méthodes, et chaque fois le même constat : la texture de cette poudre coiffante est absolument affreuse. Elle rend le cheveux rêche et sec. La coiffure est stable en effet, quand on parle de fixation extrême, le but est atteint, mais se passer la main dans les cheveux devient ultra désagréable.


Dommage !

Un concept innovant, et qui fonctionne, mais dont le résultat est entaché d'un désagrément de taille : la texture. Et en ce qui concerne les cheveux, c'est rédhibitoire. Je ne recommande donc pas franchement ce produit. Mais salue l'initiative.

Quant au prix, il n'est pas exorbitant : un peu moins de 6 € pour une utilisation longue durée (il faut peu de produit pour structurer les cheveux). C'est déjà ça !

30 mars 2011

{Test#418} Mon guide pratique pour mieux nager, de Yan Pioline

Ceux qui me lisent régulièrement le savent, je vais depuis quelques mois régulièrement à la piscine... et ça me fait un bien fou. La natation est un sport complet, qui permet de galber le corps en assez peu de temps (les résultats sont visibles plutôt rapidement), sans gonfler comme avec les machines de salles de sport. 

Non seulement ça fait travailler les pectoraux, mais aussi les épaules, corrige les problèmes de dos, et muscle même les jambes. Mais pour bénéficier de tous ces atouts encore faut-il faire les mouvements correctement.


Ce livre de 108 pages est très simplement construit : pour chacune des 4 nages expliquées (brasse, crawl, dos crawlé et papillon), sont répertoriés tous les bons gestes à accomplir, et sur la page de droite les mêmes gestes à éviter, mal exécutés.

Si toutes les explications ne sont pas forcément utiles, en fonction du niveau que vous avez, certaines, sur la respiration, la coordination des mouvements, sont franchement pas mal et m'ont permis d'améliorer mes séances de piscine de manière assez flagrante (récupération active, distance parcourue, temps de pause, etc)

Ce n'est pas vraiment un livre sur lequel je reviendrais très souvent. Une fois les bons réflexes pris, plus besoin d'y revenir, mais les mouvements sont expliqués de manière simple et intuitive. L'ouvrage, par Yan Pioline (maître nageur) est écrit en collaboration avec un kiné et un médecin.


Le bouquin est très illustré, chaque mouvement est décomposé en plusieurs images. Chose assez rigolote, les bons mouvements sont illustrés par des athlètes, beaux et bien foutus (filles comme garçons), dans une belle piscine bleue.

Les mauvais mouvements en revanche sont exécutés par des nageurs apparemment pas pro, bien moins bien foutus et dans une piscine à la couleur pâlichonne improbable. Le moins qu'on puisse dire, c'est que pour ressembler à Benjamin Stasiulis, je vais faire gaffe à faire les mouvements à la perfection.

Mon guide pratique pour mieux nager, de Yan Pioline.
Editions Amphora. 17 €

29 mars 2011

{Test#417} Muesli choco-miel maison


Avez-vous déjà fait du Muesli maison ? Enfin déjà, connaissez-vous le Muesli ? C'est un mélange de céréales que l'on consomme au petit-déjeuner, seul ou avec du yaourt ou du lait.

C'est vachement bon, et comme presque tout, c'est meilleur quand on le fait soi-même, d'autant plus que c'est vraiment simple comme bonjour à préparer.


Le Muesli est en général à base de flocons d'avoine. On y rajoute un peu ce qu'on veut, des pépites de chocolat, des fruits secs, des grains de sésame, des noix, des amandes ou des noisettes concassées, l'intérêt de le faire soi-même est de n'y mettre que ce qu'on aime.

Celui que je fait est donc préparé avec une base d'avoine, que j'achète chez Biocoop. Il faut également du miel, un peu de citron, des fruits secs et du chocolat en poudre.


Préparation : Faites couler une ou deux cuillères de miel (ou de sirop d'érable) dans une casserole. Faites chauffer quelques instants et ajoutez la base de flocons d'avoine. L'avoine doit tout juste dorer. Ajoutez un trait de citron et le chocolat en poudre.

Les flocons vont s'agglomérer. Il faut remuer jusqu'à ce que le chocolat soit bien réparti. Sortez du feu, ajoutez des fruits secs, des grains de sésame, ou tout ce que vous voulez (en évitant ce qui périme). Conservez dans une boîte hermétique.


Vous pouvez garder ce Muesli pendant plusieurs semaines sans problème. Un moyen pratique de se faire des céréales sur mesure, pour franchement pas cher.

Et sachez que servi vers 11 heures, au moment du creux-dans-le-ventre-du-matin, ça coupe la faim et ne fait pas grossir (sauf si vous faites du Muesli au chamallow par exemple). Idéal pour ne pas devenir une vache derrière un écran.

28 mars 2011

{Test#416} Les courses à domicile 01 : Auchandirect

Il y a quelques années, quand j'habitais dans le 15è arrondissement de Paris, nous avions l'habitude, avec ma colloc' de nous faire livrer les courses. L'intérêt était, bien entendu que les gentils livreurs nous montent les grosses et lourdes bouteilles de Coca, d'eau gazeuse, les packs de lessive de 5 kilos et tout ce qui est lourd, au cinquième étage - sans ascenseur bien sûr.

Depuis les choses ont changé, j'habite au fond d'une cour, au premier et dernier étage. J'ai en tout et pour tout 18 marches à monter avec mes courses après avoir péniblement traversé la rue, sachant qu'en face de chez moi se trouve un supermarché.


Bon, ok, mais n'empêche parfois, je suis flemmard, alors j'ai quand même essayé la semaine dernière le site de courses en ligne auchandirect.

Ce qu'il y a de bien avec ce site, entre autres c'est qu'on peut commencer à faire ses courses un jour, et y revenir plus tard, la liste est sauvegardée. Pratique, quand comme moi, vous pensez à ce qu'il manque au fur et à mesure. Ainsi quand la liste devient conséquente, hop, reste plus qu'à payer.


Une fois que vous vous êtes inscrit sur le site, vous recevez régulièrement des newsletters vous proposant moult promotions. Certaines, genre le pack de 250 paquets de gâteaux à -25% ou les 100 kilos de riz moins cher, me passent un peu au dessus de la tête. D'autres en revanche, comme les frais de port réduits, sont beaucoup plus intéressantes. Il faut rester à l'affût.

Sur le site, vous avez en un seul clic à disposition toutes les promos et les nouveautés. Là encore, certaines sont intéressantes, d'autres non. Les autres articles sont classés selon qu'ils sont du marché, de l'épicerie, pour le petit déjeuner, ou encore le bio ou la maison. C'est assez facile de s'y retrouver.


Une fois votre commande effectuée, votre livraison arrive en quelques jours, voire le lendemain, selon la plage horaire que vous avez décidé selon les disponibilités. Pour avoir commandé plusieurs fois, les livreurs sont à l'heure, les colis en bon état, et tous les produits présents.

Si jamais un des produits de la liste n'était pas en réserve, il est déduit de la note qui n'est prélevée qu'à compter de la réception des colis. Tous les colis sont livrés dans des cartons recyclables.


Les produits frais, comme la viande ou le poisson ont en revanche des dates de péremption très rapides. Pour ce qui est des fruits ou légumes, c'est très variables. Parfois presque pas mûrs, d'autres un peu trop. Je me cantonne donc, pour ces courses en ligne aux produits ménagers, d'épicerie, surgelés, etc.

Enfin le gros avantage reste le prix. Pour un panier moyen de 100 €, j'ai beaucoup plus de produits en ligne qu'à mon supermarché, même en face de chez moi. En combinant ces prix attractifs aux livraisons à prix réduits, c'est pas mal avantageux.

Auchandirect, le site

25 mars 2011

{Test#415} Nouveau bar dans le Marais : le Spyce

Pour moi, le 23 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie a toujours été le Mixer bar. Un endroit étrange avec une mezzanine un peu trop basse, et les banquettes, déchirées depuis toujours a l'étrange odeur d'alcool mélangé à des choses plus obscures encore.

J'y ai passé mes premières heures de gay parisien, lorsqu'à 17 ans j'ai connu le Marais comme ma poche et que, toujours accompagné de ma bande de copains, nous allions de bar en boîte en after, sillonnant ces quelques rues comme les couloirs de mon appart.


Et puis le Marais m'a lassé, m'a déçu assez vite. J'ai compris que mis à part des somnambules qui finissaient immanquablement par travailler dans tel bar ou tel centre de bronzage, il fallait éviter les nombreux écueils : drogues, alcool, et comme tous les milieux fermés, les guerres intestines.

Car à traîner souvent dans le Marais, des ennemis autant que des amis tu te fais, surtout si t'as 17 ans, un look de minet, et que tu collectionnes les aventures. J'ai donc grandi et j'ai décidé de ne sortir dans le ghetto gay parisien 3 fois l'année, ce qui me conviens beaucoup mieux ! On se fait vieux...

Quelle ne fut donc pas ma surprise, il y a quelques semaines quand, passant dans cette fameuse Ste-Croix, je me suis aperçu que de Mixer il n'y avait plus ! Le bar a été remplacé ! Par un autre bar bien entendu, du nom de Spyce.


Et ce jour là cette nouvelle adresse fut l'occasion d'une autre étape de la tournée des bars en amoureux que nous faisions justement. Nous sommes donc entrés.

Plus de mezzanine, mais un bar haut de plafond. Plus de couleurs sombres, mais du blanc partout, du neuf, du propre. Tout droit devant en entrant, un mur rempli de leds nous redonne en lettres de lumière le nom de ce bar, pour le retenir à tout prix.

Des écrans géants, des marches qui s'éclairent d'un bandeau de couleur, si le Mixer s'était laissé aller pendant une décennie, le Spyce rattrape le retard ! Mais attendez, ce n'est pas le mieux.


Les serveurs, qui autrefois ressemblaient à ceux qu'on voit un peu partout, sont cette fois torse nu et nous servent les cocktails (pas très chers) le téton si près du verre que c'en est indécent, leurs pectoraux galbés prenant décidément trop de place.

Pour peu qu'on vienne en période d'affluence, un vendredi ou samedi soir, des danseurs et danseuses montent derrière le bar, juste devant le mur de lumière, pour faire un show comme si vous étiez dans une boîte de nuit. L'inconvénient : l'endroit est pas immense, et donc vite blindé.

En revanche, pas de place pour se poser, il n'y en a pas assez. Ici on reste debout. Mais en bas, un vestiaire vous permet de vous débarrasser de vos fringues et un fumoir... de fumer.


La musique est chouette et pulsée, vous pouvez danser tout votre soûlL'inconvénient : elle est carrément super forte alors n'imaginez pas tenir une conversation ici. Tout juste échanger un prénom et ou un numéro de téléphone.

En gros le Spyce, c'est le bar gay avec toutes les options : musique, beaux gosses, lumières, shows, cocktails pas chers. Un peu comme le Raidd, mais en encore plus neuf. Un endroit simple et pratique pour draguer/bouger/boire.

Le site officiel du Spyce devrait ouvrir sous peu ici.
En attendant toutes les infos sont sur la page facebook du bar.
Le Spyce, 23 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 750004 Paris.

24 mars 2011

{Test#414} Patrick de dépanne-moto, le numéro a toujours avoir sur soi

L'autre jour, en sortant de la piscine, j'avais la tête un peu ailleurs, et j'ai fait une bêtise. J'ai démarré mon scooter alors que la chaîne antivol était toujours attachée à la roue arrière.

Ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, mais ce jour-là, un des maillons de la chaîne a décidé de se coincer pile poil entre le moteur et la roue, projeté dans cette cavité avec toute la force du moteur.


J'ai eu beau taper dessus, tenter de faire levier, écarter, pousser, tirer... rien n'y a fait, et j'ai dû me résoudre, les mains pleines de cambouis à abandonner Bob le bien-nommé en banlieue nord parisienne, pour y revenir le lendemain, premier jour du week-end.

Armé d'un marteau, d'un tournevis, j'ai donc tenté le jour suivant avec mon mec de dégager ce foutu maillon, mais la nuit ne l'ayant pas ramolli, il était toujours coincé, un peu comme dans 127 heures.


Tous les prix des dépanneurs sont exorbitants. Cela m'est déjà arrivé de devoir faire remorquer mon scooter, et en général les bonhommes sont loin d'être très gentils. Ils ne cherchent pas trop à savoir quel est le problème ni si il est soluble ou non. Faut remorquer ? On remorque, et le plus vite sera le mieux.

J'ai donc cherché un dépanneur, en évitant les premiers liens Google, plus chers et commerciaux, et je suis tombé sur dépanne-moto, dont plusieurs avis m'ont convaincu. Au téléphone, Patrick me donne rendez-vous moins d'une heure après.


Le temps de manger un bout et le voilà qui arrive avec sa belle camionnette. Patrick est simple et gentil, et commence par vérifier que le scoot est bien à moi. Pendant 15 bonnes minutes, il s'esquinte sur le scooter, avec un pied de biche, dans un sens et dans l'autre pour libérer Bob.

Malheureusement le maillon est bien trop coincé. Nous devons donc ramener le scooter jusque chez moi. Nous montons à l'avant, et faisons la route avec un Patrick qui nous raconte sa vie, mouvementée et super active, entre passion de la moto et du jet-ski, presse, armée, dépannage et autres projets.


Ce qui se dégage de ce bonhomme, et c'est vraiment loin d'être le cas de la plupart des dépanneurs, c'est son honnêteté. L'homme est arrangeant et on sent qu'il est plus là pour vous aider que pour faire du chiffre.

Je ne vous dirais pas que les prix sont en dessous du marché, mais au moins, on n'a pas l'impression d'être un pigeon qui n'a pas d'autre choix. Et rien que pour ça, c'est un numéro à toujours avoir dans son portefeuille. Si vous avez un deux-roues, bien sûr, sinon ça sert à rien !


C'est pas ça qui sauve mon scoot au final. "Allô, papa, comment vas-tu ?"

Dépannage-moto,
Le site internet
06.60.40.46.26

22 mars 2011

{Test#413} SoyJoy, les barres snack... au soja


Quand un copain m'a proposé de goûter les barres aux fruits et au soja SoyJoy, je n'étais pas franchement convaincu. Encore une fois plein d'à priori, pour moi les trucs au soja, c'est juste comme les galettes de riz coupe-faim : c'est pas bon et étouffe-chrétien.

SoyJoy c'est des barres snack qui viennent du Japon (c'est pas fait exprès) et qui existent depuis 2006. Elles débarquent seulement cette année à Paris, Barcelone, Bruxelles, Madrid et Milan ! A base de farine de soja et de fruits (34% minimum), elles sont faiblement caloriques (130 KCal).


J'avoue que l'autre jour, ayant un petit creux vers 11h00 au boulot, quand je me suis souvenu que j'avais pris une barre SoyJoy dans mon sac, j'ai pas fait la fête. Mais en fait le goût était très différent de ce à quoi je m'attendais.

Beaucoup plus fruité que ce que je pensais, moins lourd aussi, c'est franchement pas mauvais du tout. Et l'objectif, qui est à la base de couper la faim (momentanément) sans prendre 3 kilos est rempli. J'ai pu attendre la pause déjeuner, aller à la piscine près d'une heure, et enfin aller déjeuner sans avoir des gargouillis énormes dans le ventre.




Les barres SoyJoy sont déclinées en 7 parfums : Aubépine et baies de Goji (étrange, mais pas dégueu), Orange (pas mal), fraise, banane (les deux très bon), pomme (plus basique), prune, et enfin myrtille (que je n'ai pas encore goûtés).

Si l'on rajoute à cela un packaging plutôt fun, un investissement écologique (trajets en bateau pour limiter les émissions CO2, compensations carbone, etc.), et des barres garanties sans conservateurs, on est tout à fait dans le genre de produits cools de ce début du 21è siècle : bon et pas con !


En vente pour le moment dans les concept stores, le Bon Marché, Cojean, etc, pour un prix pas donné tout de même : entre 1,80 € et 2,50 € la barre snack (prix de vente conseillé). C'est pas donné, je n'en mangerais pas tous les matins, mais de temps en temps, en cas de coup de mou, c'est franchement pas mal !

Si vous voulez faire un tour, voici le site internet, et la page facebook (avec en ce moment des boîtes découverte à gagner !)

21 mars 2011

{Test#412} Femme Fatale, le nouvel album de Britbrit


Il y a peu de temps je vous parlais ici de l'arrivée du nouveau single de Britney Spears. Et voici que voilà, se profilant tout juste derrière l'album, intitulé en frenchy : Femme Fatale.

Un album finalement assez varié, avec deux titres déjà connus, Hold It Against me, le fameux premier single, et Till the world Ends, écrit par Ke$ha, dont le clip devrait sortir sous peu. Résolument plus dance que son précédent album Circus, Femme Fatale est aussi plus travaillé.



L'ensemble donne une impression de musiques plus étudiées, même si elles ne sont pas toutes du même niveau. Britney le dit elle même dans une interview qu'elle a accordée à V magazine : c'est selon elle la meilleure production de sa carrière et aussi la plus mature.

On note un duo avec Will.I.Am (dont on reconnaît nettement la patte) : Big Fat Bass, plutôt carrément cool. Dans le genre de chansons qui laissent une trace après la seule première écoute, j'ai noté Drop Dead et Inside Out. D'autres titres sont en revanche beaucoup moins inoubliables.


L'ensemble fait 12 titres sur la version basique, 4 de plus sur la version Deluxe, et encore un en plus en plus sur la version Deluxe japonaise. Allez savoir pourquoi !

On aura beau dire, elle a pris du poids ok, c'est plus une danseuse qu'une chanteuse ok, et en plus maintenant elle ne sait plus danser ok, mais c'est BritBrit quoi. Et quand même, c'est franchement pas mal du tout cet album. Le début d'une nouvelle ère ? Le retour peut-être de Britney, la femme fatale. On espère...

Femme Fatale sort dans les bacs le 29 mars. Cet été est prévue une tournée.

Sources : wikipedia, site officiel Britney Spears

19 mars 2011

{Test#411} De Blob 2, sur Wii


Sur les conseils de Zep*, j'ai testé il y a peu De Blob 2, un jeu sur Wii (mais il existe également sur XBox, Play et Nintendo DS), suite logique de Blob, opus 1.

Le Camarade Noir, triste dictateur chromophobe reprend des activités (après avoir été vaincu dans le 1), et s'attaque à la mégapole Prisma City. Il fait tomber tout le monde sous son joug et sème le noir, le blanc et le gris un peu partout, faisant même des adeptes, les blanchistes.


Le but de Blob, petit bonhomme coloré, est de remettre de la couleur partout où il n'y en a plus. Pour cela il doit faire de nouveau fonctionner les sources de couleurs, dépolluer les eaux de flaques noires et consciencieusement repeindre chaque batîment (en passant dessus).

Un cocktail assez simple et tout mimi qui est assez plaisant. Le gentil coloré contre le méchant tout noir, c'est infantilisant, mais après une journée de boulot, je n'en demande pas plus.


Les graphismes de ce jeu sont très réussis, plein de détails et... de couleurs, vous vous en doutez. Les cinématiques sont pleines d'humour et le jeu résolument moderne, bien que simpliste.

Un détail très rigolo est qu'à chaque début de niveau, en débarquant dans un endroit gris, le silence est pesant. A mesure que Blob colore le niveau, la musique (jazzy ascenceur) et les cris des habitants (un mix entre les Lapins crétins et les Minions de Moi, moche et méchant) se font entendre rendant l'endroit toujours plus fun.


A chaque niveau, des énigmes supplémentaires, pour ouvrir des vannes, libérer des monuments, viennent rythmer le jeu dans une autre forme en deux dimensions, un peu comme dans Disney Epic Mickey.

Petit point négatif, Pinky une amie de Blob qui intervient pour tous les didacticiels, explique les choses de manière très, très enfantine. En gros j'ai un peu l'impression d'avoir 3 ans quand elle m'explique comment jouer. Mais quelque part, c'est peut-être parce que je joue effectivement à un jeu pour gosses.


Un jeu rigolo qui me plait, mais je me contente d'un niveau chaque fois. Passée une heure de jeu, les gazouillis et la musique me gavent et j'arrête. Simple et efficace selon moi, c'est un jeu qui certainement ne plaira pas à tous le monde, y'a qu'à voir mon mec à moi qui n'accroche pas du tout.

*L'avis de mister Zep, juste ici.

17 mars 2011

{Test#410} We pray for Japan, by Lady Gaga

Ce qui arrive au Japon est vraiment une catastrophe. Mon blog n'est ni un blog d'actualité, ni un blog société, et parler d'un tel événement ne rentre pas dans mes attributions de blogueur-testeur. Mais je tenais à dire que je suis profondément bouleversé par ce qui se passe aujourd'hui de l'autre côté de la Terre.

Et si le Japon est un pays totalement humble qui ne demandera jamais l'aide internationale (ou peu), la dette que le pays contractera une fois sorti de cette crise sera colossale. Pour le moment certaines associations ne savent pas trop comment organiser ou distribuer l'argent récolté, il adviendra un moment où notre aide sera bien utile aux nippons.


J'ai testé la démarche qu'organise Lady Gaga à cette occasion : le bracelet We Pray For Japan. Sur le site de l'excentrique diva, on peut acheter depuis quelques jours un bracelet de plastique blanc comportant, en anglais et en japonais les inscriptions "We Pray For Japan". Bonne initiative ou pirouette commerciale ?

Le bracelet coûte 5$, mais il est précisé dans le descriptif que l'on peut inscrire la somme que l'on souhaite, la totalité des fonds sera de toutes façons reversée au Japon.


Les frais de port en revanche se montent à plus de 15$, plus de trois fois le prix du bracelet et mettent ainsi en évidence un simple fait : mieux vaut acheter en plus des Tee-shirts ou des accessoires made in Lady Gaga, ça amortit du coup les frais de port. Malin !

Le bracelet est en pré-commande et ne sera livré, tout autour du monde qu'aux alentours du 25 mars (dans une semaine). Le temps que ça vienne jusque Paris, j'espère sincèrement que les choses se seront arrangées au Japon et que je n'aurais pas à le porter.


Nulle trace de la façon dont miss Gaga compte reverser cet argent, ou du moins je n'ai pas trouvé. Souhaitons que ce soit à bon escient, je vous tiendrais au courant si je trouve.

Toutefois l'opération a déjà récolté en quelques jours plus de 250 000$. Coup médiatique ou commercial, c'est en tous cas une manière de se mobiliser et de transformer une influence mondiale en monnaie à des fins humanitaire. C'est peut-être pas idéal, d'accord, mais c'est déjà ça. Bravo !

Pour acheter le bracelet We Pray For Japan, cliquez ici.

Sources : BFM TV, nme.com

16 mars 2011

{Test#409} La soirée X Factor


Hier soir débutait la nouvelle télé-réalité de la chaîne M6, une sorte de télé-crochet, à mi-chemin entre la Nouvelle Star (rappelez-vous ici) et l'Incroyable talent : X-Factor.

Le concept, venu du Royaume-Uni, s'inscrit dans la lignée des Pop Idol et autres émissions du genre. Le X-Factor, c'est le petit quelque chose que les vraies stars de la chanson ont en plus. Et ce casting géant vise à trouver chez certains candidats ce fameux truc en plus.


Le moins que l'on puisse dire c'est que la chaîne télé accomplit depuis quelques semaines un battage médiatique autour de cette émission, en faisant un événement intersidéral (au moins). Et c'est vrai qu'en Angleterre, c'est un des programmes préférés des téléspectateurs chaque année.

Mais je n'ai pas été séduit par la version française de ce casting géant. J'avais pourtant mis toutes les chances de mon côté pour en faire une super soirée : des amis langues de p***, des bières, des pizzas maison, mais la sauce n'a pas pris. Et ce pour plusieurs raisons.


La première et certainement la plus importante, c'est le montage. Une amie, présente hier me trouve monomaniaque avec ça, mais sérieusement, l'émission ressemblait au niveau du montage à un best-of plutôt qu'à un prime-time.

On passait d'une journée de casting à l'autre, avec des tenues différentes pour le jury, des phrases tronquées, des bouts de chansons ridiculement courts, le tout en faisant un ensemble assez désordonné. Difficile de garder sa concentration.


Le jury est un des points (pour le moment) plutôt négatif. Olivier Schultheis et Henry Padovani, deux spécialistes de la musique, dont on attend forcément un avis juste et tranché, se pâment devant des prestations médiocres.

La belle Véronic Dicaire, une canadienne (l'accent ne ment jamais) aux yeux exorbités - qui dit à tout le monde quelque chose, sans trop savoir où on l'a déjà vue - se pose en spécialiste des phrases cultes mais nettement étudiées du style "j'ai pas assez de peau pour tous ces frissons", ou encore "tu m'as fait saigner des tympans"... Pas très classe, mais le but, c'est d'atterrir au zapping.


Et enfin, mais pas des moindres, Christophe Willem, qui passe de candidat à juge, cette promotion s'accompagnant on ne sait pas trop pourquoi d'une quantité assez incroyable de crayon Kôhl, lui faisant un regard de chatounette. Christophe, c'est le juge sympa (il faut toujours un) qui s'extasie des performances des candidats à qui mieux mieux.

Justement les candidats, parlons-en. Plus d'une heure et demi d'émission, et franchement c'est pas la gloire. Mis à part Valentin - dont la prestation, bonne j'en conviens passait pour excellente comparée aux nombreuses autres médiocres si ce n'est franchement nulles - un beau gosse qu'il ne fallait pas trop écouter et quelques groupes passables, c'est plus la cour des miracles qu'un casting de chant.


Des brushings loufoques, des fonds de teints (très mal) passés qui camouflent (très mal) des quantités de boutons, des garçons déguisés en filles, c'est gayland, et pas le meilleur cru.

Toutefois, ça reste une émission dont le but est juste de critiquer, et là M6 nous a vraiment facilité la tâche. A noter que dans les extraits on aperçoit Cassandre, dont la prestation sera j'en suis sûr remarquée la semaine prochaine. Parce que oui, bien évidemment, je vais continuer de regarder !


X Factor, le mardi à 20h45 sur M6, pendant encore un certain temps.
© Photos M6.fr

15 mars 2011

{Test#408} Un dîner (presque) clandestin au premier étage


Il y a deux semaines, sur une conversation Facebook, une amie me propose une soirée dans un endroit atypique. Un resto au premier étage d'un immeuble, avec un menu prohibition. Ni une ni deux, prohibition et atypique m'ont séduit, c'est parti !

Le soir même, rendez-vous est donné devant le restaurant. Nous attendons notre copine devant une porte d'immeuble toute banale. Nous avons le code d'entrée, mais ça ne sert pas à grand chose, la porte est entrouverte.


En revanche, pour accéder à la salle du restaurant, il faut franchir un couloir, puis un escalier, et pousser la porte de ce qui aurait pu être un simple appartement (grand, tout de même). En effet, le restaurant est au premier étage, et ressemble à s'y méprendre à un appart. Du parquet au sol, des miroirs, les murs peints de fresques, l'endroit est très accueillant.

Les serveuses ne nous font pas attendre et surtout, seront agréables et souriantes toute la soirée. Un service vraiment irréprochable. Les plats sont un peu chers, mais pas non plus exorbitants. Mais le menu prohibition défie toute concurrence : une entrée, un plat et un café calva, pour 26 € seulement. Et pour le prix, on est loin du steak-haché frites...


L'entrée est un tartare de volaille au whisky, servi avec des pousses d'épinards. Un hors d'oeuvre raffiné et vraiment super bon. Le plat est composé de Gambas rôties avec des petits légumes, et une sauce au pastis. Les gambas sont loin d'être de très bonne qualité et sont trop cuites, mais tout de même... Et la sauce est vraiment bonne.

La prohibition de ce menu repose donc sur l'utilisation de l'alcool dans les plats. C'est original et plutôt réussi. Pour accompagner tout cela, nous avons pris un bon Bordeaux, facturé à 35 €. Et quant au café Calva, les deux étaient bons, et en quantité raisonnables*. Un digestif juste ce qu'il faut...


Petit point négatif pour le bruit. L'endroit n'étant pas conçu pour accueillir tant de gens répercute les bruits, et il faut parler fort pour s'entendre. A éviter le samedi soir, blindé et bruyant. Pensez à réserver, le lieu est victime de son succès, et plein presque tous les soirs.

Une adresse que je conseille pour son côté original, la qualité du service et des plats franchement plutôt bons (le hachis de canard est très, très bon. C'est mon chéri qui l'a pris)


Le premier. 47, rue Saint Honoré (au premier)
75001 Paris
01.79.97.34.58
Site internet.

*L'abus d'alcool est, vous le savez déjà, dangereux pour la santé.