Je n'ai jamais vraiment écouté les Take That. Je n'ai jamais vraiment non plus écouté Robbie Williams. Enfin j'en savais ce que tout le monde en sait, Feel, Angels et Tripping.
*** Et rien qu'en écrivant ces mots j'entends des protestations indignées, ne serait-ce que parmi mes amis les plus proches. J, on peut pas être sur tous les fronts. Je me rattrape. ***
Et hier, alors que j'étais en quête d'un album sympa pour me faire passer la pilule du lundi, je suis tombé sur le dernier album des Take That. Alors je suis peut-être inculte en la matière, mais tout de même, je sais que le groupe s'était séparé, puis recomposé sans Robbie, et qu'il était question pour lui de remettre le couvert. Mais je ne savais pas qu'on y était !
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La pochette, toute jaune, est plutôt graphique. L'album ne comprend que 11 titres. Mais comme on dit, ce qui compte c'est la qualité, et pas la quantité. Je suis plutôt agréablement surpris par le premier titre, The Flood. C'est entraînant, c'est pop. On reconnaît, même en tant que néophyte, la Robbies' touch.
Piste 2 (c'est rétro, hein de dire "piste"...) SOS. La magie continue, je suis emballé. Puis vient Wait, où j'ai l'impression d'entendre Cat Stevens version années 90. D'ailleurs, cette influence nineties tient jusque la fin de l'album. On sent que c'est de là que vient le groupe.
Dans l'ensemble, c'est franchement correct, et même si sur certains titres on sent la midinette à l'intérieur de soi prendre la parole, ça fait du bien en début de semaine.
Take That sur Wiki, sur deezer, sur Itunes
Plutôt agréable en effet! En plus la midinette qui est en moi aime bien l'aviron et les avironneurs. Ou est-ce le minet?
RépondreSupprimer@ Flavien : moi je dirais que c'est le minet :D Mais oui c'est agréable !!!
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