29 juil. 2011

{Test#488} Yum, yum, des mochis maison

Depuis que je suis allé manger chez Godzy, il y a quelques semaines, cette histoire de mochis me turlupinait pas mal (pour rappel, les mochis sont des desserts à base de pâte de riz supra bons, ndlr). Alors comme d'habitude, je me suis mis en tête de tester moi-même.

Et croyez-moi j'ai bien fait, parce que les mochis, c'est pas grand chose à faire. Voici la recette de base :

Ingrédients (pour 15 à 20 mochis)
• 200g de farine de riz gluant*
• 1 c.à. café de thé macha*
• 200 mL d'eau
• 100g de pâte de haricot rouge*
• De la noix de coco rapée

Préparation :
Mélanger la cuillère à café de thé macha dans l'eau. Verser le mélange sur les 200g de farine. Malaxer jusqu'à l'obtention d'une pâte élastique.
Couper la pâte de haricot rouge en petits carrés.
Séparer la pâte en petits bouts et les rouler dans le creux de la paume pour en faire des boulettes. Fourrer chaque boule avec un carré de pâte de haricot rouge. Réserver.

Plonger les boules dans une casserole d'eau bouillante. Elles tombent au fond de la casserole et remontent toutes seules quand elles sont cuites. C'est pratique.
Une fois égouttées, on peut rouler les boules dans de la noix de coco rapé, pour les plus gourmands.

Pour réchauffer, le lendemain par exemple, quelques minutes au micro-ondes et c'est nickel.

Voilà pour la recette de base. Mais comme je suis un petit malin, j'ai testé des variantes de la recette :

On peut, par exemple remplacer le coeur de pâte de haricot rouge par de la pâte de fruits, pour ceux qui aiment, ou plus universel par du Nutella. Dans ce cas, préparez votre Nutella en le répartissant en petites boules sur une plaque que vous mettez au congel'. Ce sera plus pratique une fois durci pour fourrer la pâte de riz.

La pâte de riz, justement peut être améliorée en ajoutant des arômes (fraise, banane), en supprimant du coup le thé macha de l'eau du départ. Et enfin on peut rouler les boulettes dans des vermicelles de couleur, des cristaux de sucre, du sucre glace.

Que des améliorations qui, vous vous en doutez transforme le dessert asiatique en une bombe calorique plus trop asiat, mais vachement bonne quand même !

*On trouve ces ingrédients dans toutes les épiceries asiatiques, genre Tang Frères, etc.

27 juil. 2011

{Test#487} Mon hit 10 de juillet - Heavy Music

Franchement, en juillet-août, c'est pas génial ce qui sort en musique. Chaque label sort à qui mieux mieux son soi-disant tube de l'été, et en général c'est pas fameux.

C'est donc dans le vintage que je suis allé vous chercher mon top 10 de juillet, des morceaux qui m'ont parlé, remises au goût du jour avec des remix réussis. C'est parti.

10è place. Nous sommes en avril 2008. Madonna sort son 11è album studio, Hard Candy. Pas le meilleur. Sur cet album se trouve une des chansons, pas la plus connue, mais je l'aime bien. Ça s'appelle Voices, et une phrase du refrain sonne comme une litanie dans ma tête. Who is the master, and who is the slave.

9è place. Retour cette fois en décembre 2001. Une jolie brune aux joues creusées sort un tube, que j'écoute encore volontiers aujourd'hui. Elle s'appelle Sophie Ellis Bextor, et elle chante Murder on The Dancefloor. Une tuerie.

Je me souviens particulièrement d'un garçon avec qui j'étais à l'époque, qui dansait aux Planches, en faisant le playback avec une paille derrière l'oreille pour simuler le micro. Hilarant.

8è place. Quelques mois plus tard, en janvier 2002 sort la compilation FG, disque que j'attendais avec impatience à l'époque. Sur cette compilation de Didier Sinclair, la piste 5 retient mon attention. C'est Rapture, de 110, remise au goût du jour cette année, toujours sur la compilation FG, par Nadia Ali, comme quoi un bon tube est intemporel.

7è place. Presque au même moment, Brit Brit enregistre un single qui sortira en mai 2002. Et si cette chanson m'a complètement captivé, c'est moins par la musique, qui date tout de même de 1975, méga connue par sa version de Joan Jett en 1981, que son clip over sexy. C'est là ou Britney me révèle, pour la première fois mon amour du cambouis et des motos comme élément sexuel s'il en est.

6è place. Toujours 2002. Mes premières boites de nuit. Je découvre avec grand bonheur que bouger mon corps me procure un plaisir inégalable. Et parmi les tubes sur lesquels je danse, un en particulier restera parmi les favoris de mes playlists comme "mes" premiers tubes. C'est Point of view, de DB Boulevard. Je kiffe, j'adore, je bouge, c'est chouette quoi.

5è place. Finalement j'aurais presque pu appeler ma playlist "spécial 2002", car mon 5è titre sort lui aussi du fameux Dancefloor FG 2, de 2002, tout comme Rapture (c'était pas voulu, promis).

La chanson c'est Keep control, par Sono, et si cette chanson m'a marqué c'est parce que j'avais commencé un film d'animation en pâte à modeler (jamais terminé d'ailleurs) mettant en scène une sorcière black avec un chaudron, et tout et tout. Autant dire que j'ai du l'écouter 12 000 fois.

4è place. Alors là, voilà un titre que je surkiffe. Je suis tombé dessus il n'y a pas très longtemps grâce au mode "Random" de mon Iphone, et je dois dire que j'ai bien bougé. Avalon, de Juliet remonte à 2005. Une rythmique puissante, une mélodie qu'on retient vite et surtout un tube résolument dancefloor. Mélancolie, quand tu nous tiens...

3è place. Ce tube classé sur mon podium imaginaire, c'est un peu la madeleine de Proust des boules à facettes. Le truc incontournable repris au moins un milliard de fois qui va toujours bien. La chanson s'appelle The Silence, de Delerium et date de l'année 2000. Nombre de fois je me suis tapé des trips sur mon lit, The Silence à fond, fermant les yeux et ayant en gros l'air d'un camé en plein délire. Mais j'aimais bien.

2è place. Encore plus vieux, cette fois je me revois en 1999 dans les fêtes de village (le seul moment de l'année où je pouvais danser avant ma majorité) en dansant de manière très désordonnée après avoir absorbé en cachette une demi-bière. Autant dire que j'étais complètement bourré. Et la musique sur laquelle je dansais, pensant qu'il n'y aurait pas de lendemain, c'était King of my castle, de Wamdue Project.

1ère place. Retour à notre époque, avec une chanteuse qui ne l'est pas. C'est Brigitte Fontaine qui nous surprend une fois de plus, avec un titre complètement zarbi mais que j'aime carrément. Dancefloor, en collaboration avec Grace Jones sort de son dernier album, sorti en mai de cette année, L'un n'empêche pas l'autre.

C'est fin ça s'écoute sans fin, et c'est grâce à Monsieur Chik que j'ai trouvé ça. On aime. C'est chik.

24 juil. 2011

{Test#486} Jouez coquin... au Twister naked

Il y a quelques temps, sur ce blog je vous posais la question suivante : «Etes-vous sexuellement ludique ?» et surtout à quel jeu vous associeriez-vous pour parler de sexe.

Vous avez été près d'une centaine à répondre, et pour la plupart, si le sexe était un jeu, ce serait Twister (à 37%)... De 2 à 10 joueurs, toutes les positions sont possibles.

Mais vous avez été aussi 421, poker ou encore Echecs... Tous les résultats de ce sondage ici.

Toujours est-il que fidèle à mes lecteurs, je me suis fait un devoir de transformer ce sondage en test, en aménageant le fameux jeu aux ronds de couleurs en une variante (qui existe) appelée naked Twister.

Comme son nom l'indique, cette version du Twister se joue nu. On peut également corser les choses en se huilant la peau, ce qui donne moins d'adhérence sur le tapis, et sur vos adversaires.

Le jeu se joue de 2 à... 10 joueurs, comme la version originale. Pour tout vous dire, j'ai simplement testé avec mon homme... Mais si vos amis sont partants, pourquoi pas.

En fait, je dois vous avouer que j'avais une idée derrière la tête. Et que je n'imaginais pas que l'un ou l'autre d'entre nous deux ne gagne la partie.

Mais si avec vos amis naturistes vous voulez jouer pour de bon, je vous conseille ce site (en anglais) qui donne très sérieusement les règles du Twister naked, et cette page Facebook, qui rassemble les associations d'amateurs du Twister nu.

Et si vous avez les idées larges, et que vos amis vous excitent tous, c'est un moyen parfait pour apprendre a se découvrir. Proposez leur donc une partie.

Quand votre main gauche sur rouge et votre pied droit sur vert sont coincés, et que vous vous retrouvez face au derrière d'un ami plutôt sexy, lui aussi coincé main droite sur jaune et pied gauche sur bleu, les tours peuvent sembler longs, ou très agréables, au choix.

Un conseil, choisissez bien vos amis avec lesquels jouer à Twister Naked, et même à deux, avec votre (futur) partenaire, c'est une activité originale, qui provoquera pour sûr amusement, rires, et excitation !

Soyez ludique...

23 juil. 2011

{Test#485} Les cut-off shirts, mode d'emploi

C'est la folie cet été chez les gays. Cette mode du tee-shift coupé, venue de la côte ouest des Etats-unis gagne l'Europe (je l'ai vu en Espagne) à la vitesse grand V.

Comment faire son cut-off shirt ? le porter, et surtout où ne pas le porter ? Explications.

Le cut-off shirt, c'est à la base une mode qui sort des salles de sport. Les mecs bodybuildés ont commencé à déchirer leurs t-shirts, pour être à l'aise dans l'amplitude de leurs mouvements, et/ou pour montrer un peu plus leur sauvage musculature.

Et la mode est sortie des salles de sport pour gagner les clubs et les endroits branchés gays, n'étant pour le coup plus réservés aux bodybuildés. Toutefois, le t-shirt laissant apparaître une bonne partie du torse, ce n'est pas une mode à conseiller aux ventres rebondis ou aux pectoraux tombants.

J'en ai vu pas mal dans le Chueca (quartier gay de Madrid), les cut-off shirts se vendent, et très bien, pour des prix hallucinants, alors qu'il suffit de peu de choses pour les faire vous même.

Pour tester, choisissez un t-shirt auquel vous ne tenez pas particulièrement, on ne sait jamais.

Commencez par repasser votre t-shirt, afin qu'il soit le plus lisse possible, sans pli. Posez le à plat, et à l'envers sur une surface plane, comme une table.

À l'aide d'un stylo à vêtement, ou tout bêtement d'un bic, tracer la découpe de votre cut-off shirt, sur un seul côté du t-shirt. Le trait doit partir du milieu de l'épaule environ et arriver au niveau des hanches, entre 10 et 20 cm au dessus du bas du t-shirt, selon sa taille de base, en faisant un arc de cercle.

Coupez en suivant le trait, avec des ciseaux bien affutés (des ciseaux à tissu c'est encore mieux). retournez les vêtement et contrôlez si la coupe est ok, ou s'il faut l'ajuster.

Une fois séduit par votre super coup de main, remettez le t-shirt à l'envers et pliez-le en deux, dans la hauteur. Reportez le trait de coupe sur l'autre manche et reproduisez les premières étapes.

Retournez, ajustez, essayez, et kiffez.

Le cut-off shirt, ce n'est pas encore ultra répandu en France. Quelques conseils : évitez de le porter au boulot, ou alors mettez un débardeur en dessous. Le côté «T'as vu mon téton percé ?» au DRH dans les couloirs, ça peut être moyen, j'ai testé.

Privilégiez ce genre de t-shirt pour aller à la plage, c'est typiquement l'endroit où de toutes façons vous allez finir (presque) à poil...

Si vous allez dans une soirée branchée, en France ou à l'étranger, ça peut aussi être une option vestimentaire et faire son petit effet.

Mais surtout, s'il vous plait, pour un bête coup de ciseaux, n'allez pas acheter des cut-off shirts déjà coupés à deux fois le prix d'un t-shirt normal...

22 juil. 2011

{Test#484} Rango, le lézard du Far ouest

J'ai vu il y a peu de temps un film d'animation super sympa. Rango est un lézard super fun à qui il arrive tout un tas d'aventures.


Synopsis* : Alors qu'il mène sa vie sans histoire d'animal de compagnie, Rango, caméléon peu aventurier, est en pleine crise d'identité : à quoi bon avoir des ambitions quand tout ce qu'on vous demande, c'est de vous fondre dans la masse ?
 Un accident le fait s'échouer dans la petite ville de Poussière, où de sournoises créatures venues du désert font régner la terreur. 

Contre toute attente, notre caméléon, qui ne brille pas par son courage, comprend qu'il peut enfin se rendre utile. Dernier espoir des habitants de Poussière, Rango s'improvise shérif et n'a d'autre choix que d'assumer ses nouvelles fonctions. Affrontant des personnages plus extravagants les uns que les autres, Rango va-t-il devenir le héros qu'il se contentait jusque-là d'imiter ?

Et ben sincèrement, cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un film d'animation qui m'avait autant diverti. Tout y est : le scénario, l'humour, la morale, et le côté décalé

Le scénario, c'est un grand classique, mais revisité. Le lézard quitte le monde qui ne lui convient qu'à moitié, pour se retrouver dans le "grand bain", la vraie vie et tout ses dangers. Rango qui se faisait des films à longueur de journée va finalement pouvoir les vivre

L'histoire est transposée dans un far ouest où se côtoient grenouilles, serpents et tortues. La quête de l'ouest est transformée en une quête de l'eau, rien de complètement aberrant pour l'époque où nous sommes. Un vrai bon point que ce scénario. 

L'humour, sans complètement égaler celui des premiers Shrek par exemple, relève du même genre : un humour à plusieurs niveaux où chacun y trouve son compte. C'est un film d'animation aussi drôle à voir si l'on est un petit bambin que pour les parents qui les accompagnent. Cela donne au dessin animé un peu de profondeur qui est très agréable. 

Comme dans tous les films pour enfants, il faut une morale à l'histoire. Ici, le personnage est un mytho qui se fait passer pour mieux qu'il est. Il perdra toute sa crédibilité, pour prouver ensuite qu'au fond, c'est bien quelqu'un de bien. Très classique pour un dessin animé, mais ça marche toujours. Ça plus le côté écologique de la chose, et on n'en demande pas plus. 

Et ne serait-ce que parce qu'après les lapins, les pingouins, les poissons, il fallait oser prendre un lézard pas franchement beau pour héros, je vous conseille carrément Rango, vous passerez un bon moment, c'est sûr ! 

* Source : allociné
© Paramount Pictures France

21 juil. 2011

{Test#483} Le véritable Tru blood

Alors que la saison 4 de la loufoque série aux vampires, loups garous et autres fées commence à peine aux Etats-Unis, voici que j'ai trouvé une fois encore un plus produit plutôt rigolo : le véritable Tru Blood, sang de vampire synthétisé en bouteille.

Bon, ok en fait c'est pas du sang que tu achètes dans cette bouteille, mais une boisson à l'orange. Mais le packaging est absolument identique aux boissons dans la série.

Comme pour la Duff Beer, cela en fait plus un objet de collection qu'un véritable produit de consommation, ou à l'occasion d'une soirée, pour faire une surprise, etc.

Sauf que cette fois, pour faire la blague il faudra y mettre le prix, la bouteille, de seulement 414 mL est au prix de 10€. Le sang est cher de nos jours !

Pour ce qui est de la composition, du carbonate, des arômes, des acidifiants et autres produits aux noms étranges...

En ouvrant la bouteille, ô surprise, non ce n'est pas du sang. Mais ça n'en a même pas trop l'air... Ce n'est ni gluant, ni rouge. C'est plutôt rougeâtre, et c'est surtout pétillant. Nous sommes loin du sang ou même d'une imitation (et en fait, peut-être que tant mieux...).

Pur ce qui est du goût, ne nous mentons pas, c'est super chimique. La boisson ressemble même un peu a un médicament, comme du Mucomisc. Pas super bon, c'est là où on se dit que c'est bien un objet de collection, qu'il vaut peut être même mieux laisser fermé.

Une idée originale pour Halloween, un clin d'oeil sympa pour un ami gothique, une attention gentille pour les fans de Suki, le vrai Tru Blood est à boire avec modération, sous peine de faillite.

En vente au mk2 concept store de Bibliothèque, ou sur le site trubeverage.com.

20 juil. 2011

{Test#482} Mon top 3 des applications iPhone (et ipad). Juillet

En ce mois de juillet, alors que beaucoup d'entre vous sont déjà en vacances et que d'autres vont bientôt se mettre les doigts de pieds en éventail, certains, comme moi sont encore au boulot.

Voici donc, si vous êtes dans le même cas de quoi vous faciliter la vie avec une application de traitement de texte sur iPad, et deux jeux pour iPhone et iPad.

Depuis que j'ai trouvé iA Writer, écrire les articles de mon blog est vraiment devenu plus facile ! Et pourtant au premier abord, ce traitement de texte n'a absolument rien d'original.

L'application est composée de peu de choses : un menu très simplifié, qui permet de créer de nouveaux documents, compter le nombre de signes ou de mots, et exporter les textes écrits, par mail ou copier le texte.

Au centre une page blanche, où le texte se déroule, avec une typographie typewriter, bien connue des journalistes pour sa grande lisibilité.

Sur la partie basse de l'écran, et c'est ce qui donne son sens à cette application, le clavier de l'ipad à été amélioré pour écrire au kilomètre. Les accents, ponctuations, citations ou mises entre parenthèses sont facilitées, ainsi que la navigation au sein du texte.

Dernier argument, l'application peut être reliée en direct avec Dropbox, permettant ainsi de récupérer presque instantanément les textes écrits sur tous les supports. Vraiment pratique !

IA Writer, sur IPad. iOS 4.2 requis. 3,99€ sur l'appstore

Le premier jeu dont je voudrais vous parler s'appelle Star connect. Il est un peu nunuche je l'avoue, mais plutôt sympa. L'idée est de relier des étoiles entre elles avec une sorte de fil électrique.

Bien entendu les niveaux vont en se complexifiant, il faut éviter des obstacles, voire même réfléchir un peu sur les derniers. Vous l'aurez compris, ce n'est pas le jeu du siècle, mais un passe-temps rigolo

Le jeu est vite terminé, après un tutoriel et un seul monde, comptabilisant 18 niveaux. Pour la suite, il faut mettre la main à la poche, chaque nouveau monde coûte 0,79€.

Star Connect, pour iPhone, iPod Touch et iPad. iOS 3.0 requis. Gratuit sur l'appstore

Le dernier jeu est sur le même thème que Paf le chien, dont je vous parlais ici. Il s'appelle Birds must die. Le but est la encore de lancer un personnage le plus loin possible avant qu'il ne s'arrête.

Cette fois c'est l'enrobage du jeu qui est différent. L'introduction nous annonce que les oiseaux monopolisent l'appstore depuis des années, se battant sans relâche contre les cochons (oui, oui, c'est bien d'Angry Bird dont il est question...)

Aujourd'hui, les choses ont changé. Les cochons reprennent le dessus et viennent dégommer les oiseaux. C'est donc un cochon muni d'un casque que vous lancez avec un lance pierre.

Lorsqu'il retombe, vous pouvez le relancer en lui tirant des balles dessus. En revanche mieux vaut ne pas tomber dans une bouse de vache, qui vous colle net, vous empêchant de progresser plus.

Encore une fois vous l'aurez compris, c'est du hautement intellectuel, du super productif que je vous propose ce mois-ci. Mais en attendant les vacances, personnellement, c'est tout ce que j'attends...

Birds must Die. Pour iPhone, iPod Touch et iPad. iOS 3.1 minimum requis. Gratuit, sur l'appstore

19 juil. 2011

{Test#481} Mon année de natation vs Jiwok

Aujourd'hui je vais comparer deux outils d'entrainements sportifs. D'un côté un livre, Mon année de natation, aux Editions Amphora. De l'autre un site internet, Jiwok.

Commençons par le commencement. Jiwok est un site complètement gratuit, tandis que le livre, et bien oui, il faut l'acheter. Ce livre-ci coûte 17 €. Tous les deux proposent des entrainements personnalisés.

Alors mieux vaut-il investir dans un livre, ou rester sur les nouvelles technologies, accessibles et gratuites ? C'est ce que nous allons voir...

Le livre propose 100 séances de natation. A raison de deux par semaine, cela fait donc en effet une année de natation. Au début du livre, des explications sur les nages sont apportées, en général et puis plus en détail, des fondamentaux, des exercices éducatifs, rendant le livre plus complet.

Les 100 séances sont réparties en 5 blocs de 20 séances, chacun comportant des séances à dominante crawl, ou respiration, et à chaque fois une séance de test sur le 3x 100 mètres crawl. Une manière de s'auto-évaluer et de comparer ses performances au cours de l'année.

Les séances sont écrites en fiches que l'on peut photocopier pour emmener au bord du bassin sous une feuille plastique.

Ce livre devient donc un véritable tableau de bord qui maintient la motivation au top. Le fait de noter ses temps, ses performances à la fin de chaque bloc, les dates de ses séances donne vraiment l'envie de progresser. De plus, les séances ayant la plupart du temps un but bien précis (progresser en crawl, améliorer sa respiration...), c'est bien plus facile de faire des efforts.

Jiwok est un site d'entraînement sportif mp3. Il est dispo non seulement pour la natation mais aussi pour le jogging, le vélo ou la marche.

En s'inscrivant gratuitement au site, on se crée un profil, en sélectionnant un entraînement selon sa motivation (rester en forme, préparer une compétition, se remettre en forme ou perdre du poids par exemple).

Le site vous propose un calendrier de séances, que vous pouvez modifier séance par séance, puis synchroniser avec vos calendriers Exchange ou Gmail, c'est super pratique, et bien pensé.

Puis, pour chaque séance, vous générez un mp3 de la durée de la séance, avec un type de musique que vous choisissez, ou même avec vos mp3 (au moyen d'une petite appli que vous installez sur votre ordi). Un site utile si vous avez un mp3 aquatique uniquement...

Sur ce mp3 un coach vous guide sur la séance en cours, vous donnant des instructions sur ce que vous devez faire, a quel rythme, sur quoi vous concentrer, etc. Un concept qui m'a vraiment tout de suite emballé.

Mais dans les faits, le coaching est l'élément qui pêche. Si l'idée est séduisante, il est difficile de suivre le coaching, chronométré. Par exemple, après 4 minutes de crawl, lorsque le coach annonce que l'on passe à 2 minutes de planche, encore faut-il avoir une planche à proximité.

Et si ce n'est pas le cas, le temps d'aller la chercher, les deux minutes sont passées. C'est un exemple, mais dans l'ensemble le coaching manque de construction et de but, au contraire des séances du livres.

Malgré l'utilisation super intelligente des nouvelles technologies et un concept très sympa, en plus d'être un service gratuit, j'aurais une préférence pour le livre «Mon année de natation» qui propose un coaching plus professionnel que Jiwok.

Toutefois, ce site reste à surveiller, dans l'espoir que les coachings s'améliorent !

Jiwok, le site.

Mon année de natation, 100 séances personnalisées, par Bernard Boullé-Giammatteï, aux Editions Amphora. 17€, en vente sur Amazon.

18 juil. 2011

{Test#480} Un défilé pas comme les autres par By Mutation

Je ne vous dirais pas par quel cuisinier je suis passé pour avoir des invits, mais la semaine dernière, je suis allé au défilé de prêt à porter d'une petite marque de créateur, By mutation, dans le 11e arrondissement de Paris, près du père Lachaise.

Première surprise en arrivant : le showroom est minuscule. Or d'après mes infos, c'est plus de 150 personnes qui sont attendues. Mais mon mari, déjà présent, m'attend un peu plus loin, a la terrasse d'un bar, avec un demi-pêche et la réponse.

Plutôt que de louer un espace digne de ses créations, ce qui aurait certainement coûté une fortune, et histoire de lier le pratique à l'événementiel, Tamara, la jeune créatrice, a décidé de faire défiler ses mannequins sur le parvis de l'église Notre Dame de la Croix de Ménilmontant juste là, en haut de la rue.

Nous nous plaçons donc sur les marches, sous un ciel menaçant. Car si l'idée est extrêmement originale, elle est aussi liée a la météo et ses caprices, et aujourd'hui le temps n'est ni bon, ni mauvais, rendant tout le projet très incertain.

Finalement le défilé commence avant que la pluie ne montre son nez. C'est sur les airs de Something à la mode, et la litanie de Karl Lagerfeld que vont défiler les mannequins, femmes pour la plupart, avec quelques pièces hommes, stylistiquement très très classiques.

De manière générale, l'événement est plus original que les créations, qui se veulent urban chic. Quelques tenues pour la femme sortent des lignes classiques et emmènent la collection vers une tendance un peu mode, mais dans l'ensemble, les créations sont très «portables...»

S'en suivit un cocktail dinatoire des plus réussis, (puisque c'est mon mec qui a tout fait), où mannequins, photographes, cuistot et modeux se mélangèrent, dans des conversations surprenantes...

Messieurs, vous comprendrez donc que je ne m'adressais pas particulièrement à vous aujourd'hui ; mesdames, si vous aimez dénicher des petits créateurs qui montent sur Paris, et que vous êtes plutôt casual, faites donc un tour a la boutique ByMutation.

Site internet, Tumblr, Facebook.
Le Showroom, au 30 rue Etienne Dolet
75020 Paris.

11 juil. 2011

{Test#479} "Mmmm Duff Beer !" J'ai testé la bière d'Homer Simpson

Je vous l'avais déjà dit ici, quand je vais au cinéma, je tombe sur des gadgets déments au mk2 concept store de Bibliothèque. Et la dernière fois n'a pas fait défaut à la règle. J'ai trouvé la véritable Duff Beer. Vous savez, celle d'ordinaire greffée à la main de Homer Simpson.

Le produit, tout droit sorti du dessin animé se trouve en vrai de vrai dans la vraie vie. Il n'en fallait pas plus, vous pouvez bien vous en douter, pour que je teste ça.

La bière se présente exactement comme celle du dessin animé. C'est une bouteille assez grande pour une bouteille de bière, à l'étiquette rouge, avec le logo que l'on aperçoit dans nombre d'épisodes des Simpson, sur les affiches ou autres publicités.

Je goûte, la bière est une bière blonde tout ce qu'il y a de plus banal. C'est ici le contenant plus que le contenu qui est en effet intéressant. J'attends quelques secondes après la première gorgée, mais non, je ne me transforme pas en gros bonhomme jaune. Rien de magique. Mais la bière est bonne.

Encore un accessoire de geek, à s'acheter à l'occasion d'une soirée Simpson entre amis, ou pour offrir à des fans de la série (j'en connais...) Bien entendu ce n'est pas la bière à s'acheter pour tous les week-ends, elle coûte tout de même 2,80 € la bouteille, environ 10 € le pack de 6. Pas donné pour une bête bière blonde.

Mais entre gadget rigolo et objet de collection, c'est une idée à retenir, et à ressortir bien fraîche.

En vente au concept store mk2 bibliothèque, ou sur saveur-biere.com, par exemple.

8 juil. 2011

{Test#478} Orcs, La légion du tonnerre de Stan Nicholls

Je ne sais pas ce que j'ai à toujours commencer les trilogies par le tome 2, mais c'est une vraie manie chez moi. Et le pire c'est que je ne m'en rends pas compte. Mais cette fois la surprise fut plutôt bonne.

Orcs, tome 2 (donc), La légion du tonnerre de Stan Nicholls est en effet un roman à part entière, qui se lit et se comprend complètement sans avoir lu le 1.

"Mon nom est Stryke. Longtemps, il fut synonyme de mort et de désolation. Fier d'être né orc, j'ai mené mes guerriers à la victoire, portant haut la bannière de Jennesta, et j'ai tué trop d'humains pour me souvenir de tous ! Aujourd'hui, je sais qu'il y a une autre voie. En rêve j'ai vu un monde harmonieux où les orcs, les elfes, les nains et même les humains peuvent vivre en paix. 

Ce songe doit devenir réalité ! Poursuivi par les sbires de Jennesta, traqué par les chasseurs de primes, maudit par toutes les races ; je vaincrai ! Je vaincrai ou la guerre qui éclatera nous balaiera tous ! Dans la tourmente à venir, vous serez avec moi ou contre moi. Et sachez que la pitié est un luxe que je ne pourrai plus me permettre !"

Ce livre est intéressant pour plusieurs raisons. La première c'est que l'histoire, une quête d'artefacts pour changer le monde est plutôt bien ficelée. De toutes façons les quêtes ça marche toujours... Ensuite, ce qui est drôle dans ce bouquin, c'est que d'ordinaire, les orcs sont les méchants.

Que ce soit dans Le Seigneur des Anneaux, ou tous les romans de SF du genre, les Orcs sont toujours des bêtes sans émotion qui ne font que tuer sur leur passage. Ici c'est leur point de vue que nous avons, leur quête, leurs espoirs. C'est original, et apporte quelque chose au récit.

Les passages où les différentes races se rencontrent sont plutôt sympa. Ainsi un chapitre du livre se déroule dans une ville "terrain neutre" ou chacun doit déposer ses armes, sous peine de mort. Et là se promènent des elfes, des gobelins, des orcs ou des humains, et cette mixité est plutôt chouette à lire et à imaginer. Visuellement j'imaginais un peu des scènes de Star Wars, sur Tatooïne...

Je regrette juste un peu les scènes de combat, très longues et qui partent un peu en cacahuète des fois. A force de trop vouloir détailler, l'auteur en a fait des scènes pénibles à lire. Dommage.

En tous cas c'est une lecture franchement agréable, pour les amateurs d'héroïc fantasy du genre, en vente sur Amazon, à partir de 8 €, ou sur Itunes (pour une lecture sur Ipad) pour 4,99 €.

6 juil. 2011

{Test#477} GayPride World Tour #Madrid

Sur un coup de tête, nous avons pris il y a quelques jours des billets pour passer le week-end dernier à Madrid avec mon homme, histoire de faire la fête à l'occasion de la Gay Pride dans la capitale espagnole.

C'est sous un soleil de plomb que nous arrivons le samedi matin. Il est à peine 9 heures et le thermomètre dépasse largement les 25°C. La ville est calme. Nous profitons de nos premiers instants pour nous reposer du trajet, faire une sieste crapuleuse et nous laver.

Au milieu de l'après midi, nous nous rendons dans un endroit stratégique de Madrid. Gran Via se trouve au centre du vieux Madrid, près du quartier commerçant, des rues à Tapas et du quartier gay.

Bien entendu, aux premières loges de cette croisée des chemins, un MacDonald. Mais première surprise : ici les commerces se sont mis aux couleurs de la Gay Pride. Le MacDonald est bordé de rainbow flags tandis que des éventails sont distribués.

Les autres enseignes sont elles aussi aux couleurs de l'Orgullo gay, de Sephora à H&M, en passant par les petites échoppes du métro, qui vendent pour l'occasion des boas, des casquettes, des drapeaux, le tout bariolé aux couleurs de l'arc en ciel.

Les gays sont nombreux et déambulent à travers les rues, se retrouvant, buvant des verres, mais personne ne semble bien pressé. Et pour cause, la marche ne commence ici qu'à 18 heures, rendez-vous officiel. Il fait en effet trop chaud pour défiler avant.

Nous partons donc en quête du lieu de rendez-vous, près du parc El Retiro. Le défilé mettra un certain temps avant de se décider à partir. Il est 19 heures passées quand les premiers chars se mettent en branle. Pendant plus de trois heures nous regarderons les chars passer, tous plus grands et plus festifs que ceux que j'ai pu voir la semaine précédente à Paris.

Ce qui frappe, de manière générale, c'est l'ensemble très bon enfant de la marche. Les gens se parlent, dansent ensemble, et font vraiment la fête en communion. Quelque chose qui, de manière générale là aussi, manque cruellement à notre capitale.

Cela en fait un moment très convivial, et le monde ne s'y trompe pas. Selon le site Têtu, plus d'un million de personnes auraient suivi le mouvement. Chiffres gonflés par les organisateurs ou pas, nous sommes loin des 36 000 (selon la Police) à 500 000 (selon l'inter LGBT) de la marche parisienne.

La fête a duré toute la soirée, les gens habitués à être dehors, profitant des heures les plus fraîches de la journée, faisant des haltes pour manger des tapas, ou encore se rendant dans Chueca, le quartier gay, pour y boire des verres devant tout un tas de petits concerts sur des scènes installées à l'occasion.

Pendant toute la semaine gay, Madrid arbore des bars en extérieur, devant chaque établissement, qui vendent à qui mieux mieux des Minis, concept qui nous a énormément plu : les Minis sont des "tous petits" verres en plastiques, à emporter, avec lesquels pour 4€ environ, on peut boire un demi-litre de Sangria, de Mojito, ou de Cerveza. Magique. 

Ce week-end de fête nous a laissé, à mon mec comme à moi un très bon souvenir. Une marche des fiertés sous de super auspices et une météo propice, entourés d'éphèbes et surtout de millions de sourires. Viva l'España !

5 juil. 2011

{Test#476} Le maillot de bain of the year #5 Love Boat chez H&M

Je ne vous l'ai pas présenté la semaine dernière pour cause de week-end de gaypride un peu trop festif, je ne vous l'ai pas présenté hier pour cause de gaypride à Madrid, elle aussi méga festive, mais je ne vous oubliais pas pour autant.

Entre deux Cerveza, je me suis plié à la séance photo par mon mari dans la chambre d'hôtel, et je peux ainsi enfin vous présenter mon et dernier maillot de bain de ma série d'été, de la gamme de l'année chez H&M.

Contrairement à tous les autres qui sont d'un seul tenant de nylon, celui-ci est en deux parties, en lycra et en élastane. Comme les caleçons de bain prisés des surfeurs hétéros sur les plages, avec un slip en filet de pêche à l'intérieur, et le caleçon lui-même, à l'extérieur.

Le slip filet permet un maintient du contenu du slip, tandis que le caleçon n'est donc pas forcé de suivre les courbes du corps, se permettant d'être plus lâches Ici, je vous avoue que le short est très court, et donc pas très lâche...

Finition carrément sympa de ce modèle, des passants intègrent au caleçon une ceinture, en matière élastique, attachée sur l'avant avec une boucle en métal. Ça rend du tonnerre, et donne un je-ne-sais-quoi de Love Boat.

De couleur bleu marine, un cordon à l'intérieur du slip permet de le serrer à sa taille. La matière se froisse assez rapidement, pas génial, mais sèche en revanche à une vitesse incroyable. A peine sorti de l'eau on est sec sur le transat.

Pour ce qui est du prix, il est ici imbattable. Chez H&M ce n'est jamais très cher, le modèle est ici à 14,90 €, rien à dire. Quand à savoir dans quel H&M vous pourrez le trouver, c'est toujours un peu le grand mystère de la marque. Sachez qu'en ce qui me concerne j'ai trouvé celui-ci au magasin de Rue de Rivoli.

Nous voici donc arrivés au terme de cette série sur les maillots de bain. Du Japon à l'Australie, de la grande distribution à des marques beaucoup plus confidentielles, j'ai tenté de vous présenter sous leur meilleur jour 5 modèles de maillots de bains aussi différents qu'originaux.

Maintenant, c'est à vous de voter pour le modèle qui, selon vous mérite de porter le titre de maillot de bain de l'année. C'est promis je vous ferais une nouvelle série de photos du modèle gagnant pendant mes vacances d'été pour appuyer votre choix.

Il vous suffit pour voter de cliquer sur le module juste à droite, pendant toute la semaine.

3 juil. 2011

{Test#475} Who is Black Spark ? Quand le porno et l'art se mélangent

Quand je suis tombé sur ce site, je n'en croyais pas mes yeux. Etait-ce de l'art ? Etait-ce du porno ? Un savant mélange des deux ? Mais Who (the fuck) is Black Spark ?

Si l'on en croit cette interview dans The Sword, à la base, Black Spark est un artiste, qui travaille dans le milieu de la vidéo, et qui est tellement sexuel que ce travail qui lui fait gagner sa vie, le contraint à être quelqu'un de beaucoup trop coincé.

Alors un jour il s'est dit qu'il pouvait se lancer dans des vidéos sur Xtube, se montrant dans des positions très hot, en ajoutant sa valeur artistique. Et ça a super bien marché. Les fans affluent, et tout le monde cherche à savoir qui est ce jeune homme, sexy à souhait, fait comme un Dieu, aux arguments plus qu'impressionnants.

Il faut dire qu'entre son anatomie avantageuse, son côté exhib, et ce brun de mystère qu'il cultive avec le masque ou le bandana devant son visage, ces prises de vues qui changent du porno habituel, les lumières avec lesquelles BlackSpark joue, on est très loin de ce qu'on connaissait déjà.

Si BlackSpark se cache, il le dit lui même, c'est parce qu'il ne souhaite pas être reconnu de sa famille. Mais c'est aussi devenu un jeu. Cela apporte encore plus de sexy dans ces vidéos. Le projet prenant de l'ampleur, Blackspark s'est fait aider d'amis, et d'amis d'amis, les Sparks sont 5 et tous aussi bien gaulés les uns que les autres.

Où est BlackSpark? Un peu entre Chicago, Tennessee, New York ou Los Angeles. Et il a l'air d'être quelqu'un de simple, qui aime ceux qui aiment son travail, et qui rencontre volontiers ses fans au cours de ses voyages. Sans le masque.


Et moi, ce que fait BlackSpark, ça m'excite, ça me rend fou, et ça m'émeut, et me touche. Du porno 3.0, qui fait marcher plus d'un muscle à la fois. Et ça fait du bien. 

Blackspark, le tumblr, le facebook, le Xtube (interdits aux moins de 18 ans)
© Blackspark

2 juil. 2011

{Test#474} Hit 10 de juin ! Sunny Music

Ce week-end, je suis en vadrouille à Madrid, pour faire la fête. Et qui dit fête dit musique, et en ce moment je ne sais pas vous, mais j'ai envie de trucs qui bougent, qui connotent dès les premières mesures la plage, les cocktail, et le vent dans les cheveux. Voici donc ma playlist de juin, Sunny music.

En 10è position, c'est la belle Nicole Scherzinger que j'ai choisi, avec son single Don't hold your breath. Pas des meilleures de ses chansons, un peu facile, mais il y a un je ne sais quoi dans la rythmique qui fait qu'on y revient.

En numéro 9, c'est Snoop Dogg qui veut nous faire suer avec David Guetta sur Sweat. Franchement pour tout vous dire, j'avais pas capté que c'était Snoop Dogg qui chantait, mais j'avais en revanche reconnu la Guetta's touch sur un titre comme il en propose à la pelle. Encore une fois pas des meilleurs, mais ça continue de bien mettre l'ambiance.

A la 8ème place, même si j'en ai un peu honte, c'est Loona que j'ai mis. Méga commercial, ce titre me fait penser à des tubes dance du milieu des années 90. A la recherche du tube de l'été, la chanteuse blonde nous explique de sa belle voix vocodée qu'à la plage elle aime danser sur les rythmes de la nuit, les sons de la fête ! Une chose est donc sûre, ce ne sont pas ses profondes paroles qui l'ont placée dans mon top 10...

Sur la Marche numéro 7 siège Luce, la jeune gagnante de la Nouvelle Star de l'an dernier, avec son premier single, au clip aussi rigolo qu'elle semble être. L'été noir est une chanson emprunte de beaucoup de personnalité, tout comme l'ensemble de son album éponyme, que je conseille vivement pour ses paroles autant que pour la musique.

Nous en arrivons à la 6è position avec une reprise d'un tube des années 80 par une petite jeunette dont je parlais ici. Le fameux Girls Just Wanna Have Fun est en effet repris par Miley Cirus dans une version Rock and Roll assez dynamique. J'aime particulièrement l'utilisation des cordes dans ce titre.

Top 5 avec Chris Crocker, petit gay que vous connaissez tous. Souvenez-vous, il pleurait pour Britney, priant le monde entier de la laisser tranquille dans cette vidéo qui a fait le tour du monde.

Un relooking (extrème) et une utilisation bien gérée de cette soudaine notoriété, et Chris Crocker revient avec non seulement ce single, Second to none - qui ressemble, à s'y méprendre à un tube qu'aurait pu chanter la diva pop - mais aussi du porno, visible sur son Tumblr (interdit au moins de 18 ans). Belle reconversion, y a pas à dire. Le pire c'est que j'aime bien.

A la quatrième place, voici que voilà Bob Sinclar qui reprend avec Raffaella Carra un tube gay en Italie depuis la nuit des temps, Far L'amore. La langue de la botte porte en elle le sexy de l'été. Ça donne envie de danser, et de faire des langues étrangères.

Nous voici arrivés à la troisième marche du podium, avec Beyoncé et son fameux Run The World. Une chanson scandée forte et entraînante, et dont les performances scéniques que j'ai pu voir sont survoltées. Une rythmique qui parle direct à ton popotin, tu peux pas faire autrement que de le bouger.

Médaille d'argent et deuxième place pour Shy'm et son remix de Prendre l'air. Là encore, je ne suis pas franchement fier de ce choix, mais j'assume parce que j'avoue que j'écoute un peu tout le temps cette chanson, dont je trouve le remix franchement réussi.

Et enfin, je l'ai découverte sur le podcast de Pierre Fitch, Natalia Damini avec son single Your Lies, en écoute sur son site. Ce titre me rappelle toute une époque de clubbing, de fêtes en extérieur, sur le bord de l'eau, rien de mieux pour couronner une playlist de l'été.

1 juil. 2011

{Test#473} Biorb Life, un aquarium design

Il y a un mois, à mon anniversaire, mon chéri a eu la fantastique idée comme cadeau de m'offrir avec mes amis un superbe aquarium sur lequel je lorgnais déjà depuis quelques mois chaque fois que je passais devant dans les couloirs de Truffaut.

The aquarium en question s'appelle Biorb Life, et il est à la fois design et intelligent.

Design, avec son look tiré tout droit des années 70, il est - au contraire de ses concurrents tous ronds ou tous carrés - tout en nuances, rectangulaire avec les angles arrondis, pas dans la longueur mais dans la hauteur, et présentant sur ses deux faces planes des vitres qui nous font voir par transparence derrière l'aquarium.

Les modèles sont disponibles en blanc, en noir et en rouge. Vous pensez bien que pour le mettre dans ma cuisine, c'était le rouge qui s'imposait, et ça rend du tonnerre.

Outre ses lignes épurées, ce qui contribue au zen de ce modèle, c'est qu'il n'y a pas des tonnes de fils pour la pompe, l'oxygène ou la lumière. Discret jusqu'au bout.

Intelligent, je vous disais, parce que le système Biorb ce n'est pas qu'un contenant, c'est aussi un contenu. Tout un microcosme géré pour fonctionner comme il faut.

Dans le couvercle, un système de Led permet de contrôler la lumière au moyen de programmes, sans chauffer l'eau.

L'aquarium peut ainsi s'allumer en simulant un lever du soleil pendant une heure, puis s'éteindre progressivement tout seul le soir, après 5, 8 ou 14 heures de lumière blanche. Le bouton est caché sur le couvercle.

Dans le colis sont livrées des céramiques qu'il faut mettre au fond de l'aquarium (pas de terre), ainsi qu'un long tube et un système de filtration. L'air en montant dans le tube entraîne de l'eau, créant ainsi un courant ; les 60 litres d'eau sont donc filtrés et aérés sans moteur, juste avec la pompe à air.

Une technologie super étudiée et un design canon qui ont un prix : il faut compter en ligne un peu plus de 200 € pour le petit modèle et près de 250 € pour le grand modèle (hors frais de port). Jetez un oeil sur le site, les autres modèles sont aussi très sympa.