31 déc. 2010

{Test#354} J'ai écouté Cassandre

L'autre jour, en allant de vidéo en vidéo sur Youtube, je suis tombé sur un clip de Cassandre, une reprise du fameux Alejandro de Lady Gaga, qui m'a donné des frissons de poésie. La voici la voilà.


Des garçons à moitié nus, et surtout des paillettes partout, vous vous doutez bien que je n'allais pas en rester là. Je me suis donc un peu renseigné sur ce duo masculin. Il est composé de Pier & Flo. Les deux garçons, très mignons au demeurant, se sont rencontrés à Saint-Etienne il y a dix ans, en faisant leurs études.

Et quand on gratte un tout petit peu on se rend compte que le duo va à l'encontre d'un peu tout ce qui se fait en ce moment. Alors que la majorité des groupes français chante dans la langue de Shakespeare, Cassandre ne jure que par leur langue maternelle.


Le principe même du duo de garçons est assez peu vu en France. Récemment, Something A La Mode, est le seul groupe qui me vient à l'esprit. On est loin du déjà-vu et revu.

Le style de Cassandre est un peu indéfinissable. Les paroles me font penser à des rondes de mots de Zazie, certaines mélodies me rappellent Mylène Farmer, ou Lara Fabian, bien que je ne sois pas un spécialiste de l'une ni de l'autre.


C'est souvent sensible, parfois un peu kitsch, mais dans l'ensemble plutôt sympa. Du renouveau dans la pop française. Certains titres de leur album, Il était une histoire sorti en 2008, comme l'Arc-en-ciel valent vraiment le coup.

Plus récemment, le duo de garçon a fait deux clips très artistiques et plutôt bluffants pour un petit groupe : Ma Révolution, et Atteinds le bonheur. Deux singles qui laissent présager un très bon deuxième album. A suivre avec attention. 


Facebook : Cassandre Officiel.
Myspace, Site internet. Page Youtube
Ecouter sur Deezer.

© Photos issues du Facebook Cassandre Officiel. Photographe David Belhassen (photo du bas)

30 déc. 2010

{Test#353} Les housses de casque Helmetdress

Je ne m'adresse pas très souvent à mes lecteurs en deux roues, et pourtant j'ai moi-même un scooter qui s'appelle Bob. Et il y a tout un tas d'accessoires sympa à tester pour ceux qui utilisent motos ou scooters. Aujourd'hui n'est pas coutume, j'ai décidé de vous parler d'un truc très ingénieux : la housse de casque Helmetdress.


Un casque, ça coûte cher, donc sauf si on s'appelle Crésus, on ne s'en achète pas un tous les quatre matins. Et puis en plus, ça prend de la place, donc en général, quand on a un casque on le garde, au risque de s'en lasser.

Les housses Helmetdress proposent justement de pouvoir changer de look de casque (presque) comme de chaussures. Elles sont en Polyester et en Lycra, résistent donc à l'eau (pratique quand il pleut) et passent au lavage. Elles s'adaptent sur quasi tous les casques Jet et Demi-Jet, y compris ceux avec visière. La preuve avec le mien.


Pour le mettre en place, c'est super simple. La housse est entourée d'un élastique qui va de lui-même se placer à la bordure du casque pour la tendre (un peu comme sur les housses de couettes). Pour les casques avec visière, il suffit de la dévisser avant, et de replacer les vis après. En tout, ça m'a pris 5 minutes.

Le résultat est très sympathique, d'autant plus que le site Helmetdress propose tout un choix de housses, du motif léopard à l'Union Jack, en passant par la peau de serpent. Il y en a pour tous les goûts. Je trouve vraiment l'idée terrible.


Et pour terminer avec toutes ces éloges, le prix n'est pas exorbitant du tout, puisque la housse coûte 26,50 €, port compris. Franchement changer de casque à ce prix-là, ce serait bête de s'en priver.

29 déc. 2010

{Test#352} Le livre de Sade, d'Alice Deparis

Pendant quelques semaines, là, juste à droite, vous avez pu répondre à un sondage, dont l'unique question était toute simple : Êtes vous sadique ? Et si j'en crois les résultats, mes chers lecteurs, oui vous êtes de sacrés sadiques.


Pas moins de 61%* d'entre vous se considèrent comme sadiques, occasionnellement (32%*) ou régulièrement (29%*). 24%* d'entre vous en revanche n'êtes pas sadiques, soit vous considérez le sadisme comme une pratique perverse (12%), soit préférez-vous peut-être qu'on vous fasse mal ! (12%*).

Le sadisme, selon Wikipédia est la recherche, souvent liée aux pratiques sexuelles, de plaisir dans la souffrance physique ou morale. Le terme sadisme est en fait un néologisme issu du Marquis de Sade, écrivain et philosophe, qui écrivit surtout depuis sa prison, ayant été en tout enfermé 27 ans.


L'homme dont les vices sont nombreux sera enfermé après plusieurs scandales, comme de fréquenter des bordels, de lacérer des jeunes filles, ou de pratiquer orgies et sodomie. L'incarcération le pousse à imaginer des catalogues de vices, qu'il rassemblera dans plusieurs ouvrages : Les Cent Vingt journées de Sodome, Justine ou les malheurs de la vertu, ou encore La Philosophie dans le Boudoir.

Ce livre, Le livre de Sade est plus une explication de textes qu'un recueil. Et c'est son plus grand défaut. Le livre est thématisé et réparti en 100 leçons, parlant de religion, d'homosexualité, de vices et de vertus, et utilise des tournures de phrases comme "Sade dit que "blablabla" et "blablabla"", ce qui est relativement lourd à lire d'une traite.


L'ouvrage est illustré de tout un tas de reproductions de gravures du 18è siècle, perverses à souhait, qui malheureusement détournent encore plus l'attention de cette lecture un peu indigeste. L'ensemble du livre, d'ailleurs est fait comme un vieux bouquin, avec le papier jauni, et des enluminures.

Je pense qu'il faut plutôt piocher dans ce livre que le lire en entier. Et si jamais le sadisme passe au programme scolaire, ce sera un formidable outil pour rédiger des dissertations, plein de références à l'appui.


Sachez en tous cas que le sondage n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd, et que j'essaierais de vous faire des articles du dimanche qui vous plairont, bande de pervers !

Le livre de Sade. Alice Deparis. Editions Desinge et Hugo&Cie. 18 €

* Vous pouvez retrouver les résultats du sondage ici même. Sondage effectué sur 100 votants.
Source Marquis de sade

28 déc. 2010

{Test#351} Flashforward

Un blackout total de 2 minutes et 17 secondes provoque le chaos à travers le monde. Pendant cette courte durée, chaque personne est confrontée à une vision du futur qui va changer sa vie à jamais...


Alléchants, ce synopsis et cette bande annonce, non ? Et ben ne salivez pas trop, car cette série, produite par ABC studios, ne comporte qu'une seule saison, de 22 épisodes. Et si on obtient quelques réponses à des intrigues bien ficelées au terme de cette saison, on reste, je vous avoue sur sa faim.


Car l'intrigue, bien qu'originale n'a pas suffisamment plu lors de sa diffusion fin 2009 aux Etats-Unis. Et du coup, hop plus de crédit, il n'y aura pas de saison 2. S'en étaient suivi des mouvements de fans pas contents du tout, mais rien n'y fit.

Et c'est bien dommage, car outre un scénario qui tient en haleine, les acteurs sont plutôt bons. A noter la présence de Dominic Monaghan, que l'on connaissait surtout pour avoir incarné un des hobbits du Seigneur des Anneaux, et de Joseph Fiennes, le beau Shakespeare de Shakespeare in Love, franchement pas dégueu à regarder.


Tout de même, un des points forts de la série est cette intrigue de fond sur un flash que tout le monde a de son futur. Les réactions de chacun des personnages, conscients d'une partie de leur futur font réfléchir sur notre propre position dans un tel cas.

Que ferais-je, moi si je savais où je serais dans 6 mois exactement ? Ce qui est sûr, c'est que je ne regarderais pas la saison 2.


Si vous voulez voir la première (et dernière, vous serez prévenu) saison de FlashForward, elle est disponible en DVD. 37 € sur Amazon.

Photos : © Abc studios

27 déc. 2010

{Test#350} Mon top 3 des applications Iphone - Décembre

Si jamais vous êtes du style trop-deg-j'ai-encore-eu-des-cadeaux-pourris-cette-année, souriez, vous êtes au bon endroit : aujourd'hui je vous fais mon top 3 mensuel des applications Iphone. Et si en plus d'avoir des cadeaux pourris, vous n'avez pas non plus d'Iphone, je ne peux décidément rien pour vous. C'est parti !


Les trois applications sont des jeux, et le premier est un jeu de cochon, Pig Shot. A l'aide d'une sorte de lance-pierre, on lance le cochon du doigt, et on essaie de le faire aller le plus loin possible, de préférence jusqu'au prochain lance-pierre, en évitant les arbres, et autres moutons, comme autant d'obstacles sur la route.


Tout en roulant sur l'herbe verte, vous devez en revanche récupérer un maximum d'étoiles, qui vous donnent autant de points, mais aussi des choux, qui vous remplissent une jauge de gaz... Et oui, c'est super fin, vous l'aviez senti venir, lorsqu'on ralenti un peu trop, il suffit d'appuyer sur le cochon pour qu'un pet l'amène un peu plus loin, tant qu'il y a du gaz.


Bon, malgré ce côté un peu trivial du jeu, c'est simplissime et ultra addictif. Le genre de jeu dont on ne se lasse pas avant quelques jours non stop. De plus, la musique country est ultra énervante, et vaut son pesant de cacahuète.


Pig Shot, sur Iphone, Ipod Touch et Ipad (version 3.0 min). 0,99 € sur Itunes.

Les deux autres applications sont des simulations de mondes, et elles sont gratuites ! C'est un peu l'effet père Noël qui vient jusqu'ici.


Tout d'abord, voici les Smurfs, ou pour ceux qui ne sont pas bilingues les Schtroumpfs. On peut désormais jouer avec les petits bonshommes bleus. Le principe est simple : vous faites trimer vos Schtroumpfs dans les champs. Ils font des récoltes qui vous rapportent de l'argent.


Cet argent vous le dépensez dans de nouveaux champs, des semis plus chers et de nouvelles maisons, ce qui vous permet d'avoir de nouveaux Schtroumpfs, et ainsi de suite. Le jeu est agrémenté de défis qui vous feront passer de niveau en niveau. Encore un jeu très addictif.



Attention toutefois à bien venir chercher ses récoltes rapidement, sinon elles périssent. Le petit plus, c'est la mise à jour pour l'hiver, où la neige est tombée sur le village des Schtroumpfs !


The Smurfs, sur Iphone, Ipod Touch et Ipad (version 3.0 min). Gratuit sur Itunes.


Enfin la dernière application est du même type que celle des Schtroumpf. Elle se nomme Godfinger. Vous êtes, comme son nom l'indique cette fois le dieu Doigt et vous gérez votre planète, qui grandit au fur et à mesure que vous la peuplez.


De la même façon que dans le jeu précédent, vous faites travailler vos sujets pour qu'ils vous rapportent toujours plus d'argent, pour acheter de nouvelles fermes, plus rentables, et des établissements où vos petits bonhommes se reposeront plus vite.


Encore une fois, des défis vous permettent de monter de niveau en niveau et d'agrandir votre planète. Vous maîtrisez dans ce jeu les nuages, la foudre ou le soleil. Après tout, vous êtes le dieu Doigt.


Vous pouvez décider de faire la pluie ou le beau temps sur vos petits personnages. C'est un jeu très rigolo au graphisme assez sympa.


Arrivé au niveau 50, avec 42 fidèles, je commence tout juste à me lasser du jeu, après deux semaines très intensives. Ce jeu est en effet un peu plus complet et complexe que le précédent. Je vous le conseille !


GodFinger AllStar, sur Iphone, Ipod Touch et Ipad (version 3.0 min). Gratuit sur Itunes.

26 déc. 2010

{Test#349} Des cockrings fluorescents

Je ne sais pas si le père Noël a été aussi généreux avec vous qu'avec moi, mais je peux vous dire qu'il ne m'a pas oublié ! J'en profite pour vous souhaiter à tous de joyeuses fêtes de fin d'année.


Dans le tas de cadeaux, il y en a un qui se trouvait au pied de mon sapin qui colle parfaitement à cette rubrique du dimanche : un kit de cockrings glow in the Dark !

Je vous avais déjà parlé de cockrings aux ailes d'ange ici, d'autres aux looks sportifs ou SM ici, mais jamais de ces anneaux à pénis en version fluo.

Les anneaux sont agréables, peu extensibles et 100 % en silicone. Il y en a 3, de tailles différentes. Les diamètres vont de 32mm à 50mm, ce qui permet de trouver comme qui dirait, chaussure à son pied.


Si vous êtes moyennement constitué, le plus petit ou le deuxième des anneaux conviendra parfaitement à votre pénis, et le troisième, plus large peut se placer à la base de votre pubis, enserrant l'ensemble de votre service 3 pièces.

Mais quel intêret, me direz-vous, d'avoir un cockring qui brille dans la nuit ? Assez peu finalement, sauf...


Si vous urinez dans des toilettes publiques et qu'il y a une panne d'électricité.

Si vous aimez savoir où se trouve votre pénis à chaque moment d'une partie de jambes en l'air dans le noir.

Si vous aimez danser nu devant le miroir.

Si vous ne vous habillez que d'un bonnet du père Noël et que vous vous installez au pied du sapin, dans le noir. C'est vous qui devenez le cadeau.

Un gadget qui vous coûtera 10 €, chez Soft Paris.

24 déc. 2010

{Test#348} Burlesque, Cher et Christina Aguilera

Ceux qui sont abonnés à mon groupe Facebook le savent déjà (vous devriez tous y être d'ailleurs), je suis hier soir allé voir le dernier film de Steve Antin, avec une tête d'affiche partagée entre Cher et Christina Aguilera : Burlesque. Rien que l'affiche m'avait donné envie de le voir (et parce que ya Cher, quand même !)


Je m'attendais à un film au scénario assez basique, au jeu d'acteur pas terrible, mais glossy glossy paillettes, talons hauts et pupute à mort. Et c'est exactement ce à quoi ressemble ce film. Cher est tellement tendue qu'elle n'a qu'une seule expression. Christina est chanteuse, pas actrice, et ce film nous explique pourquoi.

Le scénario est en effet plus que basique. Et c'est peu dire, la dimension dramatique sensée chambouler l'ordre mis en place dans ce genre de films comme une grosse vague ressemble dans ce cas à un clapotis dans un lavabo.


Malgré tout j'ai aimé ce film pour plusieurs raisons :

La première, c'est Cher. Cher c'est un peu l'icône intersidérale gay de tous les temps. D'ailleurs elle a arrêté de vieillir il y a vingt ans. Impossible de lui donner d'âge, et pour moi elle restera à jamais l'extra-terrestre chanteuse de tubes ultra gays.


La seconde, c'est Christina, bien entendu. Enfin, en ce qui me concerne ce n'était pas une des raisons majeures, je ne suis pas vraiment fan de la chanteuse et ses trémolos. Mais le rôle d'Alice la provinciale en quête de gloire lui convient bien, et mis à part une robe verte affreuse, elle est plutôt sexy dans le personnage.

La troisième et qui n'est pas des moindres, c'est Cam Gigandet (Jack dans le film). Cet acteur ultra sexy qu'on avait vu dans Twilight joue le rôle du prétendant de l'héroïne à merveille. On ne se lasse pas de ses apparitions, que ce soit en débardeur moulant, ou encore mieux, juste en bas de pyjama. A-do-rable !


La quatrième raison c'est que c'est vulgaire juste ce qu'il faut : des talons aiguilles, des maquillages pas discrets, des tenues un peu pétasses, et surtout des tas de paillettes. Ça brille, ça pique les yeux, c'est Noël et ses guirlandes en même temps, et on aime ça. Enfin moi j'adore.

"Alice : Ahhh. J'ai les seins jusqu'aux oreilles, le string qui remonte un max et les faux cils aussi longs que des éventails. Pfouuuu.
Sean (le styliste) : Ohhh. C'est bien d'être une fille, hein ? "


Enfin la dernière raison, c'est que selon moi, tout à été fait pour que ce film nettement dirigé vers un public gay lui plaise en tout point, et tous ces petits détails sont autant de petits plus.

Ainsi l'officielle du beau Jack n'est autre que Quinn Fabray, la pompom girl de Glee ; une des premières chansons est Diamonds are a girl's best Friend, clin d'oeil évident à Moulin Rouge (que ce film ne dépasse clairement pas, selon moi) ; le couturier gay (si, ça existe...) est  interprété par Stanley Tucci. Il jouait à peu près le même rôle dans Le Diable s'habille en Prada.


Tout un tas de références queer à mort qui m'ont, je l'avoue, transformé en tapette trop-fan-de-ses-Louboutin-pétasse!. C'est pas du grand cinéma, d'accord, mais c'est parfait pour Noël.

©Sony Pictures Releasing France

23 déc. 2010

{Test#347} Show me your teeth 4 : Instant White


Aujourd'hui, on continue la série des dents ultra brite, en espérant avoir un sourire irréprochable sur les sempiternelles photos avec toute la famille devant le sapin demain soir ! J'ai testé cette semaine le film blancheur instantané Instant White, de Email Diamant.

Selon le packaging, bleu et transparent, le procédé est innovant, simple et rapide. Il suffit d'appliquer, d'attendre quelques secondes, et le sourire s'illumine.


En fait le principe est le même que celui d'un vernis à ongle, ou d'un Tipp-ex, finalement. Le flacon en lui-même est assez féminin, cosmétique et ressemble étrangement à un tube de gloss ou de vernis. Le bouchon contient un pinceau qu'il faut appliquer directement sur les dents.

La formule est validée sous contrôle d'un dentiste et d'un toxicologue et garantit donc une tolérance vis-à-vis de l'émail. Pourtant, le produit est inflammable, et à tenir hors de portée des enfants, à ne pas ingérer, et à ne pas appliquer sur les couronnes, prothèses et facettes. Refroidissant.


L'application n'est vraiment pas géniale. D'une part il faut se sécher les dents avant, essayez vous verrez comme c'est agréable. Et d'autre part, le vernis sèche effectivement très vite, mais laisse un film sur la dent (et ouais, c'est bien le but après tout), qui est du coup moins lisse.

En fait cela donne un peu l'impression que les dents ne sont pas très propres, qu'il y a de la plaque dentaire, lorsque l'on passe la langue dessus. Et pour moi qui suis un maniaque des dents, c'est no way ! L'odeur non plus n'est pas des plus sexy, cela ressemble à un mix entre du Tipp-ex et du menthol.


Si l'on ajoute à cette désagréable impression le fait que le résultat ne suit pas du tout (on observe juste de légères tâches blanches à la bordure des gencives, ce qui n'est pas du meilleur effet), et en plus en plus un prix exorbitant (plus de 10 € en grande surface), tout concorde à faire d'Instant White un produit pas intéressant du tout.

Décidément ce n'est pas à ce Noël-ci qu'on ressemblera à des Ken de la West Coast ! Mais comptez sur moi, je trouverais une solution l'an prochain.

22 déc. 2010

{Test#346} Le calendrier Hommes 2011 par David Vance

Je n'ai jamais été très calendrier. Par exemple, je n'ai jamais acheté le calendrier des Dieux du Stade. En fait je n'ai jamais même pensé qu'un calendrier mural puisse être un élément de déco. C'est pour cela que je n'en aurais jamais acheté un.


Mais les choses ont bien changé ces derniers jours, où l'on m'a offert un calendrier mural. Passée l'étude attentive de toutes les photos des hommes assez peu habillés voire pas du tout, photographiés par David Vance, je me suis demandé ce que j'allais bien pouvoir faire de ça.

Et finalement, le calendrier a tout naturellement trouvé sa place dans les toilettes. Parce qu'aux toilettes, un calendrier n'a pas qu'une fonction de décoration. Lorsqu'on est aux toilettes, on passe de longs moments à disséquer tout ce qui nous entoure.


La façon dont deux poutres sont accrochées, la petite tâche juste au-dessus de la poignée qu'il faudrait penser à enlever, le système de fixation du dérouleur à papier toilette, ou encore le bout de miroir qui manque à cette boule à facettes (quoi, vous n'avez pas de boule à facettes dans vos toilettes ?)

Et figurez-vous qu'un calendrier mural, ça donne l'occasion de s'attarder sur autre chose que ces détails connus sur le bout des doigt. C'est un peu du grain à moudre pour l'imagination, quoi. Et sur celui-ci, même pas le temps de s'ennuyer à la fin du mois, car il y a 24 photos et pas 12, ce qui fait qu'on tourne la page toutes les 2 semaines.


Pour les fans de poilus, vous allez être déçus, sur ce calendrier il n'y en a qu'un, dans le genre bûcheron canadien, la première quinzaine de décembre. Par contre des mecs musclés, des allures d'éphèbes Grecs, des corps huilés vous en avez à foison.

Note pour plus tard : penser à enlever le calendrier la prochaine fois que mamie vient à la maison. 

Comme quoi, c'est un cadeau sympa, que l'on peut même faire à ceux qui ne pensaient pas être le genre-de-personnes-à-avoir-un-calendrier-dans-les-toilettes.
Hommes 2011. Photos par David Vance. En vente sur Amazon, Fnac ou hugoetcie. 19,95 €.

21 déc. 2010

{Test#345} Le massage à la chic par Jimmy Jane

Aujourd'hui on continue en mode cocooning, parce qu'avec des temps pareils, et puis Noël qui approche et tout et tout, on n'a pas envie de faire grand chose, et qu'une fois à la maison, se papouiller est quasi essentiel. Et qui dit prendre soin de soi + cocooning + papouilles = massage.

Ce n'est pas la première fois que je parle de massage, mais il faut dire que mon mec est vraiment bon dans ce domaine. Et très récemment j'ai trouvé de nouveaux accessoires pour sublimer son don : les produits Jimmy Jane.


Jimmy Jane est une marque qui fait dans le sex toy, mais de manière soft, chic et élégante. C'est plus coquin que cochon, si vous voyez ce que je veux dire. Et le massage entre dans le champs d'actions de la marque.

En effet, Jimmy Jane propose tout un tas de bougies aux fragrances très diverses, pamplemousse ou vanille, lotus ou pastèque, du plus léger au plus suave, il y en a pour tous les goûts. Ces bougies, tout comme les produits Unmei dont j'avais parlé ici ont une cire dont le point de fusion est assez bas.


Ainsi on peut se verser la cire chaude (qui se transforme en huile) sur le corps sans se brûler. C'est très sexy, et a double emploi : la bougie, lorsqu'on l'allume met direct dans l'ambiance "romantique". Elle diffuse un parfum qu'on aura choisi (donc à priori agréable). Et ensuite elle sert d'accessoire même de massage. Pratique.

Le deuxième accessoire que j'ai testé sert en lui-même au massage. C'est un objet en céramique, dont le design aux formes épurées en fait un objet assez joli qui n'a, c'est pour dire, pas quitté notre table de nuit depuis (ou alors c'est aussi parce qu'on est très bordéliques). Il se nomme Contour M.


On peut se servir de cet objet dans les deux sens, soit avec l'arrondi, soit les 4 "pattes". Je suis beaucoup moins convaincu par cet objet au niveau des sensations qu'il procure. Faut dire que mon mec a vraiment des doigts de fée.

Le premier contact est assez désagréable car la céramique est froide. Mais les 4 picots arrondis chauffent assez vite et leur application devient plutôt chouette, si le masseur appuie un minimum. En revanche, l'utilisation par le dos de l'objet ne m'a pas vraiment fait d'effet.

Pour ce qui est du prix, ce n'est pas si cher que ça pour un design très sympa et des produits de qualité. Mais ce n'est pas non plus donné, faut pas déconner. La bougie de 128g est à 29 € (55 € pour le grand format à 340g), le Contour M est à 25 €. En vente sur le site 1969.

D'autres objets de massage, aux courbes tout aussi élégantes sont disponibles sur le site de Jimmyjane.

20 déc. 2010

{Test#344} Les cookies de Margot

Pour les plus assidus, vous aurez remarqué que j'ai pas glandé grand chose ce week-end ! Entre vendredi où j'étais en RTT et dimanche où je n'ai rien posté, je me suis retranché dans mon intérieur et j'ai fait venir à moi la magie de Noël.


Et pour cela, rien de plus simple : muni de mes Moonboots, nous sommes partis sous la neige, mon mari, ma petite chienne et moi, acheter de quoi transformer tout mon petit studio en la maison du père Noël. Un sapin, des suspensions, des boules à facettes par milliers (car le père Noël est un grand admirateur du disco, c'est bien connu) et des tonnes de guirlandes.

J'ai donc passé une bonne partie de mon week-end à scotcher, découper, coller, prendre un peu de recul ou transformer mes meubles en gros cadeaux. Et une fois que tout fut fini, quelle satisfaction que de boire un bon thé bien au chaud, le front collé sur la vitre froide, en regardant les gros flocons tomber comme des plumes sur le bitume.


Si, une chose pouvait agrémenter ce moment d'une pointe de bonheur supplémentaire : un truc sucré, de préférence avec du chocolat dedans. Et justement, je venais juste de recevoir des cookies faits maison, de chez Margot's cookies.

Ces cookies-là ne sont pas tout riquiqui et tout secs. Bien au contraire. Ils sont grands, d'une dizaine de centimètres, très épais, et tout moelleux à l'intérieur. Les morceaux de chocolats sont énormes, et les noix quasiment entières.


Et par-dessus tout ça, les cookies de Margot sont jouissifs. Chaque bouchée est un régal. Pour vous dire, sur les 4 cookies que j'ai reçu, le temps que j'en mange un, me délectant de chaque bout de gâteau, mon mec a mangé les trois autres, les trouvant également très a son goût.

Seul petit bémol, chaque cookie est à 1,80€, ou 5€ le sachet de 7 mini cookies. Ça fait cher, même pour des cookies faits maison. Mais pour avoir un cuistot "à son compte" à la maison, je commence à comprendre ce que veut dire "rentrer dans ses frais". Alors sans en acheter toutes les semaines, un petit orgasme gustatif de temps en temps, pourquoi pas.


Pour commander des cookies de Margot, il suffit de la contacter par Facebook, ici même, ou directement par mail, elle vous donnera toutes les indications.