18 août 2010

{Test#229} Une soirée... à Lyon ! Le Crazy et le DV1

Oui les amis, vous avez bien lu ! Je suis sorti de ma capitale ce week-end, pour rendre visite à un ami cher, et aussi pour manger et boire non stop pendant deux jours (merci sa maman...) Et entre deux repas, pour brûler toutes ces graisses ingurgitées, nous sommes sortis bouger nos corps, pour qu'ils deviennent fermes et sexys à souhait.


La soirée fut ponctuée de sauts de puces à des soirées, tantôt dans je ne sais trop quelle ville, près d'une piscine, tantôt dans l'appart nouvellement refait d'un ami, puis dans le squat charmant comme tout du nouveau petit copain de mon ami. Et là, nous avons décidé de bouger. Destination le DV1, dans le centre de Lyon.

Le trajet se fait à pied, et nous arrivons après à peine dix minutes. Un petit détour pour trouver du cash, et nous voici au croisement de la rue que se disputent deux clubs. Le DV1 où nous avons prévu de nous rendre et le Crazy, dont la file d'attente est beaucoup plus conséquente.


Tels des moutons de Panurge, et guidés par des amis célibataires qui ont repéré dans la queue des proies intéressantes, nous changeons de plan et entrons dans cette soirée. Alors que nous expliquons à la nana de la caisse du Crazy que nous souhaiterions prendre une bouteille, celle-ci s'embrouille dans ses calculs et nous abandonnons bien vite l'idée...

Il faut dire que les divisions, ça n'a pas l'air d'être son fort. La bougresse ne semble pas très futée, et je crois qu'elle s'est une nouvelle fois trompée, lorsqu'elle me répète, avec insistance, que l'entrée n'est qu'à 6 € (!), boisson comprise (!!) et vestiaire inclus également (!!!).


Mais malgré tout, nous ne resterons dans ce club qu'une demi-heure, la température des lieux s'approchant plus de celle d'un sauna que d'une boîte décente. Il fait vraiment une chaleur à crever, et l'endroit est surpeuplé.

La musique n'est pas géniale non plus, et un de nos amis éméché résumera assez bien la soirée en déclarant droit dans les yeux à un petit beur éberlué "t'es mignon, mais alors tu sais que tu danses sur de la merde ?", et s'en allant comme un prince.


Arrivés de nouveau au croisement de rues, le contraste de températures nous saisit, et nous voyons maintenant d'un bon oeil l'absence de foule au DV1.

Cette fois l'entrée est gratuite. Après tous ces verres, cette partie de la soirée devient un peu floue, je l'avoue. Je me souviens d'un endroit beaucoup plus underground et sombre. La salle du haut ressemble plus à un bar-où-l'on-danse et passe de la musique des années 80, tandis que la salle du bas diffuse de la musique beaucoup plus électro.


La programmation d'ailleurs, est très bonne, mais ce n'est apparemment pas ce qui plaît ici, car cette salle est loin de faire fureur. Les gens semblent plus attirés par les fumoirs. Nous allons au bar et le serveur arrive très bien à faire la division pour la bouteille.

Nous buvons encore, nous amusonsdansons et rebuvons, avant de repartir à l'aube, se reposer un peu avant une journée où nous ne ferons que manger.


Le genre de week-end où l'on prend 3 kilos et dont on a encore du mal à se relever 3 jours après. Mais que de bons souvenirs !

Le Crazy. 24 rue royale. 69001 Lyon
Le DV1. 6 rue violi. 69001 Lyon
 

4 commentaires:

  1. et en as tu profité pour tester un produit anti gueule de bois ??!!
    c'est chouette Lyon, merci pour les adresses ça va servir !! bizz

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  2. un ami emeché? non mais pas du tout j'ai presque pas bu a cette soirée je dirait meme que gt particulierement sobre et chose rare je vous ai tous survecu , mais j'ai eu bcp de mal a m'en remettre j'avoue aussi ;)

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  3. @ Laora : nan pas cette fois, je n'ai pas eu le temps ! Enfin plus exactement je n'avais plus de recette à tester. Mais depuis des lecteurs m'en ont envoyé !!!

    @ Toinou : lol t'avais pas bu !! mais c'est vrai que tu nous a survécu, on était pas fiers le lendemain...

    @ Jonathan : ah ben oui ! tu peux parler toi huhuhu

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