28 févr. 2011

{Test#402} I have No limit, une nouvelle boisson énergisante

Et nous revoici lundi, prêts à affronter une nouvelle semaine pleine d'emmerdes au boulot, de sport pour s'entretenir et de soirées en fin de semaine. C'est fatigant, rien que d'y penser.


Une nouvelle fois, j'ai testé une boisson énergisante, continuant sans relâche ma quête de la potion magique qui me donnera la pêche pour de bon. Après la boisson bio, après les shots à la taurine, après la boisson pour le sport, voici I have No limit, la boisson énergétique des magasins Cora et Intermarché.

Car vous ne le savez peut-être pas, mais chaque enseigne de supermarchés a sa propre marque de boisson énergisante. Le marché est juteux. Cette canette se caractérise par son packaging sympa.


Pas de couleurs bleues et argent qui rappelleraient le leader qui donne des ailes sur le marché. La marque se différencie par un look assez jeune et une typographie sympa. Du noir et de l'orange. Ça attire l'oeil.

Pour ce qui est de la composition, rien de neuf, c'est de la caféine, de la taurine, des vitamines et autres agents de texture, acidifiants et conservateurs. Le goût est très sucré et semblable aux autres canettes du même genre. Un petit goût médicamenteux, qui disparaît assez vite avec un peu d'alcool (mélange à éviter le matin, tout de même).


En revanche, pas de miracle. Après absorption de la canette, pas de boost d'énergie, rien de visible en tout cas. Peut-être finalement ne suis-je absolument pas réceptif à ces ingrédients et ma recherche de la boisson énergétique parfaite sera à jamais infructueuse.

En tous cas je ne désespère pas de trouver THE boisson d'énergie. En attendant, je ne vous conseille pas celle-ci. On peut lui accorder au moins un point positif : c'est son prix. A 0,50€ la canette, c'est loin d'être la plus chère du marché, bien au contraire.

Sources : rayon-boissons, refresco france,

27 févr. 2011

{Test#401} Lustre chaud et froid chez Shunga

J'ai testé il y a peu de temps un cosmétique sexuel, le lustre Shunga effet chaud et froid. D'autres produits propose ce genre d'effets, comme les gels intimes chauds ou froids. Ce produit promet lui-aussi une sensation de fraîcheur et de chaleur, pour un plaisir oral.


Au premier abord, ce produit ressemble à s'y méprendre à un gloss. Le fait est qu'il s'agit d'un gloss, avec la même forme, le même style d'applicateur qui trempe dans le flacon. En l'en sortant il est du coup complètement imbibé du produit, qu'on peut donc se passer sur les lèvres.

On notera au passage le choix étrange du nom choisi par Shunga : lustre, mot évocateur d'actions répétitive ayant pour but de rendre quelque chose brillant... Le site 1969 l'a renommé en Gloss divin. Beaucoup plus sexy.


Le premier effet est pour celui qui se passe le produit. En effet, au bout de quelques secondes, les lèvres (si c'est là que vous l'avez appliqué) commencent à devenir toutes froides, et très sensibles au moindre courant d'air. Et puis, encore quelques secondes plus tard, elles deviennent à leur tour toutes chaudes.

Le produit est sucré et un peu gras, comme un vrai gloss, laissant donc les lèvres brillantes. Entre la forme du produit et son application, nous sommes loin d'un produit conçu pour les hommes. L'ensemble est en effet très féminin.

Des sensations décrites ci-dessus pour les lèvres, et bien on retrouve exactement les mêmes sur la ou les parties que décide de titiller les lèvres huilées. Que ce soit un téton, d'autres lèvres, ou même des parties plus intimes, plus la zone choisie sera sensible, et plus l'effet recherché sera flagrant.


Un effet chaud et froid intéressant, mais pas non plus incroyablement agréable. C'est stimulant, oui, surprenant, oui, mais de là à dire qu'on est au bord de l'orgasme en permanence, non, pas vraiment.

Ce n'est donc pas un cosmétique sexuel indispensable, loin de là, et dans le même genre, j'avais largement préféré le pointe-téton, plus étonnant, et plus mutin aussi.

Pour les convaincus et adeptes de l'enfer paradisiaque, le produit s'achète entre autres chez 1969, pour le prix de 24,90 €. Ça va chauffer... ou pas !

26 févr. 2011

{Test#400} Natalie Portman, beau cygne noir (Black Swan)


Comme je vous le disais en début de semaine, le week-end dernier j'ai eu l'occasion de voir deux films qui m'ont beaucoup plu. Et après 127 heures, c'est Black Swan qui m'a conquis.

Comme le dit si bien Jennifer Roth, la productrice exécutive du film : "Black Swan n'est pas seulement un thriller ou un film sur la danse. Il englobe tous ces aspects et les sublime pour créer une histoire sombre et passionnante. "*


Et c'est exactement ce que j'ai ressenti, entre le moment où un ami me l'avait conseillé, en me parlant d'un film à mi-chemin entre thriller et angoisse, et mes à-prioris sur un film de danseuses. Le résultat est surprenant, sombre et, effectivement passionnant et passionné.

Synopsis : Rivalités dans la troupe du New York City Ballet. Nina est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des Cygnes que dirige l'ambigu Thomas. Mais elle se trouve bientôt confrontée à la belle et sensuelle nouvelle recrue, Lily...


Le film explore la dualité d'un personnage qui cherche à réussir dans le dur monde de la danse. Peu de places pour beaucoup de prétendantes. Cette place elle l'obtient, avec tous les sacrifices que cela implique. Coupée du reste de la troupe, beaucoup de pression sur ses épaules, elle est en recherche de son personnage, lui même double, le Cygne blanc et le cygne noir. 

Le film est profond et joue énormément sur ce dédoublement de personnalité au moyen de subterfuges graphiques, comme les miroirs, le noir ou le blanc, etc. Le genre de procédés que j'aime beaucoup trouver dans les films.


Un autre aspect intéressant de ce film réside dans l'évocation du corps humain et des souffrances que l'on peut lui infliger. Sur ce point, Natalie Portman, qui s'est durement entraînée les mois précédant le film joue un rôle absolument parfait. Non seulement son corps s'est modifié au cours des entraînements (on la retrouve plus élancée que jamais), mais elle a un jeu d'acteur très très juste.

Sa souffrance se retranscrit parfaitement, de même que sa folie naissante. Le tout est sublimé par une musique et un rythme qui montent jusqu'à la fin du film en apothéose. Je ne pensais pas être surpris par un film sur les danseuses, et encore moins par un thriller de ce genre en ne lisant que le synopsis.


Comme quoi, on peut se tromper, parce que c'est vraiment un film que je recommande. Et plutôt deux fois qu'une.


* Source : allocine.
© Twentieth Century Fox France

25 févr. 2011

{Test#399} La soirée flipper


En bas de chez moi, à la place du bar du coin, s'est ouvert un bar à bières. Alors nous ne sommes pas passés du bar de pébron au bar ultra branchouille, non loin de là. Mais tout de même, sachez qu'un bar à bières accueille beaucoup plus de jeunes mâles hétéros en quête d'une brune belge que de piliers de bars fans de Kéno.

Et lorsqu'une fois ou deux nous sommes allés prendre un verre, le patron nous a regardé avec de gros yeux au moment de notre commande "Deux demi-pêche, s'il vous plait". Il faut dire qu'ici on boit de la bière, de la vraie, et pas de la grenadine.


Du coup, c'est la jolie serveuse, Amélie qui nous est venue en aide en nous conseillant la Kasteel Brune, une vraie bière pas pour les pédés, mais qui a tout de même un sacré goût sucré de cerise. Parfait, nous pouvons maintenant nous fondre dans le décor.

Et qui plus est, dans un bar à bière, il y a un flipper. Et qui dit flipper dit soirée sympa. C'est vrai, le flipper rassemble les populations. Hétéros, homos, garçons ou filles, on est tous à peu près nuls au début, et c'est toujours marrant quand même. Pas de pré-requis, même les plus réticents de mes amis s'y sont amusés.


Celui du bar en bas de chez moi a un super décor avec Frankenstein qui renaît, Dracula qui sort de son cercueil, une momie qui s'agite dans sa tombe : tout un tas d'animations super rétro au contact de la boule argentée. On est vite pris au jeu du flipper, et quelque part on se sent, pour les plus nostalgiques, un peu comme dans un épisode d'une production AB1. "On se retrouve à la cafète"

Que d'arguments pour vous conseiller une soirée de ce type. Choisissez quelques amis parmi les plus proches (quand on est trop ça devient chiant, il faut toujours attendre son tour), foncez dans un bar à bière, prenez une tournée de Kasteel, et glissez une pièce dans la fente. Vous verrez, vous allez à coup sûr passer une super soirée.

24 févr. 2011

{Test#398} Mon top 3 des applications Iphone - Février

Ce mois-ci, entre mes nouveaux jeux Wii et le fameux Mario vs Donkey sur Nintendo DS je n'ai pas été très au point sur les applications Iphone. Voici tout de même 3 applications que j'ai trouvé sympa, tant pour la photo que pour s'amuser, et encore un vrai gadget de geek.


La première, c'est Instagram. Cette application gratuite est du même style que la fameuse Hipstamatic, et permet de rajouter des filtres à vos photos, pour les vieillir ou les saturer, à l'instar des vieux appareils photos vintage.


Non seulement cette appli est totalement gratuite, mais elle permet de partager ses photos en direct, d'un seul clic, avec Facebook, Twitter, Flickr, Tumblr et autres. On peut également rechercher, parmi les utilisateurs de cette appli des photos, au moyen de mots clés, et s'abonner aux photographes qui nous plaisent.


Les filtres proposés sont assez nombreux (14 différents) et permettent de faire des effets plutôt sympa à vos photos. Jugez-en par mon cactus de bureau, Cubitus.


Si vous avez l'application, ajoutez-moi (Fabisounours, of course) !

Instagram, sur Itunes. Gratuit. Compatible avec Iphone, Ipod Touch et Ipad (IOS 3.2)


La seconde application est un jeu. Il s'agit de Touch Fly, qui est un jeu de plateforme, où il s'agit de faire voler le plus loin possible un lapin, propulsé par une carotte à réaction.


Le but du jeu, bien entendu est d'éviter les ennemis, ici représentés par des tortues tourbillonnantes. Et aussi de ramasser en chemin des tas de bonbons, qui rechargent votre jauge de vie et remplissent la jauge "carotte" qui donne accès à une zone bonus où votre lapin se gavera de carottes gratos.


Une phrase bien complexe pour un jeu ultra simple, mais qui fonctionne bien. Pour diriger votre lapin, chaque coup de doigt sur l'écran relance la carotte à réaction (donc vers le haut), le lapin va de lui-même vers la droite.


Et en plus des divers bonbons et carottes à récupérer, vous trouverez aussi des cadeaux, qui sont tout autant de bonus ponctuels : recharge complète de la vie, jauge carotte remplie d'un coup, carotte géante ou encore des tonnes d'armes, laser, mitraillette, ou autre pour défoncer ces sales tortues tournantes.


Un jeu comme on en vu déjà plein, et comme certainement on en verra d'autres, mais qui est très bien fait et au graphisme sympa, et pour seulement 0,79 €.

Touch Fly, sur Itunes. 0,79 €. Compatible avec Iphone, Ipod Touch et Ipad (IOS 3.3)


Voici enfin la troisième appli que je vous présente ce mois-ci, et cette fois c'est du vrai gadget de geek. Il s'agit de transformer votre Iphone en souris sans fil, avec Mobile Mouse.

Cette fois encore, cette appli n'est pas pionnière en la matière. Mais celle-ci est non seulement graphique, mais en plus très complète.


Elle permet en effet de contrôler la recherche sur internet (au moyen d'un clavier), le lecteur de musique (itunes ou autre), le lecteur vidéo (VLC par exemple) d'un seul coup.


Un vrai truc de fainéant, quand on est au fond du lit, devant un film et qu'on a oublié d'envoyer un mail,  ou qu'on a absolument envie d'écouter Your Woman, de White Town, par exemple.


Elle est pratique, elle est design, et elle est gratuite (pour le moment), alors on fonce. Le plus : l'aiguilleur d'application (comme le dock du mac) qui permet d'accéder plus vite aux applications ouvertes.

Mobile Mouse sur Itunes. Gratuit. Compatible avec Iphone, Ipod Touch et Ipad (IOS 3.2)

23 févr. 2011

{Test#397} La mini-yaourtière maison


Après avoir essayé les sorbets maison, la barbe à papa maison, les sushis maison, vous devez vous dire que j'ai une cuisine immense. En fait absolument pas, mais mes placards sont over-blindés d'ustensiles de cuisine. C'est ça de vivre avec un cuistot.


Et mon dernier trip, grâce à la voisine qui nous a offert cette mini yaourtière, c'est de se faire des yaourts maison. J'ai découvert la technique avec la machine, et j'ai totalement halluciné de la simplicité de fabrication des yaourts.


Un yaourt, c'est tout bête, c'est un ferment lactique, et du lait. Le ferment lactique on peut l'acheter, Alsa en fait par exemple, ou sinon, il suffit d'ouvrir un yaourt du commerce, et de mettre une cuillère à café de yaourt au fond du pot, et de compléter avec du lait.

Et c'est tout.


Un peu d'eau au fond de la cuve, pour que les yaourts soient plus onctueux, on branche, et 12 heures plus tard, vous avez des yaourts faits maison. Presque de la magie. Et le résultat est plus que satisfaisant, les yaourts maison sont meilleurs que ceux du commerce, et beaucoup plus onctueux.


Le côté plus de cette mini-yaourtière, c'est justement qu'elle est mini. Pas besoin de se faire des packs de 36 quand on est à deux, d'autant plus que ces yaourts, totalement naturels sont sans conservateurs et doivent être mangés dans les jours qui suivent.


Et alors, avec une cuillère de confiture maison, c'est un délice. Mais ça, c'est une autre histoire.

Pour exemple, chez Darty, tout un tas de yaourtières, pour 10 € au minimum (mais je suis sûr qu'on peut en trouver d'autres).

{Edit} Et pour rendre vos yaourts encore plus gourmands, faites un tour sur le site mes-yaourts qui donne des tas de recettes qui ont l'air vachement bonnes !

22 févr. 2011

{Test396} 127 heures... d'angoisse


Le truc chouette avec les week-ends de trois jours, c'est qu'on passe plus de temps à cocooner, regarder des films, se reposer. Et en l'occurrence, pendant celui qui vient de passer, j'ai entre autres regardé deux films qui m'ont beaucoup plu : Black Swan avec la belle Nathalie Portman, et 127 heures, avec le beau James Franco.

Aujourd'hui je vais vous parler de ce dernier film, réalisé par Danny Boyle, d'après une histoire vraie.


Synopsis : Le 26 avril 2003, Aron Ralston, jeune homme de vingt-sept ans, se met en route pour une randonnée dans les gorges de l'Utah. Il est seul, et n'a prévenu personne de son excursion. Alpiniste expérimenté, il collectionne les plus beaux sommets de la région. 
Pourtant, au fin fond d'un canyon reculé, l'impensable survient : au-dessus de lui un rocher se détache et emprisonne son bras dans le mur de rocaille. Le voilà prix au piège, menacé de déshydratation et d'hypodermie, en proie à des hallucinations... 
{...} Cinq jours plus tard, comprenant que les secours n'arriveront pas, il va devoir prendre la plus grave décision de son existence. *


Sauf que cette décision, ben je la connaissais déjà au début du film. Les reportages sur le réel Aron dont il est question dans le film sont aujourd'hui nombreux, et entre ces documentaires et les commentaires d'amis qui l'ont déjà vu, je savais déjà la fin.

Alors non, je ne vous spoilerais pas. Mais entre nous, comment voulez-vous que le bonhomme se défasse de cette pierre qui lui emprisonne le bras ? Je suis sûr que vous avez la réponse.


Alors ce film, bien qu'en en connaissant la fin, je l'ai apprécié pour ce sentiment d'angoisse qu'il procure. Le pauvre bougre est coincé pendant 5 jours consécutifs dans un ravin vraiment pas large. L'image est rendue moins monotone en ajoutant à ces images répétitives ses trips, ses rêves, ses hallucinations, mais au final tout tient dans le fait qu'il est coincé. Point barre.

Et pourtant on ne s'ennuie pas. Tout au long du film, on sent le personnage (mimi comme tout au passage) passer par toutes sortes d'émotions. La colère, la peur, la volonté de réussir, le désespoir. C'est un très bon jeu d'acteur de James Franco qu'on connaissait de la trilogie SpiderMan.


Un autre aspect intéressant réside dans toutes les techniques que développe Aron pour tenter de s'en échapper et de survivre. L'érosion de la roche, la fabrication d'un balancier, sa façon de s'emmitoufler pour ne pas mourir de froid, son obsession d'économie d'eau, on sent qu'Aron est un alpiniste chevronné, et que ça l'a certainement sauvé.

Attention aux âmes sensibles toutefois pour cette fameuse fin assez trash. Faut dire qu'avec juste un couteau suisse, c'est pas évident à découper. Enfin je vous dis rien !


127 heures, en ce moment au cinéma.

*Synopsis Allociné.

19 févr. 2011

{Test#395} Les serviettes magiques pour la piscine

Comme vous le savez certainement déjà, j'ai commencé à aller régulièrement à la piscine il y a déjà quelques semaines. La natation est un sport où il ne faut que peu d'investissement, le matériel étant limité, et peu cher. Un maillot de bain, un bonnet, un sac à maillot de bain mouillé, et c'est parti.

Si, tout de même, il faut une serviette pour se sécher. Je vous avoue qu'un jour je l'avais oubliée, et que se sécher avec un sweat, c'est pas franchement pratique. Et justement, en parlant de serviette, j'ai trouvé cette serviette ultra fine, chez Décathlon.


Elle ne coûte que 8 € (pour un format de 80x130 cm), est compacte et très légère. L'avantage, c'est que cette serviette ne prend pas de place du tout. Je connaissais ces produits en micro fibre pour le camping. Quand j'étais parti en Grèce cet été, c'était en effet un atout pour ne pas surcharger les sacs à dos.

Pour la piscine, c'est pareil, je peux caser cette serviette dans un coin de mon sac, c'est pratique. Une fois pliée, elle prend la place d'un bouquin.


Et pour ce qui est de son efficacité, cette serviette sèche ultra rapidement, et très très bien. Un seul passage et vous êtes complètement sec. C'en est même assez impressionnant.

En revanche, le point négatif, c'est que ce n'est pas ultra agréable. Bien que douce, la serviette ne glisse pas sur la peau comme les serviettes en éponge. Il faut donc se tamponner le corps. Un coup de main à prendre.


Mais au final, cette serviette qui sèche elle-même très vite (et ne trempe donc pas le sac) est vraiment très pratique. Peu encombrante, très efficace, ça vaut le coup d'investir, d'autant que ce n'est franchement pas bien cher. Une invention géniale !

En vente chez Décathlon, par exemple.

18 févr. 2011

{Test#394} Madame Raymonde, au Vingtième Théâtre


Un ami m'a proposé d'aller voir Madame Raymonde, "Mes plus grands succès". A la seule vue de l'affiche - qui présente une... femme à l'allure un peu étrange, dans une robe d'un goût douteux levant les bras en l'air - j'ai accepté.

Madame Raymonde, c'est en fait Denis D'arcangelo, et ce rôle il le connait bien, car il l'a créé en 1988. Dans de nombreux récitals, de Madame Raymonde se paie des congés à Madame Raymonde exagère en passant par Madame Raymonde chef de gang, elle chante des chansons réalistes à travers les années, avec son accordéon, Sébastien Mesnil, alias Le Zèbre (très bon musicien, au passage).


Arrivé quelques minutes en retard (ça commence très tôt, à 19:30), je rentre malgré tout rapidement dans l'ambiance de ce bout de bonne femme, seule debout sur la scène, chantant et gesticulant, donnant tout ce qu'elle sait pour nous raconter l'histoire de cette dame qui s'est fait voler son cabas. Entre autres.

Quelques pas derrière elle, le Zèbre est assis sur une chaise, près d'une table de bistrot où est posée une bouteille de vin, deux verres et un sac à main. Elle y reviendra entre chaque chanson se délier la langue...


De la clope à l'alcool, de la prostitution, de la femme, de l'amour, Madame Raymonde parle de sujets aussi importants que futiles, mais toujours avec un humour plein de vivacité. Ses gestes et sa hargne accompagnent ses textes et sa gouaille avec tant d'emphase que parfois un simple regard suffit à nous faire rire.

Et le tout sur fond de java, de tango et d'autres airs du début du siècle. Difficile en quelques mots de décrire un personnage si haut en couleur. Je vous laisse donc découvrir avec l'extrait (tiré de Madame Raymonde exagère) ci-dessous, et vous la recommande plus que chaudement.


Madame Raymonde est à Paris, au Vingtième Théâtre jusqu'au 6 mars, du mercredi au dimanche.
Le 9 juin en représentation exceptionnelle à la salle Gaveau.
Et du 8 au 19 mars en tournée. Toutes les dates sur son site internet. 

Extraits en écoute sur le site internet de Madame Raymonde.

© Photos DR

17 févr. 2011

{Test#393} Ils débarquent dans la cuisine, les Whoopie pies

C'est rigolo comme nom, Whoopie pie, mais qu'est ce donc que cela ? Et bien les Whoopie pies sont le dessert à la mode, que dis-je ultra tendance aux US, et qui débarque en France en risquant de faire un ras-de-marée à ses petits copains les macarons et les cupcakes, les détrônant au royaume du dessert-in.

A mi-chemin entre les cookies et les macarons, il s'agit de deux biscuits l'un sur l'autre, assemblés en sandwich autour d'un glaçage crémeux et sucré. Miam.


J'ai hier soir essayé une recette de Whoopie pie au chocolat, mais on peut en trouver au thé macha, à la fraise, etc. Je suis sur le coup pour vous en trouver d'autres. En attendant voici celle que j'ai trouvée sur le site une irresistible envie de...

Pour une douzaine de whoopies, il vous faut :
• 40 g de farine
• 40 g de cacao
• 1 sachet de levure
• 40 g de chocolat noir + 40 g en petits morceaux (ou en pépites)
• 40 g de beurre
• 75 g de sucre
• 1 oeuf


Pour la garniture au cream cheese, il vous faut :
• 150 g de fromage à tartiner nature
• 1 c. à café d'extrait de vanille
• 30 g de sucre glace

Préparation des biscuits :
Faites fondre le chocolat et le beurre, auquel vous ajoutez le sucre, l'oeuf, la farine, la levure et le cacao en remuant après l'ajout de chaque ingrédient. Quand la pâte est homogène, ajoutez les morceaux de chocolat.

Formez des petites boules (en vous aidant de deux cuillères à café) et disposez les sur des plaques recouvertes de papier sulfurisé (ou en silicone). Bien espacer de quelques centimètres les boules entre elles, les biscuits gonflent à la cuisson.


Mettez au four pendant 12 minutes environ, dans le four préchauffé à 170°C. Surveillez la cuisson pour que les cookies soient craquelés toujours fondants au centre. Laissez refroidir à la sortie du four.

Préparation de la garniture :
Fouettez le fromage à tartiner dans un saladier avec l'extrait de vanille et le sucre jusqu'à l'obtention d'un mélange onctueux. Transférez le glaçage dans un sac congélation dont vous coupez le coin (la poche à douille du pauvre).

Recouvrez la moitié des cookies de garniture, puis chapeautez avec l'autre moitié des cookies. Vos whoopie pies sont prêtes ! Vous pouvez aussi décorer ces gâteaux avec des vermicelles, du glaçage, un peu comme les cupcakes.

Et franchement, c'est super super bon. Le croquant du chocolat et le fondant de la garniture, c'est juste génial !

16 févr. 2011

{Test#392} Mario vs Donkey : Pagaille à mini land

Aujourd'hui je vais vous parler d'un jeu vraiment super sur Nintendo DS. Quand j'avais vu la pub à la télé, j'avais tout de suite été attiré par ce jeu. Et voici pourquoi :


Le principe du jeu est un peu celui des Lemmings. Vous vous souvenez quand vous étiez petits, sur Atari ? Vous devez amener vos petits bonhommes d'un bout à l'autre du jeu, en leur faisant franchir des obstacles, le tout jusqu'à un portail qui valide votre réussite.

Ici le jeu est un peu plus complexe, et heureusement. Vous devez intervenir sur le décor en ajoutant des poutrelles, en déplaçant des échelles, des tapis roulants ou des canons, en évitant des ennemis. Le jeu se joue au moyen du stylet de la DS, c'est très pratique, et un très prenant.


Pour ce qui est du scénario, il est à la Mario quoi : Donkey, épris de la princesse Pauline (une copine de Peach), l'enlève le jour de l'inauguration de Mini Land. Pour aller la sauver, Mario décide d'envoyer les Mini Mario.

Ainsi vous passez de niveau en niveau jusqu'à un boss à la fin de chaque monde ou vous retrouvez Donkey et Pauline, mais celui-ci s'enfuit de nouveau à chaque fois, jusqu'à la fin du jeu.


Le jeu a également deux atouts non négligeables. Le premier, c'est la quantité de bonus : à chaque niveau, vous avez plusieurs objets à rattraper qui vous donnent droit à des niveaux supplémentaires.

Les cartes qui, si vous les collectionnez toutes, à chaque monde vous ouvrent un mini-jeu.
Les pièces, plus vous en collectionnez, et plus cela vous ouvre les niveaux spéciaux.
Et enfin les trophées, que vous obtenez si vous réussissez vite et bien un niveau. Un monde caché s'ouvre quand vous avez tous les trophées.


Tous ces bonus sont comme autant d'objectifs et rendent le jeu encore plus intéressant.

Et le deuxième atout de ce jeu, c'est la possibilité de créer ses propres niveaux. Un mode d'édition vous donne accès à tous les éléments du jeu, vous permettant de créer des mondes complètement originaux, loufoques ou ceux que vous auriez aimé trouver.


L'interface d'édition est simple et intuitive. Une fois un niveau fabriqué, vous pouvez le partager en Wifi avec des joueurs du monde entier. Et à l'inverse, vous pouvez jouer sur des niveaux fabriqués par des gens à l'autre bout du monde. Le jeu n'est donc en fait jamais terminé.

Tant au niveau des graphismes que de l'intérêt ou de la jouabilité, c'est un jeu que je vous conseille carrément, si vous êtes fan de Mario et/ou de casse-têtes.


Site de Mario vs Donkey : pagaille à mini land.