31 déc. 2014

#520. Des yaourts au soja homemade (recette de lesbienne écolo)

La loose quand tu passes à 30 ans, c'est que c'est le début d'une période où tout, autour de toi te rappelle que tu vieillis. Les lendemains de cuite commencent à devenir vraiment merdiques, tes amis autour de toi déclenchent des maladies, allergies, ou intolérances.

Parmi tous ces trucs pourris, beaucoup de gens dans mon entourage sont intolérants au gluten, ou au lactose. Mon médecin m'a même conseillé, alors que je ne le suis pas moi-même, d'arrêter purement et simplement de boire du lait ou de manger des yaourts au lait de vache.

Et comme, figurez-vous, je me fais mes yaourts maison (oui, je sais j'ai déjà un côté mamie lesbienne avant l'heure), je me suis dit "pourquoi ne pas essayer de les faire au lait de soja". Et conclusion, non seulement c'est faisable, mais c'est tout aussi facile que de les faire avec du lait de vache.

Le seul problème : je n'aime pas le goût du lait de soja. Problème vite réglé en y aoutant un arôme artificiel d'orange. Allez on y va pour la recette :


1. Vous avez besoin d'un grand saladier, un fouet, des pots de yaourts vides, un yaourt au soja (que l'on peut remplacer par de la présure)  un litre de lait de soja, un flacon d'arôme.

2. Versez tout le yaourt dans le saladier.

3. Ajoutez le litre de lait de soja et mélangez.

4. Ajoutez quelques gouttes d'arôme. Mélangez de nouveau.

5. Remplissez les pots de yaourts et placez les 9 heures dans une yaourtière ou dans un four chaud toute une nuit.

C'est tout. 
Mettez au frais, vos yaourts se conservent une bonne semaine. Et franchement, c'est pas mauvais et plus digeste.

29 déc. 2014

#519. Beardilizer, grosse arnaque ou vrai accélérateur de pousse de barbe ?

Il y a quelques semaines, on parlait partout de ce nouveau complément alimentaire. Beardilizer, qui promet une barbe accélérée, plus pleine, plus forte. En ces temps où la barbe est passée de mode à incontournable accessoire, ce complément est sensé ravir ceux qui aimeraient bien, mais qui n'ont pas la pilosité nécessaire. Alors qu'en est-il vraiment ? 

J'ai commencé à tester ces gélules juste après Movember, étant au plus bas de ma barbe, moi qui la porte toute l'année. Mais comment comparer avec une pousse sans gélule ? Il me faudrait la mesurer jour après jour, puis raser de nouveau et refaire l'expérience sans le traitement. Chiant.


D'autant que ma barbe à moi est pleine et dense. Difficile donc de juger sur pièce. Je me suis donc concentré sur les éléments que j'avais à disposition. Le site tout d'abord.

Le produit est fabriqué en France, naturel, végétal et multivitaminé. Le traitement standard recommandé est de 1 gélule 3 fois par jour, pendant 2 mois. Le flacon contient 90 gélules, il faut donc prévoir d'en acheter deux boîtes. A 34,90€ le flacon, ou 63,90 € le pack de deux flacons, c'est tout de même un sacré budget.

Conseil supplémentaire, le site recommande de commencer par un traitement intensif pendant 10 jours. 3 fois 3 capsules par jour, soit une boîte supplémentaire, ce qui nous fait passer au pack 3 boîtes à 89,90 €. La barbe du millionnaire.


Une des questions de la FAQ m'intéresse : Beardilizer fait-il pousser uniquement les poils de barbe ? Selon le site, oui car les follicules des cheveux, des poils du corps ou des sourcils sont très différents.

C'est pour ma part la première fois que j'entends parler d'un complément alimentaire capable de cibler son action, sachant que ce sur quoi il agit est la kératine, présente dans les cheveux, les poils (donc la barbe) mais aussi les ongles. Surprenant.

Sans contre indication ni contrainte on peut le prendre toute l'année (ben tiens) et les chiffres annoncés sont étonnants : 85% de réussite chez les sujets ayant une barbe éparse.

Si on jette un coup d'œil à la composition, c'est d'un premier abord incompréhensible : MSM, L-Méthionine, Biotine, L-Cystine, acide Pantothénique (vitamine B5). Et des vitamines en pagaille, E, C, B12, B1, B2, B6, etc... Googlisons tout ça...


Première constatation, sur le site eurekasanté, un avertissement concerne une grande partie des éléments présents dans la composition. En 2012, les autorités de santé européennes se sont prononcées sur certaines allégations santé, notamment des compléments alimentaires.

Et ils ne peuvent, par exemple pour le MSM, "affirmer qu'il contribue à maintenir une concentration normale de kératine dans la peau, les ongles et les cheveux". En revanche rien n'est dit sur les poils faciaux. Un petit come-back sur le site, qui nous annonce pour la même molécule qu'elle "améliore l'aspect du système pileux facial".

Et je vous passe le jeu sur toutes les molécules, où chaque fois c'est joué sur les mots.

Et si l'on cherche d'autres compléments alimentaires qui annoncent une pousse rapide des cheveux, on retrouve globalement la même composition. Difficile de croire à l'histoire.


De là à ce que ce soit un mauvais produit, je ne pense pas. Il contient, comme d'autres compléments alimentaires beaucoup de choses qui nous manquent, comme des vitamines, du cuivre, ou du béta-carotène.

Mais pour moi, ce n'est qu'un simple complément alimentaire, avec un bel emballage et un concept qui surfe sur la mode, et surtout avec un prix très élevé pour ce qu'il propose (exemple : 19,90 € pour Forcapil 180 gélules contre 89,90 € pour Beardilizer)

Alors économisez vos euros et laissez pousser, ça finira bien par arriver. Ou pas.

Sources : Eureka santé

26 déc. 2014

#518. Exodus, Gods and Kings vs Les Boxtrolls

Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment, mais mon choix de films est assez nul. Après un passage raté avec le Hobbit, je me suis laissé tenter hier par Exodus, Gods and Kings, la version Ridley Scott de l'histoire de Moïse.


Un Péplum pour le jour Noël, je pensais pourtant ne pas pouvoir me tromper. L'hommage de Ridley a son frère, reprenant les travers connus du pharaon Ramsès et son demi-frère Moïse est assez décevant.

Dieu est figuré comme un enfant de moins de 10 ans, qui parle comme un adulte et apparaît à Moïse de façon assez flippante. C'est d'ailleurs à mon avis une des meilleures idées du film.


Moïse, joué par Christian Bale est un leader d'opinion plus qu'un prophète. Souvent en désaccord avec son Dieu, les plaies d'Egypte sont ici toutes plus ou moins rationnellement explicables, semant le doute quant à sa santé d'esprit.

Le film avait, m'apprend le magazine Trois juste avant la séance, été boycotté aux Etats-Unis avec le hashtag #BoycottExodusMovie pour la pâleur de ses acteurs principaux. Très hollywoodien, il nous présente en effet un casting blanc pour les personnages principaux, réservant la couleur aux esclaves.


On se demande un peu la raison de la présence éclair de Sigourney Weaver dans le rôle de la mère de Pharaon. En revanche, bonne surprise : Josué, un des personnages secondaires est très bien interprété par Aaron Paul, que j'étais ravi de redécouvrir après son excellent rôle de Jesse dans Breaking Bad.

Je n'ai heureusement pas terminé mon jour de Noël sur cette note décevante, car j'ai également regardé Les Boxtrolls, film d'animation de Graham Annable.


Très joliment réalisé, dans un univers riche et travaillé, c'est l'histoire d'un garçon, recueilli par les Boxtrolls, gentils trolls qui s'habillent dans des boîtes. Curieux, bricoleurs et très drôles, ils vivent dans les sous-sols de Cheesebridge, une ville bourgeoise où le luxe tourne autour du fromage.

Leurs habitants pensent que les trolls sont des méchantes créatures, qui vivent dans les profondeurs de la terre au milieu de rivières de sang et de montagnes d'os. Ils décident alors de les exterminer... Une vraie belle histoire, et 1h37 sans une minute d'ennui !

24 déc. 2014

#517. Just dance now, plus besoin de console pour danser dans ton salon !

Nous sommes le jour du réveillon et vous allez ce soir manger des huîtres à n'en plus finir, des bûches glacées et du chapon, du foie gras et du saumon fumé, enfin bref vous allez vous vautrer dans la bouffe en famille, et ensuite vous retrouver coincé dans le canapé entre mamie et tata Yvette le ventre bien plein.


Et comme le dit si bien l'adage, "Pour votre santé, pratiquez une activité physique régulière". C'est le moment ! Et avec l'application gratuite Just Dance Now, pas besoin de ramener la console chez tata Yvette qui nous a invité, on peut maintenant jouer à Just Dance sans console. Eh ouais !

J'ai testé cette appli chez moi, et chez des amis, et je suis assez réjoui de cette idée. Postulat de départ, j'aime le jeu Just Dance. Tous les ans j'organise une soirée Just Dance contest où chacun se combat pour qu'il n'y ait plus qu'un seul vainqueur ! Grandiose...


Ici, même combat, vous vous affrontez, par deux, trois ou quatre devant un écran. Pour cette version, il y a juste besoin de smartphones (un par joueur), d'une connexion internet et une télé connectée ou d'un ordi et de quoi le relier à la télé. Le jeu marche aussi sur Chromecast.

Comment ça marche : Vous vous connectez au site justdancenow.com, et lancez l'appli sur votre smartphone. Vous devez entrer un code que vous donne le site, ce qui vous fait entrer dans une "room", comme tous ceux qui entrent le même code.


Lorsque vous jouez votre smartphone remplace la manette de la console. Alors bien entendu, avec des petites mains et un gros téléphone, c'est pas pratique. Sinon c'est tout comme sur une Wii ou PS, vous reproduisez en miroir les mouvements de chorégraphie qui apparaissent à l'écran.

A l'issue de la chanson, un des joueurs est le gagnant. Petit plus assez sympa, comme vous jouez avec votre smartphone, vos scores vous accompagnent là où vous allez, ainsi que votre avatar que l'on peut synchroniser avec Facebook, et comparer les scores avec deux de vos amis.


En version gratuite, 5 chansons sont disponibles par jour. L'appli vous propose d'avoir accès à toutes les chansons, soit 82 tout de même, pour 0,99 € pour une heure, ou 1,99 € pour 24 heures. Le truc vraiment bien de cette version du jeu, c'est qu'on peut improviser une partie presque chez tout le monde, et au final, pour pas très cher.

De quoi faire danser tata Yvette jusqu'au petit matin.

L'appli Just Dance Now est gratuite, sur Google Play ou Itunes.

22 déc. 2014

#516. La doudoune XX-light chez Décathlon

On la connaissait depuis un bail chez Uniqlo, la doudoune super light. Qui tient très chaud mais ne te donne pas l'impression que tu es devenu un Bibendum en la portant.


Decathlon se lance avec sa marque Quechua et propose la même chose, en version moins chère. Son prix d'appel est de 39,95€ avec ses doudounes X-light. Légères, elles tiennent chaud sans avoir à porter 3 couches de pull en dessous (c'est le principe).

Mais en revanche le choix de couleur n'est pas génial. La gamme du dessus, XX-light, propose des modèles encore plus fins, et des couleurs un peu plus sympa. Celle que j'ai choisie est bleue et la doublure en jaune.


Parce que les fringues noires l'hiver, c'est déprimant. Et que je ne mets pas beaucoup de noir.

Ce modèle Quechua est proposé à 54,95€, ce qui le place à moins de 5€ seulement de son concurrent direct chez Uniqlo (qui fait en ce moment une promotion à 59€). Les deux modèles sont assez équivalents, en duvet de plumes, se rangent chacun dans une poche, et proposent de lutter contre le froid mais pas la pluie, aucun n'étant imperméable.


Le plus du modèle Uniqlo : une version spéciale MoMa édition, assez sympa au niveau du motif de la doublure, en Keith Haring.
Le moins du modèle Uniqlo : moins fin que l'autre, sa coupe est un peu trop droite.

Le plus du modèle Quechua : sa coupe un peu plus ajustée et près du corps, son prix plus attractif (si on compare au modèle Uniqlo sans promo, 35 € de moins)
Le moins du modèle Quechua : son côté plus rando, et moins citadin.

Le modèle XX-light bleu chez Décathlon. Le modèle rouge MoMa édition chez Uniqlo.

19 déc. 2014

#515. Emvie, un artiste à découvrir sous tous les angles

Quand j'ai vu passer ses photos sur mon mur Facebook, posté par je ne sais plus quel ami, je me suis juste dit : "Wow beau gosse..." Et puis quand il est passé une nouvelle fois, je me suis mis à lire les mots qui accompagnaient les photos : Emvie sort son premier album.


Le jeune homme a un site internet plutôt bien fait, on trouve son album, Light Sound (made in home) sur toutes les plateformes. J'ai écouté et me suis rendu compte que je connaissais le bonhomme par un ami commun. Je l'ai donc contacté, et plutôt que de vous parler de sa musique, je lui ai demandé de le faire.

La scène se passe dans un Starbuck bondé, où il doit faire approximativement 45°C.

Fabisounours : Ton album est produit grâce à un site participatif. Tu as atteint ton objectif de 5000€ pour presser ton album. Qu'est ce que ça fait ?
Emvie : Je trouve ça très rassurant. Tous les artistes ont besoin de se sentir soutenus. C'est juste une étape, il y a encore beaucoup de travail à faire, mais ça me rend heureux.

F : Tu as beaucoup de fans ?
E : Quelques uns, oui. Je ne suis qu'au début de ma carrière. Mon premier single est sorti il y a 4 ans, et mon album il y a quelques mois, c'est le tout début de l'aventure, et je fais ça depuis déjà 7 ou 8 ans.

F : Tu as un studio maison, et comme le dit ton album, tout est home made. Tu es aussi musicien ? 
E : Oui et non. J'écris, je compose, j'interprète, mais j'ai mes musiciens. J'aime beaucoup travailler avec eux. Après je recomstruit, j'arrange tout ça. C'est assez accessible en fait, aujourd'hui d'avoir son studio.


F : On sent que tes choix musicaux ne sont pas mainstream. Il y a des partis pris intéressants. Est-ce que c'est important pour toi de pouvoir te dire libre artistiquement ? 
E : C'est super important, et je le serais encore plus dans le prochain album.

F : Tu es jeune, et ton style va à l'encontre des stéréotypes actuels. Ta musique est old school, groove. D'où ça te vient ?
E : le côté groovie, ça vient de ma mère. C'est elle qui me faisait écouter toute la musique qui m'a influencé.

F : Pour ma part je n'ai aucune connaissance de la musique funk ou groove. Je vais te dire à qui j'ai pensé en écoutant tes musiques et tu me dis ce que tu en penses : 
Ophélie Winter ? Mhhh... Pourquoi pas...
Sting ? Ah non, pas du tout.
Kool and the gang ? Oui, carrément !
Madonna ? Oui, évidemment...

F : Et aujourd'hui, ton style de musique c'est quoi ? 
E : Je suis de manière générale très électro house et ça s'entendra beaucoup plus dans mon prochain album, sur lequel je bosse. Là tout de suite, je pense à, pêle mêle : Daft Punk, Madonna, Camille et Mickael Jackson.

F : Dans tes chansons, tu parles d'amour, de sexe, de relations, de l'inspiration de l'artiste. C'est tout toi ? 
E : C'est ma bio, mais en douceur. J'ai énormément de choses à dire, et j'aime l'exprimer dans mes chansons.


F : A qui tu parles, dans ton titre "Juste" ? 
E : En fait à tout le monde. On fait des tas de rencontres dans la vie, des fois ça se passe bien d'autres fois moins bien. Beaucoup de gens peuvent se retrouver sur cette chanson.

F : Tu as fait de belle rencontres professionnelles comme Laurent Petitguillaume ou Desireless avec qui tu as fait un duo. Qu'est ce que ça t'a apporté ?
E : Desireless est une personne humaine, très pro et ça a été un bonheur de bosser avec elle. Un moment magique. Laurent Petitguillaume est devenu un vrai ami, un mentor, un frère. Il a écrit certains de mes textes. Il me soutient beaucoup. Quand on a commencé à travailler sur mon album, tout s'est mis en place rapidement, facilement, de manière centrée et logique. C'était Juste.

F : Quand je t'avais croisé il y a 4 ans, tu n'avais pas ce look. Un chapeau, pas de moustache... C'est important pour toi l'apparence, dans la vie d'un artiste ?
E : Le look est ultra important. Pas parce que je suis un artiste, tout le monde devrait avoir un vrai look qui lui appartient.


F : Alors imagine que je suis producteur et que je te demande pour ton prochain album de changer radicalement ton look. Tu as 30 secondes pour y penser
E : Whaouh, euh ok. Alors j'aurais les cheveux colorés, en gris blanc. Je garderais ma moustache, parce que je l'aime bien. Et je porterais des pointes de danseur. (lol). Oh mince, je suis en retard à mon cours de BodyPump !

Emvie est un artiste vraiment chouette, plein de vie et d'envies. Si vous aussi vous voulez découvrir son album, il est disponible en digital sur toutes les plateformes, et l'album physique sur son site internet !

Light Sounds (made in home) sur Itunes, Deezer, Spotify.
Suivez-le sur Facebook ou pour les yeux sur Instagram

17 déc. 2014

#514. Soyez perfect pour les fêtes avec GlamGlow

Nous sommes à une semaine des fêtes, et soyons francs, vous n'avez pas fait grand chose pour votre peau ces derniers temps. Et avec le froid des derniers jours, c'est pas topissime. Si vous ne voulez pas peler ou avoir des plaques rouges au repas du réveillon, c'est maintenant qu'il faut s'y mettre.


Let's go avec la gamme GlamGlow.

J'ai testé deux produits de cette gamme qui composent le pack "Sexy pour lui" : le masque exfoliant jeunesse Youthmud et le soin purifiant Supermud. Packaging hollywoodien pour ces produits de beauté que les stars revendiquent partout sur les réseaux sociaux, il paraît.

Le premier des produits est un tout petit pot de 15 g. Le Youthmud est un peu le caviar des crèmes quoi. Masque exfoliant jeunesse, ses composés viennent des bords de la mer méditerranée, Cannes, Monaco... On surfe sur le côté star du produit.


Quand on lit la description, ce sont des Polyphénols, Collagène hydratant, technologie TEAOXI* et anti-oxydants puissants, extraits de feuille de thé vert. Y'a du lourd la dedans, et ce n'est pas rien si la gamme a été adoptée par bon nombre.

Le soin est conçu pour exfolier doucement la peau et la ressourcer en 10 minutes. Le produit ressemble à une argile assez fluide. Il s'applique au doigt sur la peau, en évitant le contour des yeux et du nez, comme tous les masques en fait... La pose est donc de 10 minutes, et on retire en rinçant, à l'eau claire.

Le site officiel propose d'utiliser le produit 2 fois par semaine, ou plus selon les envies. Ruinant... Je pense que ce genre de produits ciblés s'utilise une fois par semaine maximum.

La crème est aisée à poser. Des bouts d'on ne sait pas quoi sont dedans et exfolient la peau. La crème sent la fleur, la rose, sans doute. Agréable elle laisse la peau douce. Un produit plutôt sympa.


Le second produit est un pot plus grand, de 34g. Le Supermud est un soin purifiant 2 en 1, qui fait aussi bien office de gommage et de masque. A utiliser donc en alternance avec le premier.

Dans sa composition, des acides AHA et BHA, du charbon, et toujours la technologie TEAOXI*. Ce soin est plus ciblé pour combattre les imperfections de la peau et la laisser nickel au premier usage. Le produit sent cette fois le réglisse.

C'est donc exactement ce qu'il te faut avant le réveillon.


Celui-ci se pose entre 5 et 20 minutes, selon la tolérance au produit j'imagine. Pour ma part je l'ai gardé un peu plus de 10 minutes, je m'ennuyais et l'ai enlevé. Une fois le produit rincé, la peau est vraiment lisse et purifiée. Mais en plus les effets se font ressentir pendant plusieurs jours après la pose.

C'est pour moi le plus efficace et complet des deux.

Le coffret est vendu aux alentours de 69$ selon les sites.
Le Supermud seul coûte 49,90€ chez Sephora. Idem pour le Youthmud, en version large.

* Brevet en cours. 

15 déc. 2014

#514. Les oeufs de Tenga. On remet ça, version spider

J'avais parlé des oeufs de Tenga ici même dans les débuts de mon blog. Un article étonnant sur un objet totalement nouveau et déroutant. Un masturbateur en forme d'oeuf. A emporter partout.
Un ami à eu la bonne idée de nous offrir, à moi et quelques amis, les versions 2.0 de ces oeufs. J'ai donc testé (de nouveau) pour vous, cette fois la version spider.


L'œuf de Tenga spider se présente comme sa version classique. En gros c'est un Kinder, dans lequel on trouve un bout de silicone, perforé à un de ses bouts. Comme pour le cadeau du chocolat où la notice et les pièces sont souvent imbriqués, ici on trouve dans l'orifice un petit sachet de gel lubrifiant, et une notice.

Bon en terme d'utilisation, c'est assez simple. On lubrifie et on place l'embout sur le bout, puis on laisse l'imagination faire les choses. Vous voyez quoi. 


Le silicone est très extensible, et selon le site peut recouvrir entièrement une bouteille de 50cL. Sacré engin... Les sensations sont proches de celles dont je me souvenais sur ma première utilisation. Quelque chose d'agréable, surprenant parce que peu commun, à mi-chemin entre un rapport buccal et manuel. 

Je m'imaginais que l'intérieur de l'oeuf était parcouru de fils de silicones, ce qui provoquerait des sensations encore plus inconnues, mais non. Il ne s'agit que de la paroi de l'œuf en silicone qui est nervuré en forme de toile d'araignée. Tout comme le Wavy l'était de vagues. C'est en fait assez similaire.


L'utilisation est sensée être unique. Ou pas si l'on utilise un préservatif en plus, selon le site officiel. Ou selon un de mes amis, qui le lave et le réutilise. Tant que cela reste personnel, pourquoi pas, c'est comme une brosse à dents, vous en faites ce que vous voulez, après tout.

Selon mes amis, toujours, qui le testaient eux pour la première fois, l'un n'a "pas trouvé ça dingue, préférant sa main". Il était toutefois plutôt content de cette nouvelle expérience. Un autre trouve ça au contraire "plutôt cool", préférant lui aussi "sa main sur la durée et le mouvement", mais "au moment de l'*bip*, l'impression de *bip* dans une *bip*", plutôt satisfait donc. Puis la conversation a dévié sur le fait de pouvoir, ou non laver l'engin, et si oui, au lave-vaisselle.

Un produit qui reste donc sympa mais occasionnel. Pour un petit cadeau, ou à glisser dans une valise pour un voyage en solo, c'est une expérience qui reste étonnante mais qui ne devient pas une habitude.

Les différentes versions de l'œufs sont toujours aux alentours de 10€, chez Passage du Désir ou 1969 avec également de nouvelles versions : Surfer, Misty, Thunder, Cloudy, Shiny et des version collector Keith Haring, par exemple...

12 déc. 2014

#513. Un sapin en carton à faire soi-même. DIY

Tous les ans avec mon mec, on essaie de faire un sapin un peu sympa. En évitant soigneusement le tout rouge ou les petits bonshommes de bois. Et avec un sapin en plastique, parce qu'avoir un cadavre d'arbre chez toi qui se décompose pendant un mois, c'est pas trop notre truc.


On avait ainsi fait un sapin décoré de sablés colorés, ou encore un autre avec des décorations PacMan et Space Invaders faites avec des perles (ouais on est un peu déglingués).

Cette année, nous avons décidé de faire un sapin à la main, en carton. Le thème : écolo. En s'inspirant d'un sapin en carton de l'estonienne Kristi Tamming, j'ai créé le mien et vous propose de le refaire.


Il vous faudra : 
• 2 grands cartons (de la taille de votre sapin une fois terminé)
• 1 cutter
• De la colle en bombe
• Une règle et un stylo
• Une planche à découper pour protéger votre plan de travail


Commencez par couper les cartons en 2 pour avoir 4 pans de cartons identiques. Puis tracez la ligne centrale d'un des pans de carton. Dessinez la moitié du sapin, puis coupez au cutter en suivant les traits. Enlevez les parties inutiles.


Avec un couteau, repassez sur la ligne centrale pour plier le premier pan. Enduisez la partie déjà découpée de colle et collez la sur un nouveau pan de carton. Tracez sur celui-ci la ligne centrale et recommencez à découper les parties inutiles.


Faites de même sur tous les pans de cartons (cela fait 8 moitiés de sapin à découper).


Il ne vous reste plus qu'à décorer votre sapin. Pour nous juste une plante et une guirlande lumineuse. Le tour est joué. 


Et si ça vous tente de faire le même chez vous, téléchargez le patron de mon sapin juste ici. 
Envoyez moi les photos si vous le faites !



10 déc. 2014

#512. J'aurais voulu être un hobbit !

Hier soir, je m'étais inscrit pour aller voir le troisième acte du Hobbit en avant-première sur le site Mk2. La séance est à minuit, et le film dure 2h25, je vous laisse vous figurer mon état ce matin.

Je m'étais imaginé, étant donnée l'heure de la projection, une séance pleine de geeks avec des gens habillés en hobbits ou d'autres en Gandalf le gris... Enfin c'est ce que j'imaginais seulement. 


Récit d'une soirée.

22:04. Nous voilà attablés au Frog Bibliothèque juste à côté du Mk2. Une pichet de bière va bientôt arriver. Espérons que ça ne nous endorme pas pendant le film... Le pichet est quand même pas mal énorme. 

23:41. Nous sommes dans la file d'attente pour récupérer nos places. Pas de hobbit en vue je suis assez déçu. En fait d'une avant-première, c'est plutôt une première. Impossible de récupérer nos places en avance, car la caisse ouvre à minuit. Tout le monde se rue donc sur les caisses et bornes. Je sens que ça va être épique. 

00:20. Nous sommes enfin dans la salle avec nos lunettes 3D, et en y regardant bien quelques nerds aux cheveux longs et fileux passeraient facilement pour des elfes. Cela me remonte un peu le moral. Malgré le nombre de gens dans le hall tout à l'heure la salle est super grande et pas remplie, nous sommes bien placés.

00:30. C'est parti ! Enfilons ces lunettes. 


01:28. Mes lunettes me font mal au nez et derrière les oreilles. Et je résiste à la tentation de m'endormir... 

02:45. Le film se termine. Pas un applaudissement. Pas un nain armé jusqu'aux dents qui ne monte sur la scène. Mais où sont les fans? Certainement couchés et je me dis que j'aurais du faire de même...

Moi qui regarde la trilogie du Seigneur des Anneaux au moins deux fois par an, moi qui avais aimé le Hobbit épisodes 1 et 2, je suis terriblement déçu. Mais j'y viens. 


Commençons par le positif. On retrouve les personnages qu'on a aimé et qu'on aime encore. Gandalf, Legolas, Bilbon. Pas de mauvais acteur dans le casting. Paysages grandioses, batailles épiques, vues du ciel imprenables pendant l'épisode du dragon, le visuel est beau et mérite (ce qui est assez rare) d'être vu en 3D. 

Cependant, ce troisième volet est dans l'ensemble assez nul. Le scénario est plié en moins d'une heure. Tout le reste n'est qu'une bataille interminable, des adieux à certains personnages longs comme le bras ou un épilogue, retour en Comté qui prend trois plombes. 

Le film qui dure près de 2 heures et demie aurait pu durer une heure de moins facilement si toutes les scènes trop longues avaient été coupées. Quelques énormités au niveau des effets spéciaux, de quelques dialogues ou même du scénario qui ont fait rire toute la salle. 

Résultat : je suis crevé et même pas pour la bonne cause. Merci Peter Jackson !

8 déc. 2014

#511. Freeletics, la nouvelle appli-coach sportif à la mode

Depuis quelques semaines je teste une nouvelle application coach de sport : Freeletics. Après quelques jours d'essai en mode gratuit j'étais assez déçu. Les fonctionnalités offertes sont assez réduites. Seuls les mouvements libres et quelques rares entraînements sont disponibles. La fonction coach ne l'est pas. L'appli gratuite a assez peu d'intêret.


Pourtant, après avoir vu les vidéos de présentation, bien faites et précises au niveau des placements et de la décomposition du mouvement, j'ai commencé à lire les pages de conseils et, séduit je me suis laissé tenter par la version payante.

Pour 39,90 €, la totalité de l'application est disponible pendant 15 semaines, soit 2,66 €/ semaine ou 10,64 €/ mois. Pas donné pour une appli, mais pas cher pour un coach, donc à voir. Car la version payante donne droit à cette fameuse partie coach


Celle-ci commence par un test, sur quelques mouvements. Le temps est relevé. Puis un questionnaire permet de décoder les motivations : perte de poids, prise de muscle ou entretien. Le formulaire vous demande quel poids vous faites, ou combien de temps vous souhaitez vous entraîner par semaine. Et hop c'est parti !

L'application vous crée alors un programme spécial, en combinant un des 19 Workouts qui portent des noms de divinités comme Iris, Zeus ou Hadès et des phases de running. Chaque workout est assez court (comptez 1/2h environ) et ne nécessite aucun matériel, basé sur des notions de Crossfit et de HIIT et d'effet afterburn. Il peut donc être effectué en salle, chez soi ou dehors. Pas de raison de ne pas y aller. 


Un échauffement et un peu de stretching sont aussi proposés pour bien commencer et terminer la séance. Pour chaque séance, le temps est enregistré et comparé à vos propres compétences précédentes. Et pour chaque mouvement, un autre, alternatif vous est proposé si celui-ci est trop dur à faire. 

A la fin de chaque séance, vous obtenez des points, qui vous font progresser de niveau. Vous pouvez ainsi vous comparer aux coachs Freeletics (genre...), ou à d'autres "amis". Car l'appli a aussi une dimension sociale, où vous pouvez laisser des commentaires sur votre mur, et commenter les séances de vos amis*. 


Certains exercices complexes, comme les pompes à une seule main (Oh pushups) ou les squats à une seule jambe (pistols), ne font pas partie des entraînements de base. Si vous les maîtrisez, ils peuvent être débloqués dans vos compétences, et ainsi ouvrir d'autres entraînements. 

De même lorsque vous avez mal quelque part, vous pouvez le signaler en début de semaine, et poser une "limite" qui sera prise en compte lors de la génération du programme de la semaine. 


J'en suis à ma 5è semaine d'entraînement, et je vous avoue que j'en chie. Chaque entraînement est vraiment dur, et tout repose sur une motivation à toute épreuve et une vraie envie d'aller au bout. Des mails sont envoyés régulièrement pour vous aider à vous motiver. "No Pain, no gain", "Vous êtes sur la bonne voie","Vous méritez nos #ClapClap" sont autant de leitmotivs. 

Mais j'avoue que ma condition physique est très bonne et que les entraînements portent leur fruit. Au moins je sais pourquoi c'est si dur. 

Une appli qui est donc bien conçue, et qui est un vrai accompagnement de sport. On peut retrouver plein de conseils sur le blog. Le site propose également un guide nutritionnel, qu'il faut payer en plus (1,99€ / semaine, 29,90€ pour les 15 semaines). 

On regrette que ce guide, que j'imagine assez complémentaire étant donné la rigueur du programme sportif ne soit pas intégré au forfait de base qui reste dans tous les cas un peu cher. 

*D'ailleurs, si vous avez Freeletics, ajoutez moi : Fabien Lesage

5 déc. 2014

#510. Crazy fringues chez Cool Shit (Hungry Castle)

Histoire étonnante que cette découverte de Cool Shit. Laissez-moi vous raconter. Avec des amis, pendant la dernière saison de Game of Thrones, nous avions un jeu à boire. A chaque fois que quelqu'un disait #Hodor, nous devions boire un coup. Il faut avouer que certains épisodes (où le personnage n'était pas présent), on ne buvait pas grand chose, et d'autres où nous étions carrément pompette.

Pour rigoler, j'ai trouvé sur le net et posté sur le mur Facebook desdits amis cette vidéo complètement loufoque :


Tellement du grand n'importe quoi, que ça a piqué ma curiosité. Qui avait bien pu faire un truc pareil ? La réponse c'est Hungry Castle.

Hungry Castle, c'est un collectif d'artistes espagnols, Barcelonais pour être exacts, spécialisé dans le street art et le fashion. Comme leur site internet nous le précise, c'est "leur art qui inspire le fashion, mais c'est le fashion qui pourvoit à leur art". Ainsi en achetant une casquette ou un T-shirt de leur collection, Cool Shit, vous patronnez un de leurs projets artistiques.

Génial !


Je me suis donc rué sur un super T-shirt hamburgers, que j'adore. Un de mes plus beaux, avec ceux licornes... Pas très cher, je le reçois quelques jours après, et le T-shirt est bien imprimé, sur un tissu très agréable, on est loin des vieux produits que l'on trouve souvent, mal réalisés dans les projets de ce genre.

Les promos sont fréquentes et les produits pas super chers, les T-shirts entre 20 et 35 € et les casquettes entre 25 et 30 €. Mon premier contact avec Cool Shit a été de m'inscrire à leur Newsletter, et de recevoir en échange un lot de stickers gratuits.

La boutique Cool Shit ici. 


Sympa...

Concernant leur street art, il s'agit souvent d'installations géantes en 3 dimensions, inspirées du travail de Jeff Koons, avec un quelque chose d'interactif en plus. Je suis super fan de leur travail.

Quelques unes de leurs installations ici. 


Ajoutons que les tirages de leurs fringues sont limitées. Ce qui donne un caractère encore plus sympa aux pièces qu'on y achète. Après, je le concède, ce n'est pas du discret-discret... Tendance, oui, mais voyant. Il faut assumer.

Pour en savoir plus sur le boulot de ces artistes, faites un tour sur leur blog. 

Vous en pensez quoi ? Dément, non ?

3 déc. 2014

#509. Kinship, quand Isabelle Adjani se prend pour la rédac chef

La semaine dernière un ami m'a invité à aller voir Kinship au théâtre de Paris. Il s'agit de la dernière pièce où joue Isabelle Adjani. C'était l'argument pour y aller. Je n'avais jamais été voir Madame Adjani au théâtre, et mis à part la Reine Margot ou Pull Marine, je n'étais pas un grand connaisseur de sa carrière. L'occasion de remédier à ça.


Le pitch : {...} Kinship nous raconte l'histoire passionnelle qui se tisse entre une femme d'influence, rédactrice en chef (Isabelle Adjani), et un jeune reporter (Niels Schneider) qui travaille sous ses ordres et l'obsède de plus en plus. Mêlant inexorablement la vie intime et la sphère professionnelle, ces deux êtres sont pris dans la mailles d'une relation complexe, {...} sous le regard complice et parfois envahissant d'un troisième personnage (Vittoria Scognamiglio), meilleure amie de la première et mère possessive du second. {...} L'intrigue de Kinship se noue et se dénoue, au fil de vingt-deux scènes aussi drôles qu'émouvantes.*

Tout d'abord une visite sur Google nous apprend que Kinship veut dire "parenté". C'est un bon point, je dormirais moins idiot.

Le rideau se lève sur une scène presque vide. Deux chaises et une table, le fond de la scène est habillé par des images rétroprojetées. Minimaliste. 3 acteurs seulement, et une danseuse. Les scènes sont très courtes. De la à être drôles comme le dit le pitch, pas sûr.

(Photo ©San Bartolomé)

Une chose rigolote est que les personnages ne portent pas de nom. Il y a Elle, et Lui, et enfin l'Amie, ou la Mère. Je ne m'en étais pas rendu compte jusqu'à ce que je me penche le lendemain de la pièce dans le livret.

La part belle est faite au jeu des acteurs. C'est tout à l'honneur d'Isabelle Adjani, qui joue parfaitement juste, alors même que parfois la traduction n'est pas à la hauteur. Niels Schneider quant à lui a un jeu juste, mais c'est tout. Enfin Vittoria Scognamiglio, l'amie est selon moi le personnage le plus intéressant. Au centre de l'intrigue, elle a un jeu varié et plus actif que celui des deux autres personnages.

(Photo ©San Bartolomé)

En sortant de la pièce, un ami revient sur le jeu de cette dernière, en nous faisant remarquer la similitude avec Carmen Maura, une des muses de Pedro Almodovar. Et c'est très juste car nous ne le savions pas à ce moment, mais Carmen était sur le casting original, s'étant désistée quelques jours avant la première, trop fatiguée.

Ce n'est pas la pièce du siècle. Loin de là. L'histoire n'est pas exaltante et les dialogues parfois un peu pauvres. Certainement dû au fait qu'il s'agit d'une traduction d'une pièce américaine, par Carey Perloff. Néanmoins les jeux sont bons, et la mise en scène pas mal du tout.

Quand on sait que sur cette oeuvre Isabelle Adjani est la directrice artistique, et qu'elle joue le rôle d'une rédactrice en chef, l'homme de presse en moi en pert son latin.

Kinship, au Théâtre de Paris, jusqu'au 25 janvier 2015. Du mardi au samedi à 21h00. Le samedi à 16h00. Le dimanche à 15h30. Places de 22 à 70€ (hors frais).

* source Théâtre de Paris

1 déc. 2014

#508. J'ai écouté le dernier album de mister Willem, Paraît-il...

Nonon, ce n'est pas une rumeur, j'ai bien écouté le dernier album de Christophe Willem. Ok c'est juste un jeu de mot pourri dans mon titre, puisque cet album porte le titre Paraît-il. Voilà...

Toujours est-il que cet album est sorti aujourd'hui, après deux ans de boulot. Vous l'entendrez partout, mais je vous le dis quand même, Willem s'est sacrément bien entouré sur cet opus. Son amie Zazie a écrit plusieurs textes, et chante en duo sur un de ses titres, La règle du jeu.


Carla Bruni fait elle son apparition en signant deux titres, dont Le chagrin, premier single de l'album. On trouve également dans les signatures de l'album Jean-Jacques Goldman. Et pas besoin de le savoir pour reconnaître la patte de ces artistes. Du lourd, je vous dis.

Entre balades très personnelles, sur la sexualité ou l'amour, et rythmes plus dancefloor, comme le très bon titre Faute et Plaisir, on sent vraiment que l'album est réfléchi. Plus mature ou plus vrai, je ne sais pas trop, en tous cas les émotions qu'on ressent à l'écoute de ces titres nous assurent que c'est un boulot très personnel, où Christophe a certainement mis de ses tripes.


Et du coup, ben on aime.

Ajoutons une jolie pochette ou la Tortue se dévoile sous un jour où on ne le connait pas, sexy en ange, torse nu à moitié dans l'eau. Surprenant jusqu'au bout !

Découvrez son album sur le nouveau site officiel de mister Willem 

27 oct. 2014

#507. Les Simpson springfield sur smartphone (sauvez moi je suis tombé dedans)

J'avais telechargé ce jeu il y a longtemps, mais je l'avais laissé bien rangé dans l'onglet "jeux" de mon smartphone sans y toucher. Et puis je l'ai oublié.

Et l'autre jour, alors que je faisais mon ménage d'automne d'applications et de contacts (quoi, vous ne faites pas ça, vous?) je suis retombé dessus. Alors comme maman m'a toujours appris à goûter quelque chose avant de dire qu'on n'aimait pas, j'ai testé ce jeu. (sauvez-moi !)


Vous savez, c'est le genre de jeu où tu commences avec un terrain vide, et puis tu construits une maison. La maison te donne de l'argent à intervalle de temps fixe, et avec cet argent tu construit une autre maison. Donc tu as plus d'argent. Pour construire un supermarché, avoir de nouveaux personnages, construire plus, etc.

Ça n'en a pas l'air comme ça mais c'est très prenant. Ta ville se construit, évolue, et tout est fait pour y revenir. Des tas de petites missions te sont proposées, comme construire l'école, qui est super chère, ou encore faire accomplir des actions à tes personnages.


Des niveaux te permettent de débloquer de nouveaux items. Je vous dis, tout est fait pour devenir accro (sauvez-moi !). Et comme si ce n'était pas suffisamment chronophage comme ça, le jeu propose des thèmes spéciaux sur des temps limités.

Par exemple en ce moment, des aliens ont investi Springfield version Halloween,  permettant d'avoir de nouvelles missions, éléments de décoration, personnages, etc. D'ici quelques jours, cet habillage aura disparu, certainement au profit d'un temps fort "Christmas" j'imagine (sauvez-moi !)...


De quoi relancer son enthousiasme quand on commence à trouver le jeu un peu rébarbatif. J'étais déjà tombé dans Farmville sur Facebook, puis les Schtroumpfs sur smartphone. C'est ici la même chose. Le matin, je vais tuer des aliens qui saccagent ma ville, et je fais faire du Trick or Treat à Lisa et Milhouse pour qu'ils me ramènent des sacs de bonbon (dit comme ça, qu'est ce que je me sens bête)

Et pour ceux qui ne voudraient pas me sauver, mais qui au contraire voudraient m'enfoncer, mon nom de compte Origin est fabisounou242

Les Simpson Springfield, gratuit sur Appstore ou Playstore (avec tout un tas d'achats Inapp, si vous voulez aller plus vite, construire certains items payants, etc).