30 juin 2011

{Test#472} La piscine Joséphine Baker, dans le 13 ème

Avec ce temps, si on a bien envie de quelque chose, c'est d'aller à la piscine. Moi qui m'y rend régulièrement depuis quelques mois, j'ai bien vu que leur fréquentation a augmenté ces dernières semaines. C'est en effet plus agréable.

Et une des piscines les plus agréables de Paris, c'est la piscine Joséphine Baker, dans le 13è, en face de la Bibliothèque. La piscine, qui flotte sur la Seine est amarrée sur le quai de Bercy. Son toit est totalement transparent, et on nage presque au niveau de la Seine.

Et magie, quand le temps le permet, le toit s'efface complètement, pour laisser le ciel prendre sa place. C'est un sacré avant goût de vacances, et c'est super agréable de profiter de l'eau, et du ciel en plein Paris.

Et la piscine Joséphine Baker ne s'y trompe pas, le tarif (plein), d'ordinaire de 3 €, comme beaucoup de piscines à Paris, passe en période d'été à 5 € pour 2 heures, et 5 € supplémentaires pour les 2 heures suivantes.

Un tarif qui ne refroidit pas les adeptes, nombreux les jours de canicule même en semaine. Quant au week-end je ne vous en parle pas, on peut y faire la queue des heures, et des heures, l'entrée y est faite au compte goutte.

En revanche, la piscine est ouverte le soir, jusque 22 ou 23 heures, et c'est parfois moins fréquenté, et franchement magnifique de nager en apercevant les reflets dorés du soleil couchant dans les vitres des péniches sur la Seine.

La barge est récente, bien entretenue. Les vestiaires sont propres et lavés fréquemment. Un truc tout bête, que je n'avais jamais vu encore jusque là : pour entrer dans la zone vestiaire il faut enlever ses chaussures et passer par un premier pédiluve, qui garantit un sol propre.

Il faut mettre une pièce d'un euro dans le casier pour laisser ses affaires, pièce qui sera rendue au départ. Pour les courageux, des pullbuoys et des planches sont à notre disposition, sur simple demande aux maîtres nageurs, plutôt sympas et beaux gosses dans l'ensemble.

Cerise sur le gâteau, une musique, plutôt lounge et douce est diffusée, ajoutant encore un peu de peace à cette étape piscine.

Un endroit super, que je conseille le soir, ou les jours de pluie (c'est aussi très beau). A surtout éviter les jours où il fait très beau et très chaud, sauf si on aime l'ambiance plage de cagoles.

Piscine Joséphine Baker, quais de Bercy. 75013. Site internet.

28 juin 2011

{Test#471} Mon top 3 des applications Iphone (et Ipad) Juin

Ah les garçons (et les filles), je ne vous dis pas le week-end que j'ai passé. Entre une gay-pride, un barbecue avec les copains, une boîte de nuit en plein air (et en plein jour), et une boîte de nuit en pleine nuit (et en pleine boîte), je vous avoue que lundi, je cherchais des repères, ne me souvenant presque même plus comment je m'appelle.

J'ai du coup loupé l'article du dimanche, la série de maillots du lundi, enfin je manque à tous mes devoirs, mais je vais rattraper ça, vous allez voir. 

En attendant, c'est reparti pour un tour, et cette fois c'est mon côté geek qui se réveille, avec mon top 3 des appli Iphone (et Ipad) du mois de juin. Un jeu, un lecteur de flux, et une appli pour graphiste.

La première application s'appelle MobileRSS, et comme son nom l'indique est un lecteur de flux RSS. Non parce que quand on blogue, généralement, on aime aussi lire les blogs. Et moi, dans mon flux RSS j'en ai un sacré paquet, d'abonnements à des blogs.

Et lorsque, comme par exemple dans un week-end assez mouvementé comme celui-ci, je ne me connecte pas à mon ordi, j'arrive le lundi avec 200 posts en retard à lire, au moins. Cette appli me permet d'avoir un oeil sur les articles qui sont écrit au fur et à mesure, me permettant d'en lire une partie tout de suite.

L'appli est dispo sur Iphone et sur Ipad, et est carrément pratique sur ce dernier, la lecture et la navigation étant vraiment faciles. On peut synchroniser les flux de cette application avec les flux que vous lisez généralement sur Google reader. On peut d'un clic liker, partager, envoyer, archiver...

MobileRSS. Compatible Iphone, IpodTouch et Ipad. Gratuit

Voici une application vraiment geek comme je les aime ! Whatthefont est une application du site myfonts.com absolument géniale. Mise en situation :

Vous vous promenez dans la rue, et vous trouvez, sur une affiche, une typo méga sympa et vous voulez absolument la récupérer pour la mettre dans votre prochaine super créa pour la soirée de l'année. Avec cette appli, c'est génial :

Vous prenez en photo la typo (de manière correcte hein entendons-nous : lumineux, de face), vous passez la photo dans l'appli en restreignant la zone où se trouve le texte que vous voulez décrypter. Et puis vous laissez mouliner.

L'appli vous demande vérification, lettre par lettre de ce qu'elle pense avoir reconnu. Si tout est bon, vous ne touchez pas ; si c'est inexact, vous corrigez. Vous laissez mouliner une nouvelle fois et hop, l'appli vous propose ses solutions, du plus au moins approchant.

Les graphistes comprendront mon émoi quand j'ai trouvé ça !

Whatthefont. Compatible Iphone, Ipod Touch et Ipad. Gratuit.

La dernière appli que je vous propose ce mois-ci, c'est Coin Drop !, je suis super fan. C'est un jeu où l'on fait tomber des pièces, du haut de l'écran. Elles descendent l'espace jusqu'au bas de l'écran, en passant par un tas d'obstacles, en récupérant des pièces, en cassant des briques.

Les images sont plus parlantes que mes mots. Mais le jeu, rigolo au début, addictif à la fin est très bien ficelé, les niveaux de plus en plus durs, et surtout très nombreux : 75 niveaux, plus quelques uns du didacticiel, et d'autres à venir bientôt, c'est rentable vu le prix (0,79 €)

Selon que vous gagnez tout juste (en attrapant les 4 méchants) ou que vous récupérez plein de bonus et faites du coup plein de points, le jeu vous attribue une, deux ou trois étoiles à la fin de chaque niveau, qui vous permettent de débloquer les niveau suivant, et des coins "déguisés", en Yen, en chat, avec un chapeau...

Simple et ultra efficace.

Coin Drop ! Compatible Iphone, Ipod Touch et Ipad. 0,79 €

24 juin 2011

{Test#470} Hair, au Palace

Il y a des classiques dont on connait tous le nom et des extraits, mais pas l'ensemble de l'oeuvre. C'est ainsi qu'il y a peu, à l'occaz' d'une représentation d'école de comédie musicale, j'ai découvert l'ensemble de la pièce West Side Story, dont je ne connaissais que le fameux "I like to be in America". C'est ainsi également que j'ai découvert hier soir la comédie musicale Hair, au Palace.

Hair, c'est une comédie créée en 1967 (1969 en France) surfant à l'époque sur la vague New Age, et se voulant radicalement différente des autres comédies musicales, en proposant du coup un spectacle sans intrigue, et avec des scènes n'ayant pas de rapport les unes avec les autres.

Et mieux vaut savoir cela avant d'y aller, parce que démuni de cette info, je me suis gravement fait chier tout le début du spectacle, attendant indéfiniment un scénario qui ne venait pas... Enervant.

Le spectacle commence dès votre entrée dans la salle. Tous les comédiens arrivent sur scène au fur et à mesure, squattant la scène, parlant et plaisantant avec les spectateurs, le tout contribuant à mettre une ambiance hippie festive.

Hair c'est aussi une scène d'orgie où tous les comédiens, dans une ombre chinoise, simulent des actes sexuels variés, pour se révéler à la fin au public, dans un nu frontal aussi fugace qu'un battement de cils. Cette scène avait à l'époque de la sortie de la comédie musicale fait beaucoup parler d'elle. 

Mais mieux vaut savoir cela avant d'y aller, parce que si vous y aller, quand vous verrez les comédiens se mettre en rang d'oignon, repérez de dos celui ou celle que vous trouviez canon, comme ça quand la lumière s'allumera, la persistance rétinienne sera des plus agréables.

Si on met de côté ce manque cruel d'histoire qui m'a fortement dérangé, je ne peux qu'applaudir la performance vocale (plus que théâtrale d'ailleurs) des comédiens, qui chantent tous divinement bien, ainsi qu'une musique en live, par 4 musiciens méga doués.

On notera par exemple la présence de Philippe D'Avilla (il me disait quelque chose) qui chantait il y a quelques années dans le trio de Roméo Et Juliette, Les Rois du Monde (nousonfaitl'amouronvitlaviejouraprèsjournuitaprèsnuit)

La mise en scène et les effets de scène sont malheureusement très inégaux, avec une première partie vraiment plus pauvre que la deuxième, nous laissant heureusement sur une note positive, alors que la pièce se termine (vraiment bien) sur le fameux titre "Let the sunshine in".

Un spectacle donc tout en nuances, avec des points positifs et des points négatifs, sortie directement des années peace and love. Un revival au profit du Sidaction, il faut le noter. A aller voir dans un mood super zen et open !

Jusqu'au 30 juillet 2011, au Palace.
8 rue du Faubourg Montmartre
75009 Paris
Toutes les infos sur le Site officiel, faiteslamour.fr, page Facebook
Sources : Wikipedia, regardencoulisses, musicalavenue.

22 juin 2011

{Test#469} Un site pour bien nager, natationpourtous.com

Allez aujourd'hui je vous emmerde encore une fois avec la natation. Sur les conseils d'un twitto (personne écrivant sur Twitter, ndlr), je suis allé faire un tour sur le site natationpourtous.com. Et je ne peux que l'en remercier.

Ce site est une mine d'informations et, comme son nom l'indique, est dédié à tous, que vous ne sachiez pas tout à fait nager, ou que vous soyez un nageur confirmé.

Outre des forums (dont un certain nombre assez intéressants qui répondent à pas mal de questions), des news sur les piscines ou les compétitions, vous y trouverez trois parties très intéressantes. Débuter, Technique, et Entraînement.

La partie Débuter est dédiée à ceux qui veulent apprendre à nager. Se familiariser avec l'eau, s'allonger dans l'eau, mettre sa tête sous l'eau et respirer, autant de bases déclinées en 3 étapes qui semblent évidentes mais qui ne le sont pas forcément quand on a jamais appris.

La partie Technique concerne les 4 nages : crawl, brasse, dos et papillon, et précise pour chacune d'elle les apprentissages pas à pas, ainsi que des éducatifs, des analyses vidéos, etc. Des dossiers très complets et expliqués simplement, faciles à lire et donc faciles à intégrer.

La partie Entraînement est la plus intéressante. Elle comprend elle aussi des dossiers spécifiques sur l'organisation d'un entraînement, la diététique qui va avec, comment récupérer et faire du sport complémentaire, etc. Un paquet de lecture qui ouvre les perspectives.

Dans cette partie entraînement, on peut consulter des exemples de séances, en fonction de son niveau, ce qui offre la possibilité de varier ses séances de piscine. Parce que finalement, quand on est assidu à la piscine, on tourne vite en rond comme un poisson dans son bocal (c'était facile).

Et en se créant sur le site un carnet d'entraînement, on peut répertorier les séances que l'on accompli. Le site calcule alors mes statistiques, elles aussi très détaillées, et envoie une fois par semaine un récapitulatif des nombreux kilomètres parcourus.

Bref, tout ça pour dire que le site natationpourtous.com est non seulement une mine d'information pour qui s'intéresse à la piscine, mais c'est aussi un outil super pratique, et gratuit pour constater ses progrès et maintenir sa motivation au top du top !

21 juin 2011

{Test#468} Insidious

Alors là, les amis, je suis bien embêté. J'ai toujours ou presque un avis assez déterminé sur tout ce que je teste. C'est un peu le principe de ce blog. Mais cette fois, les choses sont un peu différentes. Je ne suis pas vraiment sûr de mon avis... Laissez-moi vous expliquer.

Vendredi soir, lorsque je suis rentré chez moi, une tribu de jeunes filles prenait, avec mon mari un cours de Whoopie pies dans la cuisine. Après la semaine de boulot, j'avais envie de quelque chose de plus posé, et j'ai donc lâchement fui cette agitation pour me réfugier au cinéma.

Tout seul dans la salle noire, je dois vous avouer que ce film m'a fait peur comme ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps. Mais était-ce réellement parce que le film fait peur (je ne suis pas du genre à avoir très peur devant les films) ? Où était-ce la fatigue combinée à l'absence de mon mari ?

Synopsis* : Josh, son épouse et leurs trois enfants vivent depuis peu dans leur nouvelle maison lorsque l'aîné tombe dans un coma inexpliqué. Etrangement, une succession de phénomènes paranormaux débute peu après. Un médium leur révèle que l'âme de leur fils se trouve quelque part entre la vie et la mort, dans la dimension astrale, et que les manifestations sont l'oeuvre de forces maléfiques voulant s'emparer de son enveloppe corporelle. Pour le sauver, Josh va devoir lui aussi quitter son corps et s'aventurer dans l'au-delà...

Comme vous pouvez le constater à la lecture du synopsis, c'est très basique. Une nouvelle maison qui paraît hantée. La femme qui constate des phénomènes étranges tandis que le mari la pense au fur et à mesure de l'histoire sombrer dans la folie... C'est déjà-vu...

Les performances des acteurs ne sont pas meilleures, loin s'en faut. Les effets spéciaux sont eux-aussi d'un autre âge. Tant et si bien que selon moi, c'est même une volonté de ne pas paraître trop réaliste. On a l'impression que les personnages sortent du vieux Ça qui m'avait terrorisé...

Quand on y regarde de plus près, tous les effets qui m'ont fait peur sont éculés : grincement de portes, objets qui bougent tous seuls, plans montés de telle manière que des personnages "apparaissent" de manière très abrupte, et surtout, surtout, une musique stridente au violon qui monte, monte, monte annonçant les passages stressants

Et pourtant, malgré un synopsis un peu naze, des acteurs pas terribles, des effets spéciaux vintage et des tours de passe-passe datant de Mathusalem, et bien oui, j'ai eu les choquottes

En sortant du ciné, j'ai donc trouvé une version du film afin de faire partager mon effroi à mon mari... qui n'a pas eu peur pour un sou, lui qui est d'ordinaire très réactif à ce genre de films...

Vous comprenez donc aujourd'hui mon désarroi quant à vous dire si Insidious est, ou n'est pas un bon film d'horreur. Je ne peux que vous conseiller d'y aller très fatigué, sans votre moitié, seul dans une salle noire... là vous aurez la frousse !

*Synopsis Allociné
Photos © Wild Bunch distribution

20 juin 2011

{Test#467} Le maillot de bain of the year #4 Manga influence, chez Toot

En ce lundi morose, c'est le 4è maillot de bain de ma série que je vous propose, ou plutôt cette fois, c'est la 4ème marque dont je vais vous parler, au travers de trois maillots.

La marque en question, c'est Toot, ça vient du Japon, et propose des maillots plutôt originaux.

Toot ne fait pas que des maillots de bains, et fait notamment des sous-vêtements très, très sympa, dont je vous parlerais bientôt. Mais revenons en à la panoplie de l'été.

Les maillots Toot sont en nylon, rien de spécial. Chacun d'entre eux possède un lien à l'intérieur du slip, pour faire un noeud et serrer à sa taille. Attention, d'ailleurs aux tailles, qui sont un peu petites, si vous commandez, voyez plus large que pas assez.

La premier maillot, très sport's wear, fait penser à ceux de chez Aussiebum, et présente sur le côté le chiffre 62 tronqué. La coupe bandeau est très courte, et en fait un maillot aussi sport que sexy.

Il existe en bleu et jaune, en bleu marine et rouge, et coûte 5,985 ¥, soit environ 50 €.

Le second maillot est moins sexy, et plus sportif. Sa coupe slip est pratique pour la natation. Lui aussi a une coupe très courte, veillez toujours à la taille.

Les différentes couleurs de tissus sont assemblées les unes aux autres créant des courbes, notamment sur les fesses que le slip met carrément en valeur.

Ce modèle existe en 4 coloris différents, dont rouge ou bleu, il coûte 5,460 ¥, soit environ 48 €.

Le dernier modèle est le plus bitchy. En blanc, bleu marine et rouge, il propose, en plus du fil pour serrer à l'intérieur, une sorte de corset par dessus le costume 3 pièces. Ça donne un peu l'impression d'être dans un micro déguisement de Sailor Moon.

Le maillot idéal à porter à Sitgès ou Mykonos, si vous voyez ce que je veux dire. Le modèle a une coupe assez courte lui-aussi, entre le slip et le bandeau. Il existe en trois coloris, camaïeux de gris, bleu et orange, et rouge et bleu marine. Celui-ci coûte 6,300 ¥, soit environ 55 €.

Je ne les ai pas testés, mais vous pouvez aussi trouver sur le site de Toot d'autres modèles, comme des bandeaux girafe, ou léopard... A ceux qui pensent que la plage, c'est une vraie jungle...

Toot, c'est donc une marque aux modèles plutôt originaux, sexy et sport, pas donnés non plus, mais de bonne fabrication, et ça change du speedo noir.

La semaine prochaine, le dernier maillot de ma série, cette fois c'est sur le love boat qu'on embarque...

Et pour ceux qui ont raté les premiers maillots, c'est juste ici :



18 juin 2011

{Test#466} Winter's Moon de Mauro Padovani

Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment. Je pense que ça doit être parce que l'été approche, mais toutes mes lectures du moment sont... Lubriques !

Cette bande-dessinée, dont j'ai entendu parler chez Tto, présente sur la couverture de son petit format un bear, un indien et un minet du genre Belami dans les années 90, tous trois torses nus, et avec des pantalons mega taille basse... Et ça s'appelle Winter's Moon.

Des livre un peu coquins, j'en ai lu, comme les nouvelles de la semaine dernière, les romans de Benjamin Schneid, ou encore la bande dessinée Jimbo, le pirate a gros engin. Mais ce livre là mérite d'etre décrit avec des chiffres. Voyez plutôt :

Winter's Moon, c'est 94 pages, dont 51 sur lesquelles apparaissent des plans un peu (voire très) chauds. C'est aussi, au fil du bouquin 14 scènes de cul complètes. Plus que dans beaucoup de films.

Enfin, Winter's Moon c'est, je les ai comptées, 153 représentations des organes masculins. Autant dire que de la quéquette, il y en a à toutes les sauces. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que Mauro Padovani s'est fait plaisir.

Tous les protagonistes sont montés comme des taureaux, et foutus comme des statues grecques, ou des bears, quand on dessine, le casting est toujours parfait.

Toutes les perversions sont explorées, dans un scénario plutôt basique :

Winter's Moon, le fils du chef des Indiens, est amoureux de David, fils d'un trappeur. Leur amour est impossible. Mais les faits vont montrer aux deux pères qu'ils peuvent avoir confiance en l'autre camp, et laisser leurs enfants vivre leurs pulsions, puis vivre les leurs.

De l'inceste au viol, en passant par le sexe en groupe, ou violent, il y en a pour tous les goûts aussi, de ce niveau là.

Un livre a ne pas mettre entre toutes les mains, qui est ma foi excitant à lire, mais bien trop vite terminé !

Winter's Moon, chez H&O Editions. 10 €.


15 juin 2011

{Test#465} Le Stick amincissant Mensvelt

Cela fait plusieurs semaines que je teste le stick amincissant que lance la boutique en ligne (et pas que en ligne d'ailleurs) Men Corner : Mensvelt. Cela vous rappelle peut-être un produit Clarins que j'avais déjà testé, sensé faire pousser les abdos.

Le produit est lui aussi à base de café, qui brûle la graisse après l'avoir dissociée. Un concept et un principe actif qui ne sont donc pas innovants. Là où on trouve la nouveauté de ce produit, c'est dans son packaging et son application. Le produit Mensvelt est conçu comme un stick. Oui, oui, comme les déodorants que l'on trouve dans les supermarchés.

Le produit doit être appliqué matin et soir sur le ventre, et particulièrement sur les zones adipeuses, ou dit de manière plus romantique, votre bouée d'amour. Du coup au début, vous avez l'impression de vous mettre du déo sur le ventre. C'est perturbant, mais finalement carrément pratique.

L'application se fait ainsi sans trop de produit, ni pas assez. On ouvre-on sticke-on ferme. 4 secondes.

Le produit est agréable, fluide et se lave à l'eau claire. Il dégage une odeur légèrement mentholée, mais pas trop lourde, ce qui est toujours agréable en cosmétique.

Pour moi, ça marche. Enfin, disons que je sens que le produit fait un effet. Après environ 1/2 heure, mon ventre se met à chauffer, voire même selon les jours, carrément à brûler, sous l'effet du café qui attaque mon gras avec ses petites dents. 

Parfois, mais pas à chaque application, ça me démange même après ; ce qui si j'en crois une copine qui teste de son côté la perte de poids par Sismo Fitness est très bon signe, car la graisse, en se désintégrant provoque ce genre de gratouillis.

Mais suis-je particulièrement sensible à ce genre de principes actifs ? Et ces sensations sont-elles signe de réussite ? 

Ce week-end comme je vous le disais, je suis parti en province avec ma bande de potes. Un matin, après le petit-déj (et avant l'apéro), j'ai fait lever tous les garçons de l'assemblée (c'est à dire presque tout le monde) et les ai placés en ligne, le ventre à l'air.

Je leur ai appliqué à tous le stick Mensvelt, afin de voir sur un échantillon de 8 personnes (moi compris), quels étaient les résultats. Une demi-heure après application, ce sont 3 de mes amis qui me garantissent qu'ils ressentent quelque chose. Ils décrivent la sensation comme "une chaleur", "la même chose qu'avec du Vicks", ou juste "une sensation que ça travaille".

C'est donc sur cet échantillon, 50% des gars testés qui ont l'impression que ce produit marche (moi compris).

Mais en ce qui concerne l'efficacité du produit, difficile à dire, comme toujours pour ce genre de produits. En effet, si j'ai effectivement perdu du poids (6 kilos) et du tour de taille sur la période où j'ai fait ce test, j'ai également ressenti les effets bénéfiques de la natation que je pratique depuis 6 mois.

Quelle part du poids perdu est à attribuer au produit et pas au sport ? Compte tenu des sensations que j'ai éprouvées, je serais d'avis que le produit a tout de même une certaine efficacité.

Sachez enfin que le produit n'est pas donné (28,90 €), mais que la quantité de produit utilisée à chaque fois est tellement minime qu'un stick vous suffira amplement pour les deux mois d'utilisation minimum conseillée. Un investissement qui est donc somme toute mesuré.

Mensvelt, 50 mL par Mencorner, 28,90 € sur le site, ou en boutique.

14 juin 2011

{Test#464} DropBox, ou la dématérialisation du disque dur externe

N.B : Ok, Dropbox n'est pas une nouveauté, mais je découvre seulement. Pour les besoins de l'article, nous ferons comme si c'était génialement nouveau et personne ne me contredis. Hop, c'est parti. 

Je viens tout juste de découvrir DropBox, dont le principe, d'une simplicité déroutante, me sidère tellement c'est juste génial ! Aujourd'hui, entre les ordis portables, les smartphones, les ordis de maison, ceux du bureau, les tablettes, on navigue, on créé des fichiers, on sauvegarde à droite et à gauche.

Et très souvent, il m'arrive de vouloir récupérer tel fichier, sauvegardé sur mon portable, tandis que je n'ai que mon Ipad, ou j'aimerais écouter telle chanson, mais elle n'est que sur l'ordi du bureau. Il existe des solutions pour pallier à ça.

Pour la musique, Deezer, ou MusicMe ont défriché le terrain. En se créant un compte vous pouvez consulter vos playlists depuis n'importe quelle connexion internet, sur presque tous les supports.

Pour les autres fichiers, j'avais pris l'habitude d'avoir tout le temps sur moi un disque dur externe, choisi plutôt fin pour le transporter un peu partout, où je sauvegardais en permanence images, vidéos, fichiers divers que je pouvais du coup consulter presque partout. Je dis presque, car essayez donc de brancher un disque dur à un Iphone...

DropBox ouvre une nouvelle voie à la sauvegarde de fichiers. En ouvrant un compte DropBox, on vous donne accès à 2 Go gratuits. Pour obtenir plus d'espace de stockage, on peut en acheter, avec deux forfaits : un à 50 Go pour 99$ par an, et un à 100 Go pour 199$ par an.

Mais en restant sur une base de 2Go, cela change tout de même la vie : on peut créer un fichier à son boulot, le transférer directement sur DropBox et le récupérer à la fois sur Iphone, Ipad, ordi perso, le tout quasiment instantanément.

Sur vos ordis de bureau ou de maison, une application permet de transférer vos fichiers sur votre dropbox d'un seul clic. Depuis n'importe quel autre ordi, vous pouvez en revanche passer par le site dropbox.com, en vous connectant.


Pour les appareils mobiles, l'application dropbox est gratuite et disponible sur IpadIphone, Androïd ou Blackberry ! On peut dire que c'est une appli universelle !

Pour partager des dossiers avec des gens (comme des albums photos par exemple), il suffit de préciser sur un dossier qu'il s'agit d'un dossier de partage, et des accès sont créés. Super bien pensé. 

Une solution de stockage qui permet donc de disposer de ses fichiers où qu'on se trouve, sous réserve d'avoir une connexion internet, que je vous conseille grandement !

Si vous êtes intéréssés par Dropbox, passez par ce lien, vous serez mes filleuls et j'aurais plein de place en plus (et vous aussi) !

13 juin 2011

{Test#463} Le maillot de bain of The year 3 : esprit sportif chez Aussiebum

Cette semaine, après vous avoir présenté le psychédélisme chez Intymen, et le classicisme chez Caussie, voici l'esprit sportif en maillot de bain chez Aussiebum.

La fameuse marque australienne, synonyme de sexy sous-vêtement parlant, propose notamment cette année sa gamme League 11, où il suffit de regarder l'affiche pour être convaincu.

Les maillots sont somme toute assez simples, ce sont des bandeaux, ni slip ni caleçon, suffisamment courts pour être sexys, pas assez pour que ça devienne vulgaire.

En nylon, ils sont doublés sur l'ensemble du maillot, ce qui donne un sous-vêtement qui tient extrêmement bien. Comme inscriptions, à l'avant le logo et le fameux 11 (de l'année 2011), et à l'arrière le nombre 11, un chiffre sur chaque fesse. Plutôt chouette.

S'il devait y avoir un défaut, ce serait le cordon, apparent devant, comme chez Intymen, qui n'est pas des plus pratique a nouer élégamment.

La gamme est ultra développée et comprend pas moins de 44 modèles, dont 8 versions slips et 16 couleurs différentes ! On peut dire qu'il y a un sacré choix !

La livraison est toujours gratuite, dans le monde entier, et le modèle coûte 32,90 € pour le boxer, et 26,59 € pour le slip.

La semaine prochaine, c'est au Japon que nous partons voir quelles sont les tendances maillots de bain, pour l'avant dernier maillot de bain de l'année.

12 juin 2011

{Test#462} La première gorgée de sperme et autres textes de Fellacia Dessert

Comme je vous le disais vendredi, je suis parti en vadrouille dans le sud, ce week-end. Et quoi de mieux, allongé dans un transat, près d'une piscine, avec un cocktail à la main qu'un bon bouquin à lire ?

Et si, avec vos amis, vous voulez faire une méga sensation, il vous faut ce recueil de nouvelles de Fellacia Dessert : La première gorgée de sperme et autres nouvelles.

Ce qui est au moins aussi important que les textes qui composent ce recueil, c'est sa couverture, présentant une femme qui boit du lait, et s'en met partout autour de la bouche. C'est imagé, et ne manquera pas de faire son petit effet.

Quant aux textes proprement dits, ce sont des nouvelles, hétéros et cochonnes et qui ne se cachent pas de l'être. On parle de cul sans ambage, de jouissance, de fantasme, de bandaison, et surtout on appelle un chat un chat.

Les 31 tous petits textes érotiques de Fellacia Dessert, aux noms aussi évocateurs que "Une main dans la poche", "Prendre un petit coup", "Niqué par surprise", ou encore "Mouiller sa culotte" sont suivis d'une nouvelle plus longue, La Salle de Réveil, par Marjorie Faust, et de Sept Petites Histoires de cul, d'Anne Cécile. 

Un format de lecture fait pour abandonner sa lecture et la reprendre 5 minutes après, mais attention ! Bien qu'hétérosexuelles, ces histoires sont pour une bonne partie assez émoustillantes tout de même, faites attention à ne pas mettre de maillot de bain trop serré.

La première gorgée de sperme, de Fellacia Dessert, aux éd. La Musardine, 8,26 €.

10 juin 2011

{Test#461} Pierre Fitch fait (aussi) de la musique

Le week-end sera chaud, c'est moi qui vous le dis. Parti en vadrouille avec ma bande de potes, j'ai prévu un élément important des voyages en voiture : de la bonne musique.

Et cette fois, ce n'est pas une star de la pop bitchy, ni un DJ connu que j'ai pris dans mon sac, c'est la reconversion étonnante... d'un acteur porno gay. Pierre Fitch. Pour ceux qui (comme mon mec) ne le connaissaient pas, suivez ce lien (interdit -18ans)

Pierre Fitch, je le connaissais plus à quatre pattes que derrière une table de mixage. Et c'est d'autant plus surprenant que le garçon sait y faire de ses doigts.

Ses 5 podcasts sont disponibles gratuitement sur Itunes, et ne sont pas mal du tout. Ok, ce n'est pas encore le DJ du siècle, et c'est pas demain que les Black Eyed Peas ou Rihanna se déchireront pour l'avoir sur leurs albums. Mais tout de même...

Le style de Pierre Fitch me rappelle beaucoup cette house dansante et festive que j'écoutais, et sur laquelle je me trémoussais il y a un paquet d'années vers Barcelone, ou Sitgès, quand j'étais jeune et pimpant. C'est de la musique de club, indéniablement, et ça donne envie de danser.

Parfois, je l'avoue on sent que le DJ-porno use, et abuse des boutons de sa table de mixage, où qu'il découvre des effets qu'il ne connaissait pas encore. Cela en fait un mix encore un peu hésitant, peut-être pas assez affirmé, mais l'essentiel de la technique est là.

Pour ce qui est de la playlist, elle est gay juste ce qu'il faut, relancée par du Lady Gaga ou du 20 fingers, ou encore la House vocale de Natalia Damini avec Your Lies. C'est bien trouvé, peut-être juste un peu trop "facile". Impossible de se tromper avec des choix aussi évidents.

Pourtant, même si c'est un peu facile, pas encore complètement maîtrisé, j'écoute ces podcasts depuis quelques jours avec le plus grand des plaisirs, et comme le dit un ami homonyme au DJ : "S'il mixe pas loin, j'y vais tout de suite, on sait jamais s'il mixe à poil..."


9 juin 2011

{Test#460} X-Men Le Commencement

Franchement, quand je l'ai vue, je n'étais pas du tout convaincu par la bande annonce de X-Men First Class. Je me souviens m'être dit "un film de plus du même genre..." Et puis comme mon mari est un peu fan des super héros, et qu'une soirée s'est organisée où finalement nous étions 6 à y aller, je me suis dit pourquoi pas.

Et ce fut une bonne chose, car - outre des super conneries que j'ai trouvées dont je vous parlerais très vite - le film est somme toute une réussite. Mieux que les précédents opus X-men.

Le film est très distrayant, le scénario plutôt prenant, et la trame de fond sur le comment-du-pourquoi-Magnéto-et-Professeur-X-se-sont-rencontrés assez captivants. Un peu comme dans les derniers (premiers) Star Wars quand on apprend comment le petit est devenu si méchant.

Petit bémol pour les effets spéciaux, bien qu'ils soient dans l'ensemble bien faits. J'ai trouvé que la scène où le Hurleur (une version chauve-souris de Ron Wisley) et Angel (une femme-libellule) se battent au-dessus des flots est particulièrement mal faite. So 90's

Petit plus en revanche pour les acteurs, qui pour la plupart jouent tous très bien. J'ai particulièrement aimé les jeux de Raven par Jennifer Lawrence, et du méchant Shaw par Kevin Bacon, que l'on entend jouer en allemand, anglais et Russe.

Un gros Bouuuuh pour terminer pour une scène complètement débile, répétée deux fois dans le film (elle était tellement nulle qu'il fallait bien la recaser) : le coup du méchant qui se lève, fait son speech comme quoi il est pas vraiment méchant, et qui demande à l'assemblée de super héros qui est avec lui.

Et là, tels des écoliers dans la cour de récré qui composent des équipes de balle au prisonnier, chacun vient se ranger derrière son leader ! Naze de chez naze...

Mis à part ces tous petits détails, et si ce n'est pas le film de la décennie, je conseille vivement ce film qui propose de passer un très agréable moment en compagnie de l'univers Marvel, tout en se demandant quel super héros on préfèrerait être...

A lire aussi, l'avis de Matoo.
© Photos Twentieth Century Fox France

8 juin 2011

{Test#459} J'ai testé l'ipad 2

Ça y est enfin ! Depuis un peu plus d'une semaine, je suis l'heureux possesseur d'un Ipad 2.

Ce n'était qu'une question de temps, je le voulais, je bavais sur les pubs Apple, j'attendais que ça tombe vaguement avec mon anniversaire, et d'avoir un projet pro, pour me donner bonne conscience, et hop j'ai succombé à l'appel du geek qui aime la pomme.

Je ne rentrerais pas dans ce fameux débat du "Est-ce que ce n'est pas totalement idiot de payer une tablette si chère pour un objet pas forcement mieux que ses concurrents, et bridé de toutes parts ?" Si. Mais j'assume.

Finalement l'Ipad 2, c'est comme un gros IPhone. Même disposition des applications, même AppStore, même clavier, même ergonomie en général, mais alors a quoi peut bien servir une tablette, pour de vrai ?

Voici quelques façons d'utiliser l'Ipad qui justifient selon moi complètement son utilité :

1. Je peux y écrire mon blog. L'application Blogger existait déjà sur l'Iphone, mais même quand mon clavier déconnait, écrire sur le tout petit clavier de l'iPhone, c'est franchement pas super pratique! Et je dois avouer qu'avec l'Ipad, c'est méga easy. Pareil pour consulter tous les vôtres, de blogs !

2. Je peux lire des livres avec. J'avais testé, rappelez-vous, la lecture de e-Books sur l'iPhone, et même combat que pour le petit 1, c'était cette fois la petite taille de l'écran qui me rebutait. L'écran de l'ipad est quand a lui beaucoup plus confortable.

Le livre dont je parlais hier, Rapports de force, je l'ai justement lu sur l'Ipad... Mais encore faut-il accepter l'idée de lire en numérique, et je comprends l'inverse parfaitement.

A noter l'application gratuite, par le Figaro Ibibliothèque, qui permet d'accéder a une collection, dirigée avec Jean d'Ormesson de plus d'une centaine d'oeuvres classiques de la littérature.

3. J'aime les e-magazines. De par mon travail je suis en contact permanent avec la presse magazine. Et l'arrivée des tablettes a permis l'apparition simultanée de la presse électronique. Et celle-ci est magique quand elle ne ressemble pas juste à un scan du magazine papier.

Les tablettes permettent en effet d'insérer des sons, des vidéos, des liens, de rendre les pages interactives, tout autant de petites choses qui me rendent complètement gaga.

Je conseille particulièrement les versions électroniques de Wired (pionnier en la matière), Rue 89 ou encore iMad, la très bonne version électronique de Madame Figaro, ces deux derniers totalement gratuits.

4. Une belle photo est encore plus belle en rétro-éclairé. C'était déjà le cas avec les cadres photos numériques, mais pour ceux qui aiment les belles photos, c'est vrai que l'écran rétro-éclairé des tablettes les mets vraiment beaucoup en valeur.

Il suffit de télécharger l'application fotopedia avec National geographic sur la Birmanie, gratuite aujourd'hui pour s'en rendre compte.

Pour conclure, même si l'Ipad est une tablette de geek, elle a tout de même un paquet d'arguments qui en font un bon compromis entre mini-ordinateur et smartphone. Et ne cherchez pas à me convaincre du contraire, c'est peine perdue.

7 juin 2011

{Test#458} Rapports de Force, de Benjamin Schneid

Je viens tout juste de terminer le lecture du roman de Benjamin Schneid, Rapports de Force. J'avais lu et chroniqué un premier de ses écrits, la Tentation. Je n'ai donc pas été très surpris lorsque je suis tombé sur la première scène un peu olé olé du récit.

Car en effet, Benjamin Schneid écrit, très bien il faut l'avouer des romans gays un peu cochons sur les bords. Et comme je l'évoquais déjà à la lecture du premier roman, c'est une sensation assez étrange de lire du porno. Entre intérêt du récit et excitation naissante, c'est une façon assez bizarre de lire.

Synopsis : Alex préfère les amours d'un soir, ce n'est pas vraiment un sentimental. Lukas, un garçon désorienté, s'impose pourtant dans sa vie. Leur complicité évolue rapidement en de véritables rapports de force. Théo partage la vie de Conny dans une relation libre. Le fantasme de celle-ci : avoir deux hommes dans son lit, dont... Théo. Ce dernier finit par chercher conseil auprès de son ami Alex. 

Dans un sens j'ai aimé ce livre, qui ne parle pas que de sexe. Les rapports de force évoqués dans le titre ne sont pas que physiques. D'ailleurs je m'interroge sur le choix de la photo de couverture qui présente un homme, certes super canon, mais apparemment boxeur - sport dont il n'est pas question dans le livre.

Les principaux rapports de force sont dans le mental des protagonistes, qui luttent surtout contre eux-mêmes, se refusant d'admettre tout un tas de vérités. L'un qu'il n'est peut-être pas si hétéro qu'il le prétend. L'autre que ce qu'il recherche est peut-être plus qu'un coup d'un soir, cette dualité à l'intérieur des personnages est plutôt intéressante.

Le récit est bien amené, l'histoire se déroule à Berlin et les portraits des personnages bien déroulés, de sorte qu'on s'y attache plutôt vite, et la lecture n'en est que plus agréable.

Dans tout le roman, les scènes un peu chaudes sont elles-aussi très axées rapports un peu hard, avec chaque fois une notion de dominant, dominé, ce qui n'est somme toute pas pour gâcher le récit... Ça m'a franchement émoustillé plus d'une fois.

Là où je suis assez déçu finalement, c'est par le manque de morale de cette histoire. Ok, cette histoire ne parle pas d'un amour simple et facile, rangé et enviable.

Mais tout de même, entre les cuites complètement destroy que se prennent les personnages principaux, les soirées drogue, et une fin complètement amorale, où le héros se tape le bad-boy une dernière fois avant de se lancer dans une vraie relation (genre le beurre et l'argent du beurre, et le derrière du footballeur), on n'est carrément pas au royaume de Bambi.

Mais enfin cela reste une lecture fraîche, distrayante et qui titille l'imagination... Et pas que. 

Rapports de Force de Benjamin Schneid. Ed.Textes gais. 12,99 €. En vente en librairie également.

6 juin 2011

{Test#457} Le maillot de bain of the year #2 Classique, chez Caussie

Deuxième maillot de bain de l'année en ce lundi. Après les modèles psychédéliques de Intymen, voici des slips de bain beaucoup plus classiques, chez Caussie. Inspirés du basique de chez Speedo, ces maillots ont une coupe très simple.

Seuls éléments qui les différencient, la largeur du bandeau (2 ou 3 pouces), et la couleur. Ces maillots australiens sont disponibles en 4 coloris. Bleu marine, rouge, marron et noir. Le tissu de ces maillots est super fin, ce qui donne l'agréable sensation de ne rien porter du tout.

Le tissu est même doublé à l'avant car une fois mouillé, il a tendance à être légèrement transparent, notamment pour le rouge, le plus clair des modèles. Pour serrer à la taille, un cordon blanc et discret se range dans le slip.

Petit détail, le logo de la marque est élégamment imprimé sur le côté, lui aussi de manière discrète.

Pour ce qui est du prix, ces maillots sont à 32 $ sur le site internet de la marque, et disponible de XS à XXXL.

Un classicisme étudié, des lignes épurées, un confort indéniable. Il en faut pour tous les goûts. La semaine prochaine, un maillot beaucoup plus sportif qui fait des fesses canon !

5 juin 2011

{Test#456} The Duke, le stimulateur prostatique de chez Fun Factory

On peut le dire, ces dernières années, les sex-toys ont fait de sacrés progrès. Désacralisés, démocratisés, ils sont devenus un peu moins réalistes, et un peu plus design.

Et l'homme n'est pas en reste, avec de nouveaux produits toujours plus étudiés pour lui. Un gode tout bête ne convient en effet que peu a l'anatomie masculine.

Je parlais il y a un certain temps d'un stimulateur prostatique, spécialement conçu pour l'homme, dont les sensations procurées n'avaient absolument rien de comparable avec ce que je connaissais déjà.

Et depuis tous mes tests, Rude Boy reste en effet mon jouet favori. Mais Fun Factory, la marque allemande aux sex toys rigolos a aujourd'hui elle aussi son stimulateur prostatique. The Duke.

Super design, le stimulateur est composé de deux parties : le jouet en lui-même, en silicone coloré, un peu mou ; et le vibreur, dans une petite capsule qui s'insert dans une cavité prévue a cet effet.

Le vibreur se recharge avec la même technologie que les autres jouets Fun Factory : Click'n charge, par simple contact magnétique. Il peut s'enlever ou se replacer, pour laver le jouet, ou l'utiliser sous l'eau.

La forme originale de ce sex toy présente en fait deux cotés avec des "embouts" différents, et donc deux manières de l'utiliser. D'un côté le jouet est cylindrique, et sa forme épouse la morphologie masculine, pour aller titiller directement la prostate, et avec les vibrations, c'est extra !

De l'autre coté, le jouet a la plus la forme d'un plug, évasé comme un champignon. Ce coté, associé une nouvelle fois a la vibration sera plutôt utilisé pour un plaisir uniquement anal.

Un seul jouet pour deux utilisations différentes, ou même pour une utilisation avec deux personnes, pourquoi pas !

En ce qui concerne les différents modèles, The Duke existe en noir et en bleu, masculin et discret. Pour ce qui est du prix, le jouet vous coûtera 59€ chez 1969. Dans l'ordre de prix de ce genre de sex toys.

4 juin 2011

{Test#455} Le smoothie melon/pastèque/menthe

Ah mes aïeux, qu'est-ce qu'il fait chaud ! Non, non, non je ne vais certainement pas m'en plaindre, c'est plutôt cool de profiter des week-ends, avec les copains à flâner dans les parcs en se remettant des dures soirées de la veille.

Faire des barbecues en mangeant dehors, siroter des apéros avec les voisins, la chaleur amène tout un tas d'activités, plus plaisantes les unes que les autres... Et s'il y en a une que j'adore, c'est bien celle de faire des smoothies bien frais.

Les smoothies, c'est ultra simple à faire, et ce n'est pas Alban, grand fan qui vous dira le contraire. Des fruits frais, un blender, et quelques glaçons font l'affaire.

On commence par préparer les fruits, en enlevant les queues, les peaux, les pépins, les noyaux... Puis on coupe les fruits, et on met tout dans le blender, avec quelques glaçons (si le mixer permet de broyer la glace, n'allez pas me le casser...)

On mixe jusqu'à ce que le mélange soit homogène. On peut ajouter une touche sucrée, avec une cuillère à café de sucre, ou du miel, du sirop, du sucre d'érable, ou une touche lactée, avec un peu de crème liquide, ou de lait.

Mais celui que je préfère entre tous les chaudes journées d'été, c'est le smoothie melon, pastèque, menthe. Ultra simple, il est super rafraîchissant et très léger. Tous les goûts du soleil dans un verre bien frais, c'est méga bon !

Pour les gourmands, vous pouvez rajouter à ce smoothie quelques fraises, ça apporte une note sucrée pas désagréable du tout.

Mettez les doigts de pieds en éventail, chaussez vos lunettes de soleil sur le bout de votre nez, et savourez !

3 juin 2011

{Test#454} Les petites histoires viriles de Jeromeuh

Jeromeuh, ça fait un moment que je le lis. Je vous en parlais il y a un peu plus d'un an ici-même. Et c'est rigolo, parce que quand j'ai appris qu'il avait enfin son livre publié, j'ai été vraiment content pour lui. Un peu comme un ami justement récompensé.

Parce que finalement, à force de suivre ses aventures en dessins sur son blog, j'ai un peu l'impression de le connaître, le Jéromeuh (et en plus je l'ai croisé deux fois en chair et en os, nananèreuh). Au fil de ces 96 pages, il nous dévoile avec humour, et surtout autodérision ses Petites histoires viriles.

La couverture, premier contact avec n'importe quel bouquin est super chouette. Simple, efficace, et élégante, avec une partie en mat et l'autre brillante (je peux pas m'empêcher de passer le doigt sur les couvertures comme ça...)

Le style de Jeromeuh, ben je le connaissais déjà, je ne peux donc que vous redire à quel point je le trouve graphique, avec ces personnages stylisés et ses bulles ni rondes, ni carrées.

Là où j'ai plus été déçu, c'est qu'en tant que lecteur régulier de Jéromeuh, je connaissais déjà toutes les planches du bouquin, ou presque. Je m'attendais à plus de trucs inédits.

En revanche, pour avoir laissé traîner le bouquin sur la table basse, je peux vous dire qu'il attire pas mal les copains, qui se marrent bien à la lecture des gags. Ce livre est donc une très bonne découverte pour ceux qui ne connaissent pas encore Jéromeuh. Un cadeau parfait à faire à des amis qui ne connaissent pas, par exemple.

Et pour les autres, c'est toujours l'occas' d'avoir toutes ces planches dans un vrai livre avec des pages qu'on tourne, et qu'on peut sentir. C'est toujours un peu différent...

Les petites histoires viriles de Jéromeuh, chez BD fugue, 12,83 €.
Les dernières planches de Jéromeuh, sur son sitehttp://www.jeromeuh.net/

1 juin 2011

{Test#453} Les playlists de Monsieur Chik

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire ! Et pour la première fois depuis un paquet d'années, je suis au travail. L'an dernier par exemple, j'étais dans les bois en train d'essayer des slips en fibre de banane, souvenez-vous.

Mais c'est pas parce que je suis obligé de bosser comme un esclave en ce jour sacré que je vais me laisser abattre, non non non ! Je place donc officiellement ce jour sous le signe de la musique et de la fête ! Et en parlant de musique, j'ai trouvé dans mes flux un lien vers un super site, celui de Monsieur Chik.

Le site de Monsieur Chik, déjà il est classe. Graphiquement, j'adore. Je suis même un peu jaloux tellement c'est cool. Et puis parlons du contenu, il y a de l'Art, des bons plans, des parfums, des slips, de la mode, et de la musique, donc forcément, je commence à bien l'aimer, Monsieur Chik !

Et alors là on arrive à la musique. Et question musique, Monsieur Chik, comme il est chic, il a ses playlists. Et ses playlists, ben je les surkiffe quoi. La sélection, c'est Monsieur Chik, on y trouve du Britney, du Gaga (côté bitchy), du Justice, du DaftPunk (ça fait mieux).

"Music - De façon Chik, tu danseras."

Le mix, c'est Nicky D. pour la plupart, et c'est carrément bien fait. Et en plus en plus, la cerise sur le gâteau d'anniversaire, c'est téléchargeable direct live, comme ça tu peux écouter la super musique jusqu'au fond de ta piscine, et ça c'est (encore une fois) chic !

Et puis, ne nous refusons rien, comme c'est mon anniv' on va rajouter de la crème chantilly par dessus la cerise, sur le fameux gâteau, avec encore en plus des visuels méga Queer pour chaque playlist. Du coup ça devient un plaisir des oreilles ET des yeux, t'as même envie de te promener avec.

Je vous laisse écouter tout ça, et quand vous serez au summum de l'extase auditive, pensez à moi !

Toutes les playlists de Monsieur Chik ici-même.
Le reste du site, parce que c'est aussi intéressant.